Les pays et leurs valeurs sont mortelles
La France, comme tous les états et toutes les nations, est faible, mortelle, éventuellement transitoire, vulnérable.
La France, c’est plus de 1600 ans de péripéties pour unifier des territoires divers et souvent très différents de par leurs cultures, langues, …, en manquant plusieurs fois de tout perdre.
Le péril qu’encourt actuellement notre pays n’est pas qu’économique, il est existentiel.
On ne peut pas fonder une cohésion nationale uniquement sur la base de la protection sociale, des « services publics à la française », d’un Etat social, quelque soit l’opinion que l’on ait de l’intervention publique dans le social.
Etre français ne se résume ni à une carte d’identité, ni à une carte Vitale. C’est avant tout une volonté d’être membre de la nation, même quand on n’y gagne rien matériellement. Etre français se mérite : c’est une adhésion à des valeurs d’ouverture, de tolérance, d’accord entre des extrêmes, de nuances et de politique en esprit.
Mon éloignement de mon obédience politique native fut provoqué en partie par l’appui total, qui y est donné aux discours qui placent la France comme éternelle oppresseur (de ses anciennes colonies, des minorités ethniques et régionales, des immigrés…), et qui irriguent à 80% les média et le système dit intellectuel.
Pourquoi les écologistes soutiennent-ils le Hamas, parti totalitaire inverse de leurs valeurs? Pourquoi ne s’occupent-ils que de « comment » , directives technocratiques, sans parler du « pourquoi », de valeurs, de paradigmes sur lesquels reposent notre actuelle course à l’abîme?
probablement parce qu’ils ont été infiltrés de psychopathes cachés dont le but est d’en modifier les buts et actions… ils ont trahis.
Je ne sais pas si les civilisations se valent ou pas, mais je sais qu’ une personne souhaitant demander l’asile politique, et des allocations pour survivre, quelqu’un qui veut étudier, lire, écouter de la musique et vivre librement, trouve cela dans nos civilisations, en occident.
Nous sommes en passe de tout perdre, suite à l’irruption de populations dont les cultures profondes repose sur le contraire de ces valeurs. La France se respectera en acceptant/accueillant ces populations, à condition que celles-ci veuillent de la France.
La France se gardera en rejetant ceux dont les valeurs sont archaïques et remettent en cause les siennes.
Il faut redemander à chaque Français s’il veut être français, donc s’il accepte les principes inscrits dans la constitution : et faire appliquer sans faiblir la non-citoyenneté en cas de refus. La France n’est pas liée à une langue, un territoire, une culture… elle a vocation universelle à les accepter toutes à condition que les impétrants fassent leurs ces valeurs : en cas contraire, que ceux-ci s’en aillent vers des cieux correspondant à leurs valeurs.
Les valeurs sous tendus par l’islam ne permettent actuellement pas cette intégration : tant que tous ces versets de haine, d’appel au meurtre d’autrui et du mécréant existeront dans le coran, les valeurs induites par celui-ci seront contraires à celles de la France!
La seule alternative sera de refuser de mettre celle-ci au dessus de la loi française, et d’expurger ce livre de ces passages de haine! (puisque la voie des Mutazilites semble avoir été définitivement fermée)
Quels sont les critères à partir desquels il sera possible de juger l’évolution des pays d’islam vers une éventuelle “démocratie musulmane” ?
« Facts, just Facts » : les critères sociétaux serviront d’outils de mesure…
L’égalité entre les hommes et les femmes, la polygamie, le statut des minorités, la liberté de conscience, l’indépendance du législatif et du religieux… seront effectivement des marqueurs du chemin vers une “démocratie musulmane” ou vers un nouvel “islam politique”.
Mais il est un critère que nos élites se refusent à observer, comme s’il était un critère du passé, alors qu’il conditionne tout le reste. C’est la question de la liberté religieuse.
En quoi consiste-t-elle ? c’est la liberté de pratiquer bien sûr, de construire des lieux de culte, de changer de religion, d’en adopter une ou de la rejeter, tout ce qui nous paraît naturel dans nos démocraties occidentales mais qui l’est manifestement moins dans les pays d’islam. Peut-il en effet y avoir une démocratie sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir une véritable neutralité laïque de l’État sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir une véritable liberté individuelle, pour les hommes comme pour les femmes, sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir un droit à ne pas avoir de religion sans liberté religieuse ? « Ce droit de l’homme, qui est en réalité le premier des droits, parce que, historiquement, il a été affirmé en premier et que, d’autre part, il a comme objet la dimension constitutive de l’homme, n’est-il pas trop souvent mis en discussion ou violé ? », discours au corps diplomatique.
Pourquoi nos dirigeants occidentaux et notamment français ne sont-ils pas clairs sur ce thème dans leurs propos ?
Pourquoi ne disent-ils pas clairement que la liberté religieuse est un véritable marqueur de l’accès à la démocratie ?
Pourquoi se refusent-ils à parler de réciprocité entre les pays où la liberté religieuse est garantie et ceux où elle ne l’est pas ?
Pourquoi ne disent-ils pas, au regard de la situation turque, qu’il ne suffit pas d’avoir une Constitution laïque pour que la liberté religieuse soit garantie ? Pourquoi ne disent-ils pas que la destruction d’un lieu de culte contre l’avis de ses usagers, comme en Égypte, n’est pas tolérable ?
Pourquoi n’affirment-ils pas qu’interdire les fonctions administratives ou électives sous prétexte de religion différente n’est pas digne d’une démocratie ? Pourquoi n’affirment-ils pas que diffuser la Bible dans le Maghreb ne saurait être ni un crime ni un délit ?
Pourquoi ne critiquent-ils pas l’Algérie qui poursuit en justice ses juifs et chrétiens?
Pourquoi ne disent-ils rien au Maroc qui expulsent des prêtres sur leur appartenance religieuse, et force tout époux à la conversion (ce qui est une atteinte essentielle à la liberté de conscience par mélange entre un contrat juridique civil et une adhésion religieuse privée)?
etc…
Si vous laissez imposer ces valeurs d’un autre age à la France – ce qu’ils veulent, disent, préparent…- vous pavez la voie à sa perte
Si vous participez de ces menées (désinformation par media-menteurs, lacheté/corruption des politiques, inconscience de compréhension de ce qu’est l’islam et de ses textes racines par le grand public, …), si vous participez de ces mouvements politiques infiltrés, vous êtes un « idiot utile » contribuant à la défaite future de votre pays, et de ce fait traitre à votre histoire, et à vos propres aspirations de progrés.
Heureux mon père qui n’aura pas vu cela!
Qu’avons nous fait de notre héritage?
Laicité : la vrai définition
La laïcité est défini, dès les origines du christianisme comme la différence entre le spirituel et le temporel. Dans l’ordre politique, il est conceptualisé par Thomas d’Aquin qui établit une stricte différence – en même temps qu’une hiérarchie de principes – entre la loi de Dieu, le droit nature et le droit positif qui est l’œuvre des hommes. Ce faisant Thomas d’Aquin a établi une stricte distinction entre la loi de dieu et le droit positif, chose impensable tant dans l’Islam que le judaïsme.
On peut donc être laïque et chrétien (laïque et incroyant, laïc et n’importe quoi, …). La laïcité c’est reconnaître la qualité de chaque homme de participer à la construction d’une société politique en se basant sur ses capacités de discernement du bien et du mal (la morale) et du bon et du mauvais (l’éthique).
Ce principe existait dans l’Islam et avait pour nom l’Itjihad, mais « les portes de l’Itjihad » sont fermées sur ordre du calife de Cordoue au XII° siècle (à vérifier pour la date), contribuant à l’ossification de l’Islam en dogme intangible à jamais.
Précisons que le christianisme qui confondrait le Décalogue et le droit positif tomberait dans le même travers, ce qui est le cas des sectes protestantes aux Etats-Unis, qui ne sont pas plus chrétiennes que je ne suis unijambiste.
Il n’y a aucun racisme là-dedans puisque la laïcité c’est reconnaître la dignité de chaque homme comme citoyen d’une société politique, indépendamment de toute croyance, ou spécificité …
Le vrai paradoxe et la force de la culture/civilisation occidentale est que cette différentiation a été effectuée par un authentique homme d’église dés le treizième siècle, « de l’intérieur du dogme en vigueur ».
La modification des structures mentales tant conscientes qu’inconscientes précède toujours les révolutions technologiques, scientifiques, artistiques, politiques…
L’avancée conceptuelle philosophique précède la bonne gouvernance.
L’Islam, en tant que système autoréférent (« ce que je dis est la vérité ultime, révélée, incrée, intangible, donc ce que je dis est vrai… ») est non-réformable, et n’est probablement que une des dernières tentatives des forces d’ombres pour désactiver les élévations de conscience émanant à la fois de la périodes des lumières et du message d’amour christique, toutes influences à la base de la civilisation occidentale.