Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

Etre Français cela se mérite

Extrait de blog de Natacha Polony et commentaires de robert Marchenoir du 5/07/2010

« La faute à la famille, à la télévision, à l’école, au chômage ou la mondialisation ? Un peu de tout cela, sans doute. »
Rien de tout cela, à l’évidence.

S’il y a une affaire qui démontre que la faute en incombe uniquement à l’immigration de masse, c’est bien celle-là.

Car ce n’est pas « un jeune homme » qui a été sauvagement massacré. C’est celui qui a été perçu comme le chef d’un groupe de Maghrébins. Comme le montrent les prénoms, cités par la presse, de ceux qui se trouvaient dans le cortège de voitures attaquées.

Et ce ne sont pas « des jeunes gens » qui les ont attaqués. C’est un groupe de Noirs et leurs proches appelés en renfort, comme le montrent les prénoms, Abdoulaye et Hadema, des deux inculpés.

Il s’agit donc d’un affrontement ethnique. D’un meurtre raciste. Où, selon toute vraisemblance, aucun Français de souche, blanc, n’est impliqué, contrairement à la vulgate officielle selon laquelle les problèmes de l’immigration seraient dûs au racisme des Français.

Bien entendu, les autorités et la presse n’en ont rien dit. Cette dernière a assez lourdement insisté sur les prénoms maghrébins des victimes, puisque cela conforte la propagande d’Etat selon laquelle les immigrants arabes seraient des victimes. Nous sommes donc autorisés à savoir que, dans cette affaire, c’est une famille maghrébine qui a subi la loi de la violence raciste.

En revanche, c’est uniquement par déduction que l’on peut savoir que les coupables viennent d’Afrique noire. Les deux prénoms lâchés (malgré les autorités ?) par France-Soir. Le fait que les attaquants ont lancé à leurs victimes : « Vous n’allez pas faire vos Français », en réponse à leur demande de constat. Ce qui exclut, naturellement, qu’il s’agisse de Français de souche. Le fait qu’ils aient appelé leur clan à la rescousse — et chacun sait qu’en banlieue, les clans se constituent sur des bases ethniques. Les autres paroles prononcées (« on va vous tuer devant votre mère », « c’est lui qui a appelé les condés »). L’hyperviolence, la sauvagerie, qui sont familiers à tous les Français de souche qui ont été victimes de telles attaques.

Il est évident que les attaquants ne peuvent être blancs. Vu les prénoms révélés, il est tout aussi évident qu’ils sont, tous, noirs.

Rappelez-vous l’ étonnement du journaliste du Monde quand il a découvert, au jugement des tireurs de Villiers-le Bel, une moitié de l’audience 100 % noire (les inculpés et leurs familles), et une moitié presque entièrement blanche (les policiers attaqués).

Voilà quelque chose que les autorités et les médias avaient soigneusement omis de vous dire au moment des émeutes elles-mêmes, n’est-ce pas ? Mais vient un moment où il n’est plus possible de cacher l’évidence.
Ce meurtre constitue donc un tournant, tout comme l’explosion en vol de l’équipe « de France » de football, ou l’attaque d’un étudiant blanc dans un autobus de nuit par une bande ethnique, révélée aux yeux de tous par la vidéo de sécurité.

Les autorités ne peuvent plus cacher qu’elles ont importé, par millions, des populations qui haïssent la France et les Français, qui rejettent radicalement leurs règles de vie (« vous n’allez pas faire vos Français »), qui ne connaissent qu’une loi, celle du plus fort, imposée par une sauvagerie inouïe.

La télévision, le chômage et l’école n’ont rien à voir là-dedans.

De telles agressions, de tels meurtres, commis contre la population de souche, selon des modes opératoires similaires, sont légion. Ils étaient inconnus avant l’immigration de masse.
On a voulu culpabiliser les Français en leur disant que c’était leur faute, qu’ils étaient racistes.

Ce fait-divers (pour reprendre le vocabulaire minimisant des belles âmes de gauche lorsque ce sont des Blancs qui sont victimes) montre à l’évidence que le racisme n’est pas du côté des Français de souche.

Il montre que le mythe immigrationniste, multiculturaliste, métisseur, vivre-ensembliste, est un crime social, qui ne peut aboutir qu’à la violence généralisée et au chaos.

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Certains voudront, en conséquence arrêter  l’immigration ; à l’inverse une voie plus sage ne serait-elle pas  de mêler responsabilité et ouverture par des mesures de bon sens :

– La naturalisation uniquement pour les gens ayant démontré leur volonté de s’intégrer à la société : apprentissage du français, respect des lois de la République, connaissance de l’histoire de France,  avoir un travail ou une activité pérenne, serment de citoyenneté valant exclusion automatique en cas de délit , ..;  Le tout assorti d’une mise à l’épreuve et d’une possibilité de renvoi au pays sans possibilité de « revenir ».

– Refus de nationalité aux adeptes de corpus doctrinaux niant les valeurs de la république …

– Le retrait de nationalité française aux parasites de la société, et ce même s’ils sont de souche française depuis 10, 20 ou 30 générations.

– La privation de droits civiques aux gens qui sont visiblement incapables de les exercer; comprendre ceux qui sont déjà trop bêtes pour gérer leur vie et comprendre des règles simples de vie en société, on ne va pas en plus les laisser s’ingérer dans la vie politique de leur pays : Créer une citoyenneté à deux niveaux, en fonction des mérites de chacun (sans exclusive de richesse, couleur de peau, sexe, religion, ….)

– La suppression du droit aux aides (RMI/RSA allocs, chômage, accès logements sociaux, etc) pour les j’en-foutre qui bafouent les lois de la République qui les nourrit gracieusement. Ceux qui ont vraiment du mal et cherchent à s’en sortir les méritent, les autres ….doivent d’abord prouver qu’ils sont des humains et non pas des animaux.

– La création d’une peine de service sous le drapeau sous forme de travaux d’intérêt général : discipline ET utilité publique.

– etc…

Etre Français, cela se mérite, …

« C’était surtout l’Islam dont la présence me tourmentait (…). Déjà l’Islam me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre et contradictoire en elle-même : le souci de fonder une tradition s’accompagnait d’un appétit destructeur de toutes les traditions antérieures. (…) » Claude Lévi-Strauss

20 novembre 2010 Publié par : | Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire

L’alerte du canari dans la mine

Malika SOREL, une voix, un cri d’alerte dans la mine de notre monde

Ceux qui connaissent de l’intérieur ne peuvent que témoigner inlassablement et avertir du danger qui vient;
les Stupides-cupides  pavent la voix à la guerre civile et les bisounours y sont indifférents…

à lire absolument

Synthèse de sa déclaration

Blog de Malika Sorel

20 septembre 2010 Publié par : | Politis | | Laisser un commentaire

Un cheval de Troie

« NOUS SERONS VOTRE CHEVAL DE TROIE », MOHAMED SABAOUI, SOCIOLOGUE, ALGÉRIEN NATURALISÉ FRANÇAIS

8 Mai 2008 par Annie Lessard, Marc Lebuis

Mots clés:
Notre invasion pacifique au niveau européen n’est pas

encore parvenue à son terme. Nous entendons agir dans tous

les pays simultanément. Comme vous nous faites de plus en

plus de place, il serait stupide de notre part de ne pas en profiter… Nous serons votre Cheval de Troie. Les Droits de l’homme dont vous vous réclamez, vous en êtes devenus lesotages.

 

Une réalité que beaucoup prennent pour de la fiction! Nous ne pouvons vérifier l’authenticité de la première partie des propos attribués à Mohamed Sabaoui. Quant à ceux de la seconde partie, ils sont rapportés dans le livre Le paradoxe de Roubaix, de Philippe Azziz, Plon, 1995, p.89 et 90.

 

Pourquoi les islamistes devraient-ils recourir aux attentats violents, alors que le djihad culturel pacifique s’avère si efficace. Les Occidentaux n’opposent aucune résistance. Au contraire, les élites ont capitulé, elles collaborent allègrement à l’oblitération de la civilisation occidentale.

 

Nous reproduisons un commentaire affiché sur un forum internet le 31 mars 2008 à ce sujet, et qui déplore la liberté d’expression à sens unique:

 

 

Voici ce que vient de déclarer Mohamed Sabaoui, jeune sociologue de l’université catholique de Lille, d’origine algérienne, naturalisé français.

«Notre invasion pacifique au niveau européen n’est pas encore parvenue à son terme. Nous entendons agir dans tous les pays simultanément. Comme vous nous faites de plus en

plus de place, il serait stupide de notre part de ne pas enprofiter… Nous serons votre Cheval de Troie».

 

«Les Droits de l’homme dont vous vous réclamez, vous en êtes devenus les
otages. Ainsi, par exemple, si vous deviez vous adresser à

moi en Algérie, ou en Arabie Saoudite, comme je vous parle maintenant, vous seriez, dans le meilleur des cas, arrêtés sur-le-champ. Vous autres Français n’êtes pas en mesure d’imposer le respect à nos jeunes».

Pourquoi respecteraient-ils un pays qui capitule devant eux ? On ne respecte que ce qu’on craint. Lorsque nous aurons le pouvoir, vous ne verrez plus un seul Arabe mettre le feu à une voiture ou braquer un magasin… Les Arabes savent que la punition inexorable que mérite, chez nous le voleur,c’est l’amputation d’une main».

Et, toujours du même Mohamed Sabaoui lors d’une interview reproduite dans Le paradoxe de Roubaix:

«Les lois de votre République ne sont pas conformes à celles du Coran et ne doivent pas être imposées aux musulmans, qui ne peuvent être gouvernés que par la Charia.Nous allons donc œuvrer pour prendre ce pouvoir qui nous est dû. Nous allons commencer par Roubaix, qui est actuellement une ville musulmane à plus de 60 %».
«Lors des futures élections municipales, nous mobiliserons nos effectifs, et le prochain maire sera musulman. Après négociation avec l’État et la Région, nous déclarerons Roubaix enclave musulmane indépendante et nous imposerons la Charia (loi de Dieu) à l’ensemble des habitants».

«La minorité chrétienne aura le statut de Dhimmis. Ce sera une catégorie à part qui pourra racheter ses libertés et droits par un impôt spécial. En outre, nous ferons ce qu’il faut pour les amener par la persuasion dans notre giron».

«Des dizaines de milliers de Français ont déjà embrassé l’Islam de plein gré, pourquoi pas les chrétiens de Roubaix ? Actuellement à l’université de Lille, nous mettons sur pieddes brigades de la foi, chargées de «convertir» les Roubaisiens récalcitrants chrétiens, ou juifs, pour les faire rentrer dans notre religion, car c’est Dieu qui le veut !»

«Si nous sommes les plus forts, c’est que Dieu l’a voulu. Nous n’avons pas les contraintes de l’obligation chrétienne de porter assistance, à l’orphelin, aux faibles et handicapés, Nous pouvons et devons, au contraire, les écraser s’ils constituent un obstacle, surtout si ce sont des infidèles».

Ces propos, difficilement imaginables, sortiront-ils enfin nos compatriotes de leur longue léthargie ? Ou nous faudra-t-il connaître, sur notre propre sol, à notre tour, les événements qu’ont connus les français en Algérie en 1962? Remarquons que si ces propos avaient été prononcés par la bouche d’un catholique, ces mêmes propos auraient sans aucun doute provoqué un véritable tollé médiatique et son auteur aurait été, selon toute vraisemblance, lourdement condamné pour « incitation à la haine raciale ».

Qu’attendent donc, la LICRA, Le MRAP et le CRIF… (ndlr: groupes antiracisme français) pourtant si prompts à bondir sur la moindre occasion « antiraciste » pour saisir nos Tribunaux et reconstituer, au passage, leur trésorerie sur le dos des victimes, pour agir sur cet événement ? y aurait-il, par ce silence, un régime particulier où, seules, certaines formes de racismes

bénéficieraient de la liberté d’expression ? A ces

questions nous aimerions des réponses ! »

13 septembre 2010 Publié par : | Politis | | Laisser un commentaire

Désinformation officielle sur la natalité française

 

« Désinformation sur les chiffres de la natalité française. »
Hier, mercredi 14 janvier 2009 les radios et la presse écrite ont relaté le fait que les Françaises seraient championnes de la fécondité avec un taux de 2,02 enfants par femme.

« un niveau jamais atteint » précise l’INSEE qui a rendu le chiffre public avec tous les autres concernant les résultats des analyses du recensement.
Il y a donc eu 834000 naissances recensées en France en 2008. (population de 64,3 millions).

Mais la presse écrite et tous les reportages ne révèlent pas (pour ne parler que du « french miracle ») les précisions suivantes qui ressortent aussi des chiffres de l’INSEE.

Bien plus qu’une omission des journalistes il y à « collusion » (du politiquement correct droite/gauche) pour entretenir volontairement « la confusion ».
Ce ne sont pas les Françaises qui ont un taux de fécondité de 2,02 mais les femmes accouchant en France.
-Les femmes asiatiques (qui n’ont pas encore la nationalité française) mais vivant en France ont une fécondité de 2,7
-Les femmes Maghrébines de 3,4
-Les Turques de 3,7
-Les Africaines de 4,3

Si on ne prend que les femmes de nationalité française, on tombe à 1,8

Si on prend les femmes nées françaises (de parents français, quelle que soit leur origine) on passe à 1,7.

Ces données, viennent de la même source officielle mais les journalistes qui se sont  » penchés sur les berceaux  » n’ont voulu y voir que des petits français …. blonds comme sur les photos de leur reportage. Il n’y a qu’a regarder régulièrement les annonces d’état civil de vos communes pour avoir un simple aperçu au seul niveau des naissances « légales » sur notre territoire.

C’est vrai que comme le précisent les journalistes dans leurs rubriques le système français est plutôt incitatif:
* 123,92 €d’allocations mensuelles à partir du 2eme enfant
* et 282,7€ par mois dès le 3eme, avec toute la batterie d’allocations qui en découlent et que perçoivent les familles qui sont installées en France, parce que leurs enfants y sont nés. (territoire de la métropole mais aussi dans les départements et territoires d’outre mer).

Bien sur « on » n’a pas voulu publier ces chiffres au moment où toute l’Europe est en train de se découvrir les symptômes d’une catastrophe annoncée en matière d’immigration…

« Nous vous vaincrons (l’Europe) par le ventre de nos femmes » disait Boumediene en 1974 à l’ONU. « Avec 4,5,6 enfants et plus par femme dans nos familles nous vous submergeront»

Mohamed Sabaoui., à Roubaix. : On leur a dit « Vous n’avez pas voulu l’Algérie Française !! Eh bien vous aurez la France Algérienne …. ».

Mohamed Sabaoui, jeune sociologue de l’université catholique de Lille, d’origine algérienne, naturalisé français.

«Notre invasion pacifique au niveau européen n’est pas encore parvenue à son terme. Nous entendons agir dans tous les pays simultanément. Comme vous nous faites de plus en plus de place, il serait stupide de notre part de ne pas en profiter… Nous serons votre Cheval de Troie».
«Les Droits de l’homme dont vous vous réclamez, vous en êtes devenus les otages. Ainsi, par exemple, si vous deviez vous adresser à moi en Algérie, ou en Arabie Saoudite, comme je vous parle maintenant, vous seriez, dans le meilleur des cas, arrêtés sur-le-champ. Vous autres Français n’êtes pas en mesure d’imposer le respect à nos jeunes».

La France va constater cruellement un jour que ce que nous disions, ce n’était pas des paroles en l’air teintées de…..

Ces propos mettant des points sur les « i » quant à la réalité du sens de la démographie française n’ont pas pour but de jeter la pierre contre des populations dont les racines sont autres que les racines -multiples- de la France millénaire… Mais la réalité de ces chiffres pèsera « lourd » dans le vécu futur de l’identité nationale…

13 septembre 2010 Publié par : | Politis | | Un commentaire

Laicité : la vrai définition

La laïcité est défini, dès les origines du christianisme comme la différence entre le spirituel et le temporel. Dans l’ordre politique, il est conceptualisé par Thomas d’Aquin qui établit une stricte différence – en même temps qu’une hiérarchie de principes – entre la loi de Dieu, le droit nature et le droit positif qui est l’œuvre des hommes. Ce faisant Thomas d’Aquin a établi une stricte distinction entre la loi de dieu et le droit positif, chose impensable tant dans l’Islam que le judaïsme.
On peut donc être laïque et chrétien (laïque et incroyant, laïc et n’importe quoi, …). La laïcité c’est reconnaître la qualité de chaque homme de participer à la construction d’une société politique en se basant sur ses capacités de discernement du bien et du mal (la morale) et du bon et du mauvais (l’éthique).
Ce principe existait dans l’Islam et avait pour nom l’Itjihad, mais « les portes de l’Itjihad » sont fermées sur ordre du calife de Cordoue au XII° siècle (à vérifier pour la date), contribuant à l’ossification de l’Islam en dogme intangible à jamais.
Précisons que le christianisme qui confondrait le Décalogue et le droit positif tomberait dans le même travers, ce qui est le cas des sectes protestantes aux Etats-Unis, qui ne sont pas plus chrétiennes que je ne suis unijambiste.
Il n’y a aucun racisme là-dedans puisque la laïcité c’est reconnaître la dignité de chaque homme comme citoyen d’une société politique, indépendamment de toute croyance, ou spécificité …

Le vrai paradoxe et la force de la culture/civilisation occidentale est que cette différentiation a été effectuée par un authentique homme d’église dés le treizième siècle, « de l’intérieur du dogme en vigueur ».

La modification des structures mentales tant conscientes qu’inconscientes précède toujours les révolutions technologiques, scientifiques, artistiques, politiques…
L’avancée conceptuelle philosophique précède la bonne gouvernance.

L’Islam, en tant que système autoréférent (« ce que je dis est la vérité ultime, révélée, incrée, intangible, donc ce que je dis est vrai… ») est non-réformable, et n’est probablement que une des dernières tentatives des forces d’ombres pour désactiver les élévations de conscience émanant à la fois de la périodes des lumières et du message d’amour christique, toutes influences à la base de la civilisation occidentale.

11 septembre 2010 Publié par : | Politis, Religion | , | Laisser un commentaire

Une parfaite stratégie de puissance

Extrait de Infoguerre.com, Paul Pobratim

Partout des hommes répandent la terreur au nom d’Allah. Pour peu, que des désordres sociaux soient menés par des jeunes gens d’apparence « typée » ,les musulmans sont montrés du doigt. En effet, les disciples de Mahomet sont affrontés à une alternative difficile: devenir des boucs émissaires, ou bien, être pris en otages par les islamistes dont le projet totalitaire passe par le chaos et la destruction.
Pour désamorcer cette situation explosive et rendre justice aux simples croyants pacifiques, il est impératif de décrypter la logique de puissance mise en oeuvre par les islamistes.

1. L’islam : une religion façonnée dès l’origine par des conflits d’intérêts de puissance.
2. Le Coran contient les éléments constitutifs d’une logique de puissance.


IX, 29 « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés . »

Partout des hommes répandent la terreur au nom d’Allah. Pour peu, que des désordres sociaux soient menés par des jeunes gens d’apparence « typée » ,les musulmans sont montrés du doigt. En effet, les disciples de Mahomet sont affrontés à une alternative difficile: devenir des boucs émissaires, ou bien, être pris en otages par les islamistes dont le projet totalitaire passe par le chaos et la destruction.
Pour désamorcer cette situation explosive et rendre justice aux simples croyants pacifiques, il est impératif de décrypter la logique de puissance mise en oeuvre par les islamistes.

1. L’islam : une religion façonnée dès l’origine par des conflits d’intérêts de puissance.

Il y a tout juste cent ans, au moment où l’école biblique de Jérusalem commençait à appliquer la méthode critique à l’étude de la Bible, quelques chercheurs entreprirent de patientes et érudites investigations sur la Tradition musulmane et découvrirent bientôt son secret, sa loi profonde.

Constituée par les Hadît (tradition du prophète : terme arabe qui désigne des paroles ou actes de Mahomet considérés comme des exemples à suivre par les musulmans ) et la Sunna (ce que la tradition musulmane rapporte des paroles, actes et préceptes de Mahomet ), elle se trouve consignée dans des recueils composés au IX° siècle par des auteurs dont le procédé consiste à remonter par une série de « garants », l’isnâd, ou chaîne de tradition, jusqu’aux témoins oculaires des événements du VIIe siècle que raconte les Hadît, d’une part, et aux auteurs des sentences juridiques que conserve la Sunna, d’autre part. La biographie traditionnelle de Mahomet, la Sirâ, ne serait-elle pas un recueil de ce genre ?

Or, les travaux du Père LAMMENS, jésuite de l’université de Beyrouth, ont montré, au début du XXe siècle, en relevant les contradictions et les différences qui apparaissent entre les Hadît que les prétendus « témoins oculaires» garants de ceux-ci sont une fiction. La Sirâ ne semble avoir d’autre base historique que le Coran, « dont elle se révèle n’être que le développement imaginaire ». Cette étape franchie, il était avéré que « la rédaction de la Sirâ relève non de deux sources parallèles et indépendantes mais d’une seule : le Coran » écrit le Père LAMMENS et que « au début du IIe siècle de l’Hégire (IX° siècle AD), quand furent fixées les grandes lignes de la Sirâ, les rédacteurs se sont attaqués aux sourates du Coran, essayant de préciser le sens, de mettre partout des dates, des noms propres. Produit de cette exégèse, procédant au petit bonheur, la Sirâ [scientifiquement établie] reste à écrire, comme le Mahomet
historique à découvrir.».

Donc, seule une étude scientifique de celui-ci peut permettre d’approcher la réalité historique de la première religion dans l’ordre chronologique du Livre ; la Tradition conservant bien sur, toute sa valeur sui generis.
Seulement, jusque dans les années 1980, aucun islamologue n’avait osé « appliquer au Livre sacré des musulmans, la méthode de critique historique et scripturaire, basée sur l’épigraphie et l’archéologie » avoue Denise Masson en guise d’introduction de sa propre traduction . Il était donc resté exempt de toute investigation scientifique grâce à l’intangibilité que lui conférait son statut de « dictée surnaturelle enregistrée par le Prophète inspiré » écrit encore Denise Masson, copie parfaite de celle « préservée sur une Tablette (auprès d’Allah) » nous dit le Coran
LXXXV,22.

Cependant, le frère Bruno Bonnet-Eymard (Petits frères du sacré coeur, disciples du Père de Foucauld), prolongeant les travaux des plus grands islamologues modernes, tel NÖLDEKE, GOLDZIHER, Jacqueline PIRENNE et le Père THERY (Hanna Zakarias) considéré comme le fondateur de « l’exégèse scientifique » du Coran, dont il fut l’élève, a entrepris grâce à sa maîtrise de l’araméen, de l’arabe, de l’hébreu, du grec, du latin ainsi que de l’exégèse, une traduction assorti d’un commentaire systématique du Coran .

Croisant étude linguistique : confrontation du Coran avec la bible hébraïque et les midrashim rabiniques et étude historique faisant appel non pas aux données légendaires fournies par les sources arabes, mais aux données positives de l’épigraphie et à des sources extra musulmanes, il parvient à confirmer l’intuition d’Hanna Zakarias qui estimait que la plus grande partie du Coran, qu’il dénomme Corab, n’est que la pure et simple traduction-explication de la Bible, « Livre » par excellence, « Coran hébreu ».

Il y a cependant un résidu, apparemment tissé d’allusions aux événements contemporains de l’auteur lui-même, témoin du fait originel, nouveau, irréductible à quelques parallèles anciens ou nouveaux. Le frère Bonnet-Eymard s’est aussi appliqué à décrypter cette partie résiduelle pour établir la vérité sur les origines de l’islam. Cette partie, appelée « Actes de l’Islam » par le Père Théry, à l’instar des Actes des Apôtres qui nous narrent les débuts du christianisme, nous rapporte, et c’est là d’une découverte de taille, l’histoire d’un rabbin himyarite de La Mecque
qui « annonce aux arabes polythéistes la religion d’Israël dans le but de les convertir au judaïsme ». Or, parmi son auditoire de riches marchands mecquois, il distingue vite Mohammed qui se convertit et commence à réciter le jour à ses compatriotes, les leçons apprises la nuit à la synagogue auprès du rabbin, son maître. Voilà comment un juif traduit et adapte en arabe des histoires juives.

Les éléments positifs sur lesquels s’appuie cette thèse, nous sont donnés par l’histoire du peuple hébreu dont la domination intellectuelle et commerciale s’est étendue progressivement de l’an 70 :
1° diaspora jusqu’au VI°siècle sur l’ensemble du Moyen-Orient sauf à Jérusalem, de la Palestine à la Mésopotamie, de l’Anatolie à la péninsule arabique au gré des flux et reflux des empires chrétien de Constantinople, Abyssin ou Perse. Ces récits historiques nous confirment en outre que l’Arabie et en particulier le Yémen fut l’objet d’un intense prosélytisme hébraïque déployé à partir de l’école de Tibériade, qui entraîna l’élaboration d’une nouvelle langue véhiculaire, l’arabe et son écriture, résultat selon Blachère14 de l’influence de l’hébreu sur l’araméen, qui lui-même, avait progressivement, supplanté, à partir du VI°siècle, l’alphabet sud-arabe tamûdéo-lihyânite. Ainsi naquit l’arabe, dont le Coran demeure le premier document et qui est à l’islam ce que le latin a longtemps été à la chrétienté.

A partir de l’Hégire (622) et de la fondation de Médine, le Prophète, fort de son message fédérateur des arabes, lance l’histoire de l’islam en participant à quelques 20 expéditions, dont 7 au cours desquels il combattit personnellement. Une guerre de raid ou « rezzou » traditionnelle chez les Bédouins, à longue portée grâce à l’usage du chameau, menée contre des byzantins ou des perses Sassanides en pleine décadence, par ses disciples soudés et motivés par leur doctrine religieuse, qui n’échouera, que devant Constantinople après être parvenue à assembler un empire équivalent à celui d’Alexandre, désormais organisé par la Shari’a ou loi islamique sous l’autorité du Calife ou « successeur du prophète » et innervé par l’Arabe, la langue impériale. Il est à noter que le succès de ces conquêtes musulmanes des califats fut plus, la résultante du peu de résistance qu’offrirent les adversaires, que motivé par l’impératif de Djihad ou guerre sainte, cependant enseigné par le Coran.

En résumé, on peut considérer que l’islam est né d’une volonté de judaïsation de la péninsule arabique visant à convertir les Bédouins polythéistes et à contrer l’influence chrétienne. Cependant, les arabes se l’approprièrent si bien qu’il devint une 3° religion, ciment de leur nation

2. Le Coran contient les éléments constitutifs d’une politique de puissance

Tout d’abord, il faut noter que le Coran proclame la prééminence et l’hégémonie islamique :

La prééminence est conférée par un droit d’aînesse, les arabes étant les héritiers d’Ismaël, fils aîné d’Abraham. L’hégémonie islamique provient du fait, que le Coran qui appelle à renouveler la soumission à Dieu, annule tous les précédents messages qui ont été pervertis. Après Adam, Noé, Abraham, Moïse et Jésus, Dieu a envoyé Mahomet, comme dernier des prophètes, porteur de la révélation ultime du monothéisme, La révélation monothéiste est parachevée par Mahomet, « le sceau des prophètes ». Ainsi dans l’Aggadah, première partie de la II°sourate, l’auteur du Coran démontre qu’il ne cherche pas tant à fonder une 3° religion qu’abolir les 2 autres en restaurant ce qu’il considère comme la seule « tradition », qiblat, abrahamique authentique.

Optimisant la Loi judaïque dont il est issu, l’islam a fusionné définitivement le spirituel et le temporel jusque dans les détails. Par exemple, lorsque la religion hébraïque interdisait toute forme d’activité humaine, même la guerre pendant Shabbat, la loi coranique prévoit une dérogation dans ce cas. A ce propos, Bernard Lewis écrit « l’idée qu’il puisse exister quelque chose qui échapperait à l’autorité de la religion, ce que les langues de la chrétienté désignent sous le nom de profane, temporel ou séculier, est totalement étranger à la pensée musulmane ».

Le Coran se pose comme un socle idéologique (religieux et politique) intangible dans son intégralité ne souffrant aucune forme d’exégèse pour cause de perfection (II, 2 & LXXXV,2.
Donc, il exclut ab initio toute possibilité d’interprétation, d’exégèse et à fortiori de contestation.

II, 86 : « Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste? Ceux d’entre vous qui agissent de la sorte ne méritent que l’ignominie dans cette vie, et au Jour de la Résurrection ils seront refoulés au plus dur châtiment, et Allah n’est pas inattentif à ce que vous faites. »

La grande innovation de l’islam est son système de législation : la Shari’a qui signifie « la voie ». C’est l’ensemble des règles qui régissent la vie communautaire et individuelle des musulmans. Dieu étant considéré comme le seul législateur, le prophète qui porte sa parole est donc la première autorité en matière de jurisprudence islamique.

La Shari’a se veut basée sur des principes généraux et fondamentaux (principes d’équité, d’égalité et de justice sociale), et entend régir non seulement le culte, mais toute la vie du croyant et de la société : capacité des personnes, différences entre musulmans et non-musulmans, mariage, répudiation, héritage, alimentation, peines des délits, organisation judiciaire, guerre etc.
Pour mettre en oeuvre une politique de puissance, il est nécessaire d’avoir des auxiliaires motivés et disciplinés.
Or, un des principaux enseignements du Coran est la soumission absolue de l’homme et de sa vie à Dieu. Islam est un mot arabe qui signifie « soumission à la volonté de Dieu » dans un contexte religieux. En tant que religion, l’islam, en effet, prêche la soumission et l’obéissance à Dieu (Allah, en arabe). La soumission à Dieu et à son prophète est relayée, d’abord, par les cinq prières quotidiennes et leurs prosternations, qui l’inscrivent à même le corps, ensuite, par la récitation littérale du Coran qui, dès le plus jeune âge, forme (au sens « formater » l’esprit des enfants (le Coran est la base de l’apprentissage du langage, de la lecture, de l’écriture et de la foi).

Cette prégnance du divin sur l’homme est complétée par un autre précepte majeur du Coran : la prédestination avantage premier sinon exclusif des fils d’Ismaël, premier né en l’alliance d’Abraham, premier circoncis avec le Père des croyants. Au début de sa prédication, Mahomet
admettait pleinement le libre arbitre et la responsabilité individuelle, notamment en ce qui concerne la liberté de se convertir à l’Islam ; plus tard, devenu chef spirituel de la nouvelle religion révélée, il lui donne un « sens politique » en insistant sur la doctrine de la prédestination et sur le fait, que personne ne pouvait s’opposer à l’Islam voulu par Dieu. Les Califes ont appuyé cette doctrine de façon très peu désintéressée, car la prédestination les légitimait et permettait d’ancrer l’idée, que tout ce qu’ils faisaient avait été décidé par Dieu et qu’aucune volonté humaine ne pouvait l’éviter. L’expression consacrée, mektoub, «c’était écrit» caractérise le succès des doctrines du destin et de la prédestination et représente non seulement une consolation pour l’homme qui se voit délivré du poids de ses actes mais, surtout, une idéologie auto légitimante rêvée pour le pouvoir.

Pour parler de stratégie, il faut un but, des moyens et un modus operandi. Donc, après avoir évoqué les visées eschatologiques du Coran, déterminé la manière dont il instrumentalise l’homme, il faut aborder le mode opératoire, qu’il préconise.
Il s’agit du Djihad ou « combat sur le sentier de Dieu ». Souvent présenté par les musulmans modernes comme une lutte mystique interne et personnelle contre soi-même, que chaque croyant livre pour demeurer et progresser sur le chemin de la sainteté, « le mot Djihad signifie [en réalité] uniquement le combat armé » a écrit dans ses Prolégomènes, Ibn Rouchd (Averroès), philosophe arabo-andalou du XII°siècle, traducteur de la philosophie hellénistique en arabe, réputé pour son ouverture d’esprit et sa modernité.
Nombre de versets du Coran viennent appuyer cette position :

II, 193: « Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. »

XXI, 11 : « Combien étaient les populations que Nous avons complètement détruites à cause de leurs iniquités. »

II, 187 : « Tuez-les partout où vous les trouverez… S’ils vous combattent, tuez-les : c’est la récompense de ceux qui sont incroyants »

IX, 5 : « Tuez les infidèles où que vous les trouvez, capturez les et assiégez- les et préparez pour eux chaque genre d’embuscade. »

IX, 123 : « Combattez les infidèles qui sont autour de vous et laissez-les vous trouver sans pitié. »

LXVII, 4 : « Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. »

IV, 84 : « Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi même, et incite les croyants au combat. Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition. »

Qui plus est, le Coran érige le Djihad en impératif catégorique pour les musulmans dans la mesure où il précise « Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d’un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent. » IX, 39 ;
ou encore « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelques infirmités – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense » IV, 95.

Il existe toutefois des versets pacifistes dans le Coran. Et lorsqu’il existe des versets contradictoires, il y a une règle bien précise pour régler ces conflits : le verset le plus récent annule le verset le plus ancien. On parle de versets abrogés (les mansukhs) et de versets abrogeants (les nasikhs). Or, les 115 versets tolérants, répartis dans 54 sourates, sont, sans aucune exception, des mansukhs, des abrogés sans valeur. En fait, ce n’est pas un hasard, l’Islam à ses débuts était une religion fragile, en position de faiblesse. Mais une fois, l’Islam en position de force, le discours de Mahomet s’est mis à changer et la tolérance n’était plus de mise.

Cet ensemble d’éléments pouvant servir une politique de puissance est complété par une espérance dérivée de celle du Messie judaïque ou chrétien : le retour du Mahdi
Le Mahdi attendu est le futur Khalife (successeur du Prophète), qui rétablira l’unité des musulmans. Ethymologiquement, le Mahdi signifie celui qui est bien guidé. Le mot dérive d’un verbe « Hada » qui signifie guider. Le Prophète Muhammad s’est servi de ce mot dans son sens littéral quand il dit « je vous recommande ma tradition et la tradition de mes khalifes orthodoxes et bien guidés après moi. » Le hadith annonce le Mahdi en plusieurs endroits. Abu Saïd Al-Khoudri rapporte du Prophète: « Je vous annonce l’arrivée du Mahdi, il sera envoyé alors que des divergences opposeront les hommes et les tremblements de terre se multiplieront, il emplira la terre de justice et d’équité après qu’elle ait été emplie d’injustice et de tyrannie, l’habitant du ciel comme l’habitant de la terre en sera satisfait, il partagera l’argent comme il se doit ». D’après
‘Abdullah Ibn Mas’ud, le Prophète a dit : « Ce monde n’atteindra pas sa fin avant qu’une personne de ma descendance ne gouverne les Arabes, et dont le nom sera le même que le mien. »
Cet espoir du retour du sauveur envoyé par Dieu est bien utile aux islamistes pour poser leur légitimité.

3. Le fondamentalisme islamique : une stratégie de puissance totalitaire

La meilleure clé pour pénétrer la stratégie de l’islamisme radical réside dans l’analyse des textes doctrinaux des dirigeants islamistes. Dans cette optique, le recueil de textes émanant d’Oussama Ben Laden, Abdallah Azzam, Ayman al-Zawahiri et Abou Moussad al-Zarquawi publié
récemment par une équipe dirigée par l’islamologue Gilles Keppel est riche d’enseignements.

La doctrine politico-religieuse, qui y est exposée, montre clairement que la séparation entre le politique et le religieux n’a aucun sens pour ces auteurs. Elle comporte cinq principes résultants d’une lecture au pied de la lettre du Coran et fondant leur stratégie :

• Le mobile de la stratégie :

La souveraineté de Dieu ne se partage pas. Donc la démocratie qui affirme la souveraineté du peuple est considérée comme impie et doit donc être combattue. Ainsi, paradoxalement, les dirigeants de l’islam djihadiste semblent moins irrités par un christianisme qui a renoncé à tout
zèle évangélique et dont il partage certaines valeurs supérieures à la loi de la majorité, que par la démocratie laïque qui tend à diviniser l’homme.

• Le objectif tangible:

N’étant pas une vérité intérieure à la conscience du croyant, la religion ne se porte bien que si elle est territorialisée. Celui-ci ne pouvant demeurer croyant que s’il baigne dans une atmosphère sociale musulmane. De ce point de vue, les occidentaux sous-estiment l’hostilité que génère la présence de leurs armées dans les pays musulmans et n’imaginent pas que la présence de musulmans sur les terres d’Occident puisse entraîner un jour des revendications territoriales préfigurées par la ghettoïsation induite de leurs banlieues, lorsqu’elles sont « prise en main » par l’islam.

• Un état-major et une force de manoeuvre :

L’islamisme est élitiste, dans la mesure où il croit en la notion d’une avant-garde religieuse et militaire (base solide), qui montre l’exemple, le chemin, qu’Abdallah Azzam développe dans son article paru dans la revue Al Djihad d’avril 1988. Cette notion est d’ailleurs reprise dans le nom
même de l’organisation de Ben Laden : Al Qaida, « la base », « le socle ».
Al Qaida, « la base », « le socle » fait en outre référence au socle rocheux récemment découvert dans les fondations de la mosquée d’Omar sous l’esplanade des mosquées à Jérusalem que les archéologues estiment être le socle du 1° temple de Jérusalem, « le temple dévasté » d’Abraham, père d’Ismaël, père des Arabes vers lequel le Coran commande 3 fois de se tourner en II, 144 – 150. Ce nom est donc une allusion directe à la ville 3 fois sainte, objectif final d’Oussama Ben Laden.
Quant aux levées de troupes, elles font aussi l’objet d’une mondialisation. Ainsi, le financement des opérations est assuré par les monarchies du Golfe, La doctrine est établie par les chefs djihadistes tel Ayman al-Zawahiri dans ses ouvrages : « Cavaliers sous l’étendard du Prophète », « L’allégeance et la rupture » ou « Conseil à l’Oumma ». Elle est diffusée par des moyens modernes comme Internet ou la chaîne de télévision mondiale « Al-Jazira » la plus radicale des cent vingt-quatre chaînes satellitaires arabes.

• La phase initiale du plan :

Il ne faut pas accepter d’allégeance envers les mots musulmans ou ceux, qui sont des musulmans hypocrites. Ainsi la guerre est déclarée contre les régimes du Proche-Orient, qui sont accusés de faire des compromis avec l’ennemi occidental.

• La seconde étape :

Il ne faut pas se contenter de la guerre en pays musulman, mais l’exporter vers l’Amérique et l’Europe pour contrer leur entreprise de colonisation du monde au moyen de la démocratie libérale (cf : les argumentaires du gouvernement américains pour légitimer leur intervention en Irak).

Le constat d’existence d’une réelle stratégie de puissance islamiste conduit naturellement enfin à étudier ses facteurs de réussite par l’analyse des forces en présence.
Le monde djihadiste est porté par des sources de financement quasi illimitées. Internet et les NTIC s’affranchissant des frontières étatiques lui permettent de réaliser enfin l’Oumma, un « Dar Al Islam » virtuel en attendant qu’il se matérialise, se territorialise…
Il possède, donc, un réservoir de troupes inépuisable motivées jusqu’à l’extrême par des certitudes eschatologiques, au demeurant en elles-mêmes fort respectables, posant l’Islam comme seul capable de sauver la planète en perdition ainsi, que le décrit Jean-Pierre Péroncel-Hugoz
dans son livre de 1983 : « Le radeau de Mahomet » ; associées aux frustrations endurées par les musulmans de par le monde. En effet, si l’Islam est à la tête d’une immense richesse (les ressources énergétiques fossiles), il n’a pas la reconnaissance ni le pouvoir qui devrait lui être associés. Ce sont là, des conditions que connaissaient bien, les grands bourgeois, qui initièrent la révolution française de 1789. Et le reste du monde musulman est constitué par les états les plus pauvres du monde ou les couches les plus défavorisées des sociétés les plus riches.

Le principal facteur renforçant les chances de succès de l’entreprise islamiste réside dans l’inadéquation des réponses apportées par les états occidentaux englués dans leur arrogance culturelle.
En effet, ces derniers, pourtant initiateurs de la société de l’information et donc de la guerre éponyme ; semble restreindre son ubiquité au terrain de la géo-économie en apportant une réponse conventionnelle à un conflit qui ne l’est pas. Or, de nos jours « des cailloux peuvent briser les armes les plus sophistiquées ». La guerre informationnelle se livre du faible au fort capturant celui-ci dans ses contradictions, ses fautes tactiques, ses paradoxes, ses mensonges et hypocrisies.

Dans cette guerre de la connaissance, les principales faiblesses de l’occident sont la contestation systématique voire le rejet par l’adversaire pour cause de blasphème de la clé de voûte de son argumentaire à savoir la démocratie libérale associée à sa vacuité spirituelle croissante liée à sa déchristianisation qu’il pare des vertus de la laïcité mais qui lui retire la considération que le Coran accorde aux monothéistes du Livre.
Le vide ainsi créé n’est pas sans rappeler celui issu de la décadence des empires perses et chrétien d’orient, facteur décisif du succès des premières conquêtes musulmanes. Aura-t-il les mêmes conséquences ? Une seule certitude, les islamistes répondent par l’affirmative.

La France en danger d’islam

Ultime faute occidentale majeure : considérer le développement économique couplé à la démocratie libérale comme une fin en soi et le remède à tous les maux révèle une incapacité à décrypter la matrice culturelle islamique et génère une vision simpliste des difficultés. Ainsi, par
exemple, le problème de l’Islam dans les banlieues est réduit à des données économiques (pauvreté, chômage, etc.). Mais si l’Islam était soluble dans l’argent, il semble que les pays du golfe persique auraient une autre figure. Et si seule la pauvreté obérait l’intégration des minorités
musulmanes des banlieues ? Alors, pourquoi, si ce n’est sous la pression de la communauté, de nos jours, dans nos cités, aucun musulman d’origine ne peut donner un prénom français à son enfant ?

25 août 2010 Publié par : | Politis | | Laisser un commentaire

Ils ont voulu la tranquillité, ils auront la guerre et l’asservissement

Qu’est ce que la France?

– un territoire : c’est secondaire
– une histoire : certainement mais c’est une conséquence
– Des valeurs : assurément, elles en ont généré l’histoire et la géographie
– Un rôle dans l’évolution de la conscience mondiale : indubitablement

Des valeurs, lesquelles ?
L’assurance que tout être se voit reconnaître des droits semblables
Une force symbolique qui en as fait la patrie des mathématiciens (explosion de l’école française au 18 ème siecle), c’est à dire du seul langage mondial existant
Une curiosité qui assure que « rien n’est sacré », tout doit être jugé à ses fruits, à l’aune du réel…
d’où l’éclosion du siècle des lumières et des philosophes…

La France c’est l’assurance que le monde est ce que nous en faisons, que toute chose est transitoire, voire illusoire…mais à tout le moins un sujet d’étude

L’esprit de la France est de tout remettre en cause et de jauger chaque chose selon son environnement spatio-temporel provisoire : elle a toujours joué ce rôle de catalyseur dans la récente histoire mondiale.
Tout dogme qui assimile un livre, des concepts… à quelque chose d’inattaquable, d’inétudiable, d’intangible, d’indépendant du temps et de l’espace…se disant d’essence divine, est donc contraire à l’esprit français. L’esprit français, de par son histoire est « questionnement critique » tant en philosophie qu’en sciences ou autre domaine de la vie courante.

Voila pourquoi la transformation de la France en une république islamique, peuplée de robots incultes et manipulés, à la pensée en bouillie, farcie de préjugés archaïques et de pulsions névrotiques, égarés par nos « idiots utiles » de la « bienpensance »,  signerait un signe avant-coureur du blocage (j’espère provisoire)  de l’évolution de la conscience humaine sur cette terre.

Comment excuser ces « idiots utiles » des media de la bienpensance » et ces lâches démissions d’hommes politiques cupides ou à courte-vue… qui enterrent ainsi joyeusement des siècles d’évolution!

Il est très possible que, pour l’Europe, l’heure de la dernière chance soit dépassée et que des heures très sombres se profilent.... Je ne sais quelles ruines on visitera à Paris ou à Bruxelles dans quelques siècles, mais on peut d’ores et déjà présager, avec quelque crédibilité, que, si visiteurs il y a, ils parleront de l’Europe au passé.
L’islam radical avance, place ses pions sur l’échiquier planétaire, sans même cacher ses intentions.... Israël et les États-Unis s’inquiètent, mais dans les pays très vieux où nous vivons, tout se passe comme si la mort était déjà installée dans les têtes et comme si, puisqu’elle est acceptée, on se refusait à voir l’évidence.
Une menace totalitaire monte sur l’horizon, gorgée de haine meurtrière et génocidaire, mais on parle, en Europe de diplomatie...

L’Europe agonise, L’Europe se suicide…

Ce que l’on appelle apaisement est aux yeux d’un islamiste, acceptation de soumission,
Pour un homme libre cela porte un autre nom : la lâcheté.

1 août 2010 Publié par : | Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

Les fourriers de l’apocalypse

extraits : Par Ion Mihai Pacepa [1], lieutenant général, ex-responsable des services secrets roumains dont le livre « Horizons rouges » a été publié dans plus de 27 pays.

voir article ici

« Aujourd’hui, nous faisons face à l’islamofascisme et à la terreur nucléaire et antisémite. L’Onu ne donne aucun espoir, elle n’a même pas été capable de définir le mot terrorisme ».

Il est probable que la Russie soit le principal gagnant dans la guerre du Liban. Israël a été attaqué avec des Kalashnikovs, des Katiouchas, des missiles russes Fajr-1/3, des missiles russes anti-tank Spandrel AT-5 et Kornet. Les arsenaux russes sont aujourd’hui ouverts à tous les terroristes du monde, et tous les voyous du monde savent où trouver ces armes ! Les caisses prises au Hezbollah portaient ces inscriptions « Client : Ministre de la défense de Syrie- Fournisseur : KBP, Tula, Russie ».

Le terrorisme d’aujourd’hui a été conçu à Loubianka, quartier général du KGB, dans les années qui ont suivi la Guerre des six Jours. J’ai assisté à cette naissance, lors de ma précédente vie, lorsque j’étais un général communiste. Israël venait d’humilier l’Egypte et la Syrie dont les gouvernements bellicistes étaient dirigés par des agents du KGB, conseillers expédiés par le Kremlin, qui avait également décidé d’armer les Palestiniens, pour les amener à un conflit terroriste contre Israël. Le général Alexandre Sakharovski, qui a créé la structure du Renseignement en Roumanie et qui a fini par diriger tout le Renseignement extérieur soviétique, me faisait souvent la leçon « dans ce monde que nous vivons, quand les armes nucléaires rendront obsolètes les forces armées, le terrorisme deviendra notre principale arme ».

Entre 1968 et 1978, l’année où j’ai rompu avec le communisme, les forces de sécurité roumaines expédiaient chaque semaine aux terroristes palestiniens au Liban deux avions cargo pleins d’armes. Après la chute du communisme, les archives de la Stasi (Allemagne de l’Est) ont révélé qu’en 1983 seulement, ce service de renseignement avait envoyé des AK-47 pour près de 1,9 millions $. Selon Vaclav Havel, la Tchécoslovaquie communiste a expédié plus de 1000 tonnes d’explosif Semtex-H (qui ne peut être repéré par des chiens renifleurs) aux islamistes, les approvisionnant pour 150 ans de terreur.

La guerre de la terreur proprement dite a commencé à la fin de 1968, quand le KGB a transformé le détournement d’avions en une arme de guerre. En 1969 seulement, il y eut 82 détournements dans le monde, menés par une OLP financée par le KGB. En 1971, lorsque j’ai visité A Sakharovski dans son bureau de la Loubianka, il a attiré mon attention sur une mappemonde plantée d’une myriade de petits drapeaux rouges, se vantant d’être l’inventeur de cette nouvelle arme, le détournement d’avions.

Le succès politique obtenu par le détournement d’avions israéliens a encouragé le KGB [2] à organiser des exécutions publiques de Juifs à travers le monde, dans les aéroports, les gares, et les places connues. En 1969, Dr Georges Habach, une marionnette du KGB, expliquait : « Tuer un seul Juif très loin du champ de bataille est plus efficace que tuer des centaines de Juifs sur le champ de bataille, car cela attire plus l’attention ! »

A la fin des années 60, le KGB était impliqué jusqu’au cou dans le terrorisme de masse contre les Juifs, opérations menées par diverses organisations palestiniennes clientes. Voici quelques opérations terroristes sous l’égide du KGB, alors que j’étais encore en Roumanie.

– nov 1969 : attaque armée contre un bureau d’El Al à Athènes, 1 mort 14 blessés
– 30/05/72 : attaque à l’aéroport Ben Gourion, 22 morts 76 blessés
– déc 74 : bombe dans un cinéma de Tel-Aviv, 2 morts 66 blessés
– mars 75 : attaque dans un hôtel de Tel-Aviv, 25 morts 6 blessés
– mai 75 : bombe à Jérusalem, 1 mort 3 blessés
– 04/07/75 : bombe au squ Zion à Jérusalem, 15 morts 62 blessés
– avril 78 : attaque à l’aéroport de Bruxelles, 12 blessés
– mai 78 : attaque d’un avion d’El Al à Paris, 12 blessés…

En 1971, le KGB lança l’opération « Typhon » dans le but de déstabiliser l’Europe Occidentale. Le groupe Baader-Meinhof et la Faction Armée Rouge et d’autres organisations marxistes parrainées par le KGB ont fait déferler une vague de terreur anti-américaine qui ébranla la région. L’agent de la CIA à Athènes, Richard Welsh a été assassiné le 23 décembre. Le général Alexandre Haig, commandant de l’OTAN à Bruxelles a été blessé lors d’une explosion de sa voiture blindée en juin 1979. Le général F J Kroesen, commandant des forces armées en Europe a à peine survécu à un missile lancé en septembre 1981. Alfred Herrhausen, le président pro américain de la Deutshe Bank a été assassiné à la grenade en novembre 1989. Hans Neusel, le Secrétaire d’état de l’Allemagne Occidentale a été blessé lors d’une attaque visant à le tuer en juillet 1990.

En 1972, le Kremlin décida de retourner le monde islamique contre Israël et les Etats-Unis. Comme le président du KGB Youry Andropov me l’a confié, « un milliard d’individus montés contre l’Amérique peuvent faire plus de mal que quelques millions. Nous devons instiller dans le monde islamique une haine du Juif comparable à celle des nazis, afin de transformer cette arme de l’émotion en un bain de sang terroriste contre Israël et les Etats-Unis. Personne dans la sphère d’influence américano-sioniste ne doit se sentir en sécurité ! »

Selon Andropov le monde islamique était un humus en attente de fertiliser la haine de l’Amérique, nourri de la pensée marxiste-léniniste et de l’antisémitisme islamique. Les Musulmans avaient le goût du nationalisme (au sens de l’oumma, la nation musulmane – ndlr), du chauvinisme et surtout de la victimologie. On pouvait exciter leurs foules opprimées et illettrées jusqu’aux dernières limites. Il me disait que « la terreur et la violence contre Israël et son maître, le sionisme américain, allaient couler naturellement de cette ferveur religieuse. Il suffit de répéter nos thèmes à l’infini, que les Etats-Unis et Israël sont des états fascistes et impérialistes, financés par des Juifs riches. L’Islam est obsédé par l’évacuation de sa terre par les Infidèles et il est ainsi réceptif à nos accusations d’un Congrès américain rapace et vendu aux Juifs, cherchant à judaïser le monde ».

Le nom de code de cette opération était « SIG », ou « gouvernement sioniste » et se trouvait dans ma sphère d’influence roumaine, du fait qu’il incluait la Libye, le Liban, la Syrie. SIG était à la fois l’affaire de l’Etat et celle du parti. Nous avons construit avec ces pays des hôpitaux, des logements et des routes, et nous leur avons envoyé des médecins, des ingénieurs, des professeurs et même des spécialistes de la danse. Le but était de prêcher la parole que les Américains étaient arrogants et hautains, judaïsés par de l’argent juif et menés par des politiciens juifs, dans le but d’asservir tout le monde musulman.

Au milieu des années 70, le KGB, a donné ordre à mon service le DIE, et à d’autres services analogues de l’Europe de l’Est de ratisser le pays pour trouver des activistes de confiance dans le parti, appartenant à divers groupes ethniques musulmans. Le but était de les entraîner à la désinformation et aux opérations terroristes pour les infiltrer ensuite dans les pays de notre zone d’influence. Il s’agissait bien d’y implanter l’horreur du sionisme américain, en s’appuyant sur la haine ancestrale du Juif. Avant que je ne quitte la Roumanie pour de bon en 1978, ma DIE avait déjà envoyé 500 agents émissaires dans les pays islamiques. Selon une estimation reçue de Moscou, l’ensemble du bloc soviétique avait infiltré plus de 4000 agents d’influence en Islam.

Au milieu des années 70, nous avions commencé déjà à inonder l’univers islamique de livres « Les Protocoles des Sages de Sion » en arabe [3]. On aussi parsemé les pays d’une documentation « fabriquée » en arabe racontant qu’Israël et son soutien les Etats-Unis étaient des pays sionistes cherchant à convertir par leur culture le monde islamique en une colonie juive… En fait on cherchait à conquérir les esprits, incapables de les conquérir militairement. On ne peut pas connaître les véritables retombées de l’opération SIG. Mais la masse d’une fausse littérature de propagande distribuée dans le but de diffamer ne peut pas être sans effet.

La Russie actuelle n’est plus la même, mais la croyance que le funeste héritage soviétique a disparu à la fin de la guerre froide est utopique. Dans les années 50, alors que j’étais le chef de l’antenne du Renseignement Roumain en Allemagne Occidentale, j’ai été le témoin de la destruction du 3ème Reich hitlérien, police, armée, idées tout a été démoli. Alors que la dénazification a sévi en Allemagne, il n’y a pas eu de « désoviétisation » en Urss. Il n’y a pas eu de procès pour juger ceux qui ont assassiné des centaines de millions de gens. Toutes les institutions soviétiques ont été laissées en place, avec des nouveaux noms, et toujours dirigées par les mêmes personnages communistes. En 2000, les anciens dirigeants du KGB et de l’Armée soviétique ont pris d’assaut le Kremlin et le gouvernement de la Russie. L’Allemagne n’aurait jamais été une démocratie si la Gestapo et les officiers SS continuaient à gouverner.

Le 11/09/01 Vladimir Poutine a été le premier chef d’état à exprimer sa sympathie au président G W Bush, pour « cette terrible tragédie due aux attaques terroristes ». Pourtant aussitôt, il réengageait son pays dans « les affaires » du terrorisme. En mars 2002 Poutine a réadmis la vente d’armes à l’Iran et lui a vendu un réacteur nucléaire de 1000 mégawatts à Bushehr, avec la conversion possible de l’uranium pour des armes nucléaires. Des centaines de techniciens russes ont commencé à aider l’Iran à développer le missile Shehab-4, ayant une portée de 2000 km, pouvant emporter une charge nucléaire ou bactériologique.

Aujourd’hui, le président Iranien Ahmadinejad persiste dans sa volonté d’enrichir l’uranium, malgré des années d’efforts verbaux pour l’en empêcher, diffamant Israël à toute occasion, le traitant de « tache laide au milieu du monde islamique qu’on doit éliminer ». Rappelons que lors de la 2ème guerre mondiale 405 399 Américains sont morts pour éradiquer le fascisme nazi et sa terreur antisémite. Aujourd’hui nous sommes face à un fascisme islamique et un terrorisme nucléaire et antisémite. L’Onu ne donne aucun espoir, elle n’a même pas été capable de définir le mot terrorisme.

Un proverbe dit qu’un feu élimine un autre feu. Le Kremlin pourrait être notre meilleur espoir.

En mai 2002, les ministres des affaires étrangères de l’OTAN ont accepté un partenariat avec la Russie, un ancien ennemi. Le reste du monde a cru que l’ère de la guerre froide était close. Kaput ! Aujourd’hui la Russie veut entrer à l’Organisation du Commerce Mondial (OCM). Avant de l’accepter on pourrait lui demander de cesser « les affaires » du terrorisme. Et l’aider à comprendre qu’il ne va pas de son intérêt qu’Ahmadinejad ait une bombe nucléaire, car même la Russie pourra un jour être considérée comme un ennemi. Et comme l’a dit le président Bush, « le jour où l’Iran aura l’arme nucléaire, ce sera un problème pour tous, même pour la Russie ».

 

4 juillet 2010 Publié par : | Histoire, Politis | | Laisser un commentaire

Le pacifisme pour les nuls

« Le prix payé en terme de sang répandu dans les guerres est hors de proportion quant aux résultats obtenus, les nations qui se font la guerre ne cessent pas d’exister même quand elles subissent la défaite, les passions politiques et l’aveuglement patriotique en dépit de toutes ces rivières de sang n’atteignent que des résultats dérisoires en ce qui a trait au sentiment et à l’intérêt national. Si les états appliquaient, ne serait-ce qu’une fraction de ces sacrifices à des fins plus sages, le succès obtenu serait nettement plus grand et plus durable… Le résultat tangible de toutes les guerres est de détruire la fleur de la jeunesse des nations…

Nous avons besoin de la paix et nous désirons la paix! »

Adolf Hitler
Discours devant le Reichstag, 21 mai 1934, aux lendemains de sa violation des clauses militaires du traité de Versailles.

Les pacifistes et les gauchistes ont alors tout gobé et avec un enthousiasme délirant, de la même façon qu’ils gobent aujourd’hui tout ce qui les maintient dans leur aveuglement. Nos actuels idiots utiles de l’islamo-gôche pavent la voie à de bien pires reculades et lâchetés… et tout cela pour quelques voix illusoires et juteuses prébendes…

 

4 juillet 2010 Publié par : | Histoire, Politis | | Laisser un commentaire

Une crise économique, non une crise ethique

L’état échoue parce que ce n’est pas son rôle de fournir, de produire, ..
Le seul rôle de l’état devrait être de définir et faire appliquer des règles de fonctionnements collectifs, prenant en compte les intérêts à moyen et long terme de la population (passée et à venir).
L’état n’a pas à produire des services de sécurité sociale, il doit seulement (et c’est essentiel) s’assurer que chacun bénéficie d’une telle protection (fournie et optimisée par des acteurs privés).
Le bémol que je mettrai est l’oubli de la prise en compte (dans cette article) des intérêts des autres acteurs de notre biosphère(plantes, animaux, …)
Quid du magister moral du long terme que l’entreprise privée ne peut assurer?
En effet croire que la main « invisible » du marché,  l’équilibre automatique entre acteurs économiques assurerait l’optimum est au mieux un mythe, au pire une stupidité.
Qui peut penser que la somme des actions économiques à  court terme (orientées vers un gain monétaire limité) assurerai l’harmonie sur le long terme accompagné du courage de prendre les décisions de long terme qui en découlent.

Le  « tout privé », je veux bien, …à condition que la puissance de régulation/contrôle étatique soit irréductible et sans failles.

Que les acteurs économiques voulant vendre sur place, produise et emploie sur place

Propositions pour sortir de la crise

22 juin 2010 Publié par : | Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire

l’inévitable réduction de population

Une perception fine et un esprit equilibré « d’honnète homme » au sens 18eme siecle permettait déjà de prévoir bien des choses il y a trente ans.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=286298
Les signaux ont été oubliés, bafoués, les « Cassandre » moqués et trainés en dérision…

Pourquoi les mayas ont diparus? Lire cet extraordinaire article dans « le courrier international »
http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=49605&provenance=zop.archives

Maintenant même un changement extremement drastique (reellement drastique = arret TOTAL de la consommation du petrole, changement de systèmes de valeurs …) serait probablement encore trop tardif, …
Que dire des adeptes du greed et de la vie gloutonne , de l’ocidental way of life, qui refusent d’arréter de consommer 100 fois plus qu’un indien…
Que dire de ces mythes de la croissance, …croissance de la destruction et de la disharmonie qui font croire au bon peuple que 3% de croissance en fabrication de produits inutiles et nocifs leur fournira un emploi et des ressources…

Apprenons à vivre simplement ou mourrons tant dans notre âme, dans notre corps…
J’ai peur que la seule vrai solution ne soit dorénavant la destruction nécessaire et massive de l’espece de parasites ayant mis la terre en coupe réglée, sans souci des autres formes de vie, détruisant ainsi le véhicule de milliard d’autres especes…
Que ce soit par l’intermediaire d’un virus, de guerres, de famines…au choix…
L ‘homme, en tant que corps constitué, ne semble pas s’être montré digne d’en être le gardien!!!
Y aurait-il encore des moyens d’espoir cependant? prise de conscience et mise sous le boisseau des forces d’argent et de pouvoir?

l’inévitable réduction de population (worldwatch)

« D’un coté, les projections démographiques modérées à conservatrices indiquent que le nombre d’habitants sur la planète atteindra, presque avec certitude, 9 milliards, peut-être plus, d’ici le milieu du 21eme siècle. De l’autre, des estimations scientifiques prudentes et de plus en plus fiables laissent entendre que la capacité de charge de la terre à long terme, a un niveau de vie qui pourrait être defini comme allant de « adéquat » à « modérement confortable », selon les standards des pays developpés, pourrait ne pas dépasser deux ou trois milliards. Cela pourrait être considérablement moins, particulierement si le style de vie de référence (niveau de consommation) auquel les gens aspirent se rapproche de celui des Etats-Unis.
Visiblement, un changement démographique de cette amplitude nécessitera une réorientation majeure de la pensée, des valeurs, des attentes et des modes de vie de l’humanité. Il n’y a pas de garanties quant au succès d’un tel programme. Mais si l’humanité échoue dans sa tentative, la nature imposera certainement une realité encore plus dure. En tant qu’homme libre et réllement pensant, je crains que cette crise démographique et environnementale métastasant rapidement (bien qu’elle soit partiellement cachée) ne se révèle être la plus grande impasse évolutionnaire/écologique jamais rencontrée par notre espèce.

Si l’on regarde au-delà des inquiétudes à court terme qui ont empoisonné les débats sur la population au niveau politique, il apparaît de plus en plus clairement que la viabilité de la civilisation à long terme nécessitera non seulement une stabilisation du nombre d’êtres humains, comme on l’a estimé, sur les 50 prochaines années, mais également une réduction colossale à la fois de la population et de la consommation.

La tension grandissante entre deux tendances apparemment irréconciliables est devenue de plus en plus visible ces 50 dernières années. D’un côté, les projections démographiques modérées à conservatrices indiquent que le nombre d’habitants sur la planète atteindra, presque avec certitude, 9 milliards, peut-être plus, d’ici le milieu du 21ème siècle. De l’autre, des estimations scientifiques prudentes et de plus en plus fiables laissent entendre que la capacité de charge de la terre à long terme, à un niveau de vie qui pourrait être défini comme allant de « adéquat » à « modérément confortable », selon les standards des pays développés, pourrait ne pas dépasser deux ou trois milliards. Cela pourrait être considérablement moins, particulièrement si le style de vie de référence (niveau de consommation) auquel les gens aspirent se rapproche de celui des Etats-Unis.

En réaction à ce « dilemme malthusien » des temps modernes, il est grand temps de penser sérieusement au futur à moyen terme et d’envisager des alternatives qui vont plus loin que le simple ralentissement ou l’arrêt de la croissance démographique mondiale. L’espèce humaine doit développer, et rapidement mettre en application, des programmes bien conçus, clairement articulés, flexibles, équitables et coordonnés au niveau international, pour réduire la population humaine de façon significative sur les deux prochains siècles ou plus. Cet effort demandera probablement une réduction de la population mondiale d’au moins deux tiers à trois quarts, des 9 à 10 milliards d’individus prévus pour la seconde moitié du 21ème siècle à une « population optimale » future (à partir du 23ème siècle) ne dépassant pas les 2 à 3 milliards.

Visiblement, un changement démographique de cette amplitude nécessitera une réorientation majeure de la pensée, des valeurs, des attentes et des modes de vie de l’humanité. Il n’y a pas de garanties quant au succès d’un tel programme. Mais si l’humanité échoue dans sa tentative, la nature imposera certainement une réalité encore plus dure. En tant qu’anthropologue physique et biologiste spécialisé dans l’évolution humaine, je crains que cette crise démographique et environnementale métastasant rapidement (bien qu’elle soit partiellement cachée) ne se révèle être la plus grande impasse évolutionnaire/écologique jamais rencontrée par notre espèce. »

2 Mai 2010 Publié par : | Gaia, Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire

La démocratie est dorénavant un mauvais système

La démocratie entraine la planète et le monde vers sa perte.
De la démocratie en Amerique Alexis de Tocqueville 1840
En clair, nous, citoyens et individus sommes directement responsables de l’impéritie de nos politiques.

A partir d’un regard d’entomologiste méthodique porté sur la société américaine du début du 19è siècle (le voyage de Tocqueville aux Etats-unis a eu lieu en 1831), ce philosophe nous propose un regard rarement égalé sur l’organisation des sociétés democratiques et la manière dont elle prend forme en fonction de notre nature profonde.

Pourquoi donc citer cet auteur à propos du climat ?

Parce que les principaux émetteurs de gaz à effet de serre (Etats-Unis, tous les pays d’Europe, Japon, Inde, la Chine étant la seule exception) sont des démocraties, que l’effort à effectuer pour changer la donne est tellement considérable qu’il nécessitera bien plus de temps qu’un mandat d’élu, et donc qu’il est légitime de se demander si un système dans lequel on change toutes les quelques années l’individu qui tient la barre peut nous offrir le salut quand l’effort doit être soutenu sur 30 ou 50 ans.

C’est ainsi que la lecture de Tocqueville propose des raisonnements et des informations incomparables pour nourrir la réflexion sur le sujet. Je ne résiste pas au plaisir de vous livrer quelques unes des prophéties que l’on peut découvrir en lisant le deuxième tome de cet ouvrage :

la société démocratique amènera la consommation de masse, avec des produits auxquels les fabricants chercheront à donner « des propriétés brillantes que ces produits n’ont pas » (ceci a été écrit à une époque où n’existait ni publicité, ni supermarchés !),

en démocratie, il sera bien vu de travailler, et mal vu de vivre de ses rentes (alors qu’en aristocratie, les nobles, qui occupent le sommet de l’échelle, n’ont pas de fonction productive),

en démocratie, on accordera un grand prix aux « conceptions superficielles de l’intelligence » (dixit Tocqueville), et peu à la réflexion « profonde et lente » et la prise de hauteur de vue,

en démocratie, la presse constituera un pouvoir extrêmement puissant (bien vu !),

la démocratie renforcera l’individualisme, et la propension à se considérer perpétuellement insatisfait de son sort ,

en démocratie, le temps se raccourcira : on oubliera ses prédecesseurs et ses successeurs, pour se concentrer tout entier sur le temps présent ; l’amour des « jouissances présentes » risquera fort d’occulter, pour les citoyens, « l’intérêt de leur propre avenir et celui de leurs descendants »,

Dans un tel étalage de prophéties visionnaires (le livre en comporte une toutes les 3 pages, puisque l’on peut aussi trouver – en 1840 – que le monde sera partagé entre une sphère d’influence américaine et une sphère d’influence russe, que l’Amérique du Sud deviendra totalement sous influence nord-américaine, et j’en passe), que l’on pourrait penser écrit la semaine dernière si ce n’était le style, comment ne pas être perplexe devant cette autre conclusion de l’auteur : totalement absorbées par la gestion de leurs affaires commerciales, qui sera leur « grande occupation », les démocraties sont myopes, incapables de prévenir les périls de long terme…

Cette inquiétante nouvelle recoupe une autre conclusion majeure de cet ouvrage, qui cadre totalement avec ma propre expérience : en démocratie, les élus ne sont pas chargés d’être « plus visionnaires » ou « plus sages » que les électeurs (ou à leur place), mais uniquement chargés d’exécuter les désirs de ces derniers. Lorsque le citoyen demande à l’élu d’être plus anticipateur ou plus avisé que lui, il se méprend : rien dans le cahier des charges de l’élu ne lui dicte d’être plus audacieux que « l’état de l’opinion », ou de gérer notre schizophrénie à notre place.

De ce fait, quand nous pensons, pour le changement climatique, que « ils savent et ne font rien », nous commettons une double erreur de jugement :

ils ne savent pas plus que nous. Pour un problème donné, on va trouver entre 5 et 10 députés qui en savent plus long que la moyenne, et tous les autres s’informent de la même manière que la population dans son ensemble : en lisant le journal ! Cette règle est aussi valable pour les ministres : sur 45 ministres qui composent un gouvernement, entre 0 et 2 ont à peu près compris les implications de ce que cela signifie de lutter contre le changement climatique, et les autres ni plus ni moins que le « citoyen lambda »,

en même temps que l’opinion est actuellement majoritairement demandeuse de « quelque chose » pour qu’il n’y a ait pas de changement climatique dangereux, l’opinion est actuellement majoritairement contre à peu près tous les éléments de solution :

une augmentation du prix des énergies fossiles (de toutes les énergies ! gaz naturel, carburants routiers, kérosène, fioul domestique….), alors que c’est la seule manière de faire des économies, sinon les « astuces » techniques sont compensées par une hausse de la consommation,

l’arrêt de la construction de routes, surtout la rocade qui permettrait de supprimer le bouchon en bas de chez eux, mais une fois que l’on a construit la route devant chez tout le monde il semble difficile de souhaiter une diminution du trafic en général !

la mise en place d’une réglementation contraignante sur les consommations d’énergie du bâtiment,

l’augmentation progressive du prix des produits manufacturés, car il a bien fallu fabriquer ces derniers, et aujourd’hui plus on en fabrique et plus on dérègle le climat,

etc…

En d’autres termes, la conclusion implicite de Tocqueville, énoncée à une époque où le changement climatique n’existait assurément pas comme sujet largement médiatisé (mais était déjà connu d’un ou deux physiciens !), est qu’il appartient à vous et moi de comprendre en quoi nos demandes sont ou non antagonistes, et d’envoyer à l’élu une demande explicite et débarrassée de ses contradictions.

Pour être parfaitement clair, le jour où nous dirons à la puissance publique : « nous avons bien compris que de lutter contre le changement climatique suppose de monter progressivement le prix du fioul, du kérosène, du gaz naturel, de l’essence et du diesel, et nous avons bien compris que cela allait conduire les ordinateurs, les maisons, la viande de boeuf et les déplacements à coûter plus cher, mais nous l’acceptons car le confort de vie – voire la survie – de nos petits enfants est à ce prix », il n’y a aucun doute à avoir sur le fait que l’Assemblée Nationale en tiendra compte dans son vote du budget….. comme il n’y a aucun doute à avoir sur le fait que tant que nous serons contre les éléments de solution, il ne se passera jamais rien dans les bons ordres de grandeur avant les ennuis.

En guise de conclusion, je formulerai donc ce conseil : avant toute spéculation sur notre avenir climatique, lisez ou relisez Tocqueville !

22 mars 2010 Publié par : | Histoire, Politis | Laisser un commentaire

Libres propos sur la guerre et la paix

« La civilisation a été un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire Romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers, Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. »

Adolf Hitler, 28 août 1942, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, vol.2, 1954, p.297.

On appréciera le diplôme d’humanité et de développement humain décerné au « mahométisme », vu la qualité du signataire…
et effectivement le signataire privilégiait « les forts gagnent aux dépens des faibles » plutôt les valeurs de la loi d’amour…

Le dit « mahométisme » s’étant révélé relativement récemment, comme un secte hérétique judaïque (inspiration des judéo-nazaréens ) par des recherches historiques, ethnologique, sémantiques, archéologiques…
Cela explique les sympathies avérées de la doctrine nazie d’avec le dit « mahometisme » et par voie de conséquence la haine inexpugnable, implicite, consubstantielle des arabo-musulmans envers les juifs.

Les comportements des populations arabo-musulmanes (rites similaires et proches, lois  -talion-, organisation politico-religieuse semblable, norme de société, …) sont trés proches des habitudes culturelles juives, ce qui en illustre la proximité, donc l’acrimonie agressive perpétuelle.

mahomet chef de guerre

La guerre sera là inévitablement, parce que l’Islam, sous son dogme unique et rigide et le message de conquête universelle qu’il véhicule, s’est fixé un but qui répond au message coranique: le devoir de conversion ou de soumission de l’ensemble de l’humanité, soutenu par les « multi-milliards » de pétrodollars du monde arabo-musulman.
Lorsque le moment sera venu, l’appel pour le djihad résonnera partout en Occident. Et alors vous verrez combien de ces gens « pacifiques », « modérés » et « bien intégrés » parmi les musulmans viendront se tenir à vos côtés dans votre lutte pour la liberté, vous les kafirs (mécréants) de race inférieure. Car pour l’islam, vous êtes la race inférieure.
« Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart  d’entre eux sont des pervers » (coran, 3:110).
« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes »(coran, 2:193).
L’islam a déclaré la guerre à l’Occident, mais l’Occident ne le sait pas encore.

27 septembre 2009 Publié par : | Histoire, Politis | | Laisser un commentaire

Un Islam modéré? non c’est un totalitarisme

Recep Tayip Erdogan,  Chicago, 21 aout 2007:

“Vous parlez “d’Islam modéré”? Cette expression est détestable , elle est une offense et une insulte à notre religion. Il n’existe pas d’Islam modéré et d’Islam immodéré. L’Islam est l’Islam, un point c’est tout.”

Ayaan Hirsi Ali, magazine Reason, 12 oct 2007:

“Il n’existe pas d’Islam modéré. Il existe des Musulmans qui ne suivent pas toutes les règles de l’Islam, mais il n’y a bien qu’un seul Islam, défini comme la soumission à la volonté d’Allah. Et il n’y a rien de modéré en cela.”

Dr Wafa Sultan, Syrienne vivant aux Etats-Unis, psychiatre, 2 juin 2008:

“Quand j’étudie le Coran et les Hadiths au microscope, j’aboutis à la conviction absolue qu’il est impossible – impossible –  pour un être humain de lire la biographie de Mahomet et d’y croire,  tout en étant psychologiquement et mentalement d’esprit sain. Je ne considère pas l’Islam comme une religion. L’Islam est une doctrine politique qui s’impose par la crainte. Toute doctrine, quelle qu’elle soit, qui appelle à tuer ceux qui ne croient pas en elle ne peut être une religion. L’Islam est une doctrine totalitaire qui s’impose par la terreur.

Le Musulman que nous appelons modéré est donc un piètre Musulman.  Le vrai Musulman applique le Coran : il se contente de se soumettre à ce qu’il lit. Car Islam signifie « soumission ». Et ce qu’il lit c’est Mein Kampf! Il n’y a pas de différences entre islam et islamisme. Ceux qui se réclame de l’un en repoussant l’autre  sont au mieux des « idiots utiles », au pire des fanatiques cachés pratiquant de la Taqya (dissimulation des vrais motivations lorsque le « soumis » se trouve en état de faiblesse – pratique prônée par l’Islam comme d’un haute valeur morale!!!). La preuve? Les versets du coran , par définition intangible et non modifiable, appelant au meurtre, à l’esclavage, à la mort pour tout apostat, à l’application dans le monde entier de la « vrai foi », etc… Tant que cela sera écrit, admis comme norme par les « anes récitants » ou les autoproclamés « lettrés » , les deux définitions ne resteront qu’une différence d’état.

Nous avons à faire à impérialisme guerrier se réclamant de la conquête de la totalité du monde au nom d’une « spiritualité ». C’est un fanatisme religieux combiné au désir de revanche du monde Arabo-Musulman, monde clamant de l’humiliation subie par la colonisation, exactement comme l’Allemagne fût humilié par le traité de Versailles. C’est un totalitarisme théocratique et anti-occidental d’une nouvelle sorte, le premier totalitarisme qui n’a pas été inventé par des esprits européens, et qui parle au nom du tiers-monde qu’il voudrait rallier sous sa verte bannière.

Après le totalitarisme rouge, fondé sur la « lutte des classes », et le totalitarisme brun fondé sur la « bataille des races », l’on devra, cette fois se confronter au totalitarisme vert fondé sur « la bataille des religions et des civilisations ». Ce troisième totalitarisme ne parait plus faible que les deux autres qu’en surface. Il n’est, en fait, pas encapsulé dans un état totalitaire comme le furent Nazisme et Communisme; il n’a pas à sa disposition un arsenal nucléaire et stratégique similaire à ceux des USA, Russie ou Chine, même si, le Pakistan serait la bombe nucléaire de l’Islam. Il a cependant trois atouts qu’il considère comme des dons d’allah : une population en forte croissance, les plus grosses réserves de pétrole du monde, et une détermination sans limites qui pousse des générations de kamikazes à préférer les forces de mort à celles de la vie. Ce grand totalitarisme n’en est qu’à ses débuts, en phase ascendante et sera probablement plus difficile à éradiquer que les deux précédents.

Plus difficile car ses atouts reposent sur des faiblesses symétriques des cultures ouvertes et tolérantes de l’ouest : une population suicidaire en termes démographique (taux de renouvellement Allemagne, Italie, Espagne, Russie… entre 1,3 et 1,5), des dirigeants aveugles et sans courage, une opinion faible, et manipulée par les marchands, ayant perdu ses valeurs pionnières, et acceptant le déclin.

L »occident a échoué à gérer sa terre et son environnement avec conscience et équilibre, alors effectivement : Pourquoi ne pas se laisser aller à cette tentation suicidaire,  s’oublier dans des excès consumeristes, ou argumenter du sexe des anges…?

« this is an era of destruction » (Bob Dylan)

24 août 2009 Publié par : | Politis | | Un commentaire

Déclinaisons de voiles

La burqa :Voile intégral de la tête au pied, souvent bleu, porté principalement en Afghanistan. Une grille en toile au niveau des yeux permet de voir sans être vu.
Le vêtement de protection de l’apiculteur : Il cache le corps entièrement et se termine par une capuche et d’un grillage. Ne peut être confondu avec la burqa car il est blanc et la grille un peu plus grande.

Le hijab : Voile qui recouvre les cheveux, le cou et parfois les épaules, mais laisse le visage découvert.
Le niqab : Foulard posé sur le nez qui couvre non seulement les cheveux, mais aussi une grande partie du visage, laissant les yeux seuls visibles.
Le khimar : Foulard qui couvre la tête, le cou, les épaules, le haut du corps et les bras, en laissant le visage exposé aux regards.

Le tchador : Vêtement traditionnel iranien qui couvre tout le corps. C’est une pièce de tissu coupée en demi-cercle, drapée autour de la tête, qui laisse le visage découvert et ne comporte pas d’ouverture pour les mains. Il est attaché à la taille et maintenu fermé avec les mains ou les dents.
Le sac à patates : Malgré son petit noeud pour le fermer, n’est pas plus seyant pour autant.

Le sefseri : Voile utilisé principalement en Tunisie, il couvre la totalité du corps mais pas le visage.

pour mémoire :

Les 7 voiles : Utilisés pour la danse orientale

25 juillet 2009 Publié par : | Anthropologie, Humour, Politis | | Laisser un commentaire

Un bouc émissaire pour nos fautes

par Ali Ahmad Al-Baghli, ancien ministre du Pétrole, Koweït
02/06/2008
Source : The Arab Times, 29 mai, 2008

Il y a soixante ans, l’Organisation des Nations Unies (ONU) a rendu la décision de créer Israël et de diviser la Palestine en deux, une partie pour les Palestiniens et l’autre pour les Juifs. Plusieurs décennies plus tard, les pays arabes sont encore opposés à cette décision en raison de leur conviction que la Palestine ne devrait appatenir qu’aux Palestiniens – à l’instar des revendications d’Abdel Nasser [1], d’Al-Shuqairi [2] et d’Arafat dans le passé. Les Arabes ont perdu une guerre de six jours qui a débuté le Juin 5 1967, se sont retirés à leurs frontières et ont rejeté la décision de distribuer les terres palestiniennes en 1948. Ils ont tous pleuré la perte de terres en Cisjordanie, au Golan et dans le Sinaï.

Les Palestiniens et les Arabes organisent ces jours-ci des fêtes pour célébrer ce qu’ils appellent une « calamité », alors que les Juifs se réjouissent de la construction et du développement. Nous célébrons des calamités !

Je me suis senti abattu en me rendant compte que 60 ans se sont écoulés et que rien ne s’est passé pendant ces jours de gloire. D’autres régions du monde ont atteint le sommet du développement, en particulier au 20e et 21e siècles, mais les Arabes n’ont rien accompli car nous étions occupés à nous blâmer les uns les autres pour les choses négatives qui surviennent autour de nous. Nous croyions tous que certains partis complotent à notre encontre. Selon le Saint Coran, nous sommes la meilleure nation créée pour les hommes. Certains d’entre nous vivent encore les jours magnifiques des sixième et septième siècles, à l’époque où les musulmans ont été chassés d’Andalousie.

Nous blâmons souvent Israël pour notre incapacité à nous développer. Imaginons qu’Israël ne soit pas dans la région. Serions-nous alors comme la Malaisie, l’Indonésie, l’Inde ou la Turquie ? Je ne le crois pas. Il est tellement absurde d’imaginer une pareille chose, non pas à cause d’Israël, mais en raison de notre tendance à opposer le développement et toute nouveauté.

Par exemple, l’Afrique du Nord ne devrait pas souffrir car elle est loin d’Israël. Les pays dans cette partie du monde réunissent toutes les conditions favorables au développement, en plus de leur proximité avec l’Europe, où les pays sont développés et avancés. Toutefois, il n’y a ni démocratie, ni développement dans les pays arabes d’Afrique du Nord. Pourquoi ? Ces nations blâment les colonies européennes pour leur échec. En d’autres termes, si nous n’avions pas Israël comme bouc-émissaire, nous inventerions quelqu’un d’autre à blâmer pour nos problèmes.

21 janvier 2009 Publié par : | Politis | Laisser un commentaire