inanité et synchronicité
Comprendre :
- qu’il ne sert à rien de vouloir changer l’extérieur de la coupe (l’univers extérieur étant l’ensemble de la création perçues par différents niveaux de conscience)
- qu’il convient bien de se relier à son univers intérieur à travers notre subconscient, lui-même faisant partie intégrante de l’inconscient collectif. Cet inconscient collectif (subconscient) est en effet la clé de tout car il se loge en premier dans notre être intérieur individuel pour ensuite se fondre, en perdant progressivement son individualité égotique, dans l’inconscient collectif intriquant toutes choses entre elles. Cette intrication s’effectue au niveau de la conscience absolue, -bien au delà même du niveau christique, bouddhique, atmique, suivant les religions et philosophies devenues à présent totalement obsolètes…-. Cette intrication permet et explique la modification d’événements situés dans d’autres espaces temps (passés et futurs) que le nôtre : ces modifications d’événements étant appelés par nous « SYNCHRONICITÉS ».

Dieu étant dans ce contexte à la foi Créateur et Création.

Rappelons-nous :

Jesus-Christ enseignant
- Aimez-vous les uns les autres COMME je vous ai aimé.
- Ne jugez personne car vous serez pesés avec les mêmes poids que ceux que vous avez utilisés pour peser les « autres ».
- Tel un homme pense en son cœur, tel il est.
- Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas que l’on vous fasse.
- Pardonnez à vos ennemis, tendez la joue droite si on vous a frappé la gauche.
- Priez pour vos ennemis et pardonnez leur car ils ne savent ce qu’ils font…..
La force du capitalisme : la frugalité personnelle
« Contrairement à ce que nous ont seriné les philosophes des Lumières ou toute la philosophie allemande, les évangiles sont le livre le plus réaliste jamais écrit sur les impasses anthropologiques de l’humanité et les moyens d’en sortir.
Le peuple « le plus instruit au monde » selon une étude américaine
Une étude internationale menée par l’institut américain PEW Research Center a conclu que le peuple juif est le groupe religieux le plus érudit et instruit du monde. Selon les conclusions de ce rapport réalisé auprès des religions et groupes religieux les plus importants dans 151 pays, les juifs ont un niveau d’instruction moyen de 13,4 ans, face aux chrétiens (9,3 ans) suivis par les bouddhistes (7,9) et les musulmans et Hindous (5,6 ans).

moyenne années d’instruction par culture religieuse
Il note aussi que le groupe religieux juif atteint 99% de personnes ayant bénéficié d’une éducation formelle et que les juifs israéliens ont une moyenne de 12 années d’instruction. Ils sont 46% de juifs israéliens à posséder un diplôme universitaire.
Autre donnée intéressante, dans le peuple juif, ce sont les femmes qui ont un degré d’instruction plus élevé que les hommes dans la catégorie des 25-34 ans avec 14 ans en moyenne d’années d’études contre 13,4 chez les hommes.
L’institut PEW fournit l’une des explications à ce phénomène: l’immense majorité des Juifs est concentrée dans des pays riches et développés et jouissent ainsi d’un niveau d’éducation et d’instruction élevés, ce qui rehausse la moyenne par rapport à d’autres groupes religieux.
Mais il existe d’autres facteurs liés bien entendu à l’Histoire et surtout à l’importance considérable accordée depuis toujours au sein du peuple juif à l’étude et à l’instruction. Celle-ci ne s’acquiert pas uniquement par le circuit scolaire : je connais ainsi un nombre incalculable d’idiots peu instruits possédant un titre universitaire et d’autres personnes sans cursus important possédant une culture générale incroyable mais en plus lié à l’intelligence vivace et aiguisée de l’école de la vie.
Lorsque se rompt le cordon entre les classes populaires où germe le génie et les infrastructures du savoir, ces dernières finissent par être occupées par une caste de corrompus et d’incapables ne devant leur réussite qu’au pognon et au trafic d’influence.
Les raison qui font qu’une communauté produise beaucoup d’avancées civilisationelles sont plus profondes, et diverses : de multiples facteurs entrent en ligne de compte.
ci dessous ces études documentées (avec les réserves ci dessous):
- les conclusions apportées ne présagent aucunement d’un refus ou d’une sous-estimation de droits liés au statut « humain » aux personnes de ces ensembles
- Les mesures de QI sont des mesures notoirement insuffisantes concernant l’évaluation des diverses sortes d’intelligence : elles n’en mesurent que certaines et font l’impasse sur d’autres sortes pouvant se révéler fondamentales dans le milieu concerné (intelligence sociale, comportementale, pratique, gestuelle, émotionnelle, spirituelle…)
extrait de QI et intelligence humaine
Quel que soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I moyen racial :
- Juifs Ashkénazes (110)
- Asiatiques de l’est (105)
- Européens (100)
- Asiatiques du sud-est (92)
- Inuits (91)
- Métis caucasiens-africain (81-90)
- Amérindiens (86)
- Nord africains et sud asiatiques (84-88)
- Africains (67-80)
- Aborigènes d’Australie (62)
Les différences sont bien sûr plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et est plus ténue entre les races d’intelligence proche.
Cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :
- L’éducation.
- Les salaires moyens.
- Le taux de crime et délit (le taux augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
- Le statut socio-économique.
- La fécondité (le taux de fécondité augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
Il y a toutefois des exceptions dans ce taux de fécondité, montrant la place de certains facteurs culturels comme le haut taux de fécondité des hispaniques de religion catholique.
- L’arriération mentale (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
- La réussite scolaire.
- La délinquance juvénile (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
- Le pourcentage de mères célibataires (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
- Le taux de chomage ((augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
- La réussite au SAT (test d’entré de la plupart des universités américaines)
- La prévalence de personnes douées.
Ces différences découlent toutes des inégalités intellectuelle entre les grandes races d’homo sapiens, les juifs ashkénazes, les asiatiques et les caucasiens se démarquant par un haut taux d’accomplissements culturels, des salaires élevés, un taux de crimes et délits faible, un statut socio économique élevé, un taux de fécondité faible, une réussite scolaire valable, une délinquance juvénile faible, un taux de mères célibataires peu élevé, un taux de chomage limité, une réussite au SAT élevée et une prévalence importante de personne douées.
A l’inverse, les nord africains, les africains et les aborigènes d’Australie se caractérisent par une aptitude intellectuelle moindre, des salaires moins élevés, un taux de crimes et délits important, un statut socio économique moins élevé, une fécondité supérieure, une réussite scolaire moindre avec de plus importants troubles juvéniles, un pourcentage important de mères célibataires, un taux de chomage élevé, une réussite au SAT faible et une prévalence de personnes douées faible.
Liste des pays, Q.I moyen et fréquence des athées
Les résultats soulèvent quatre points d’intérêt. Tout d’abord, l’hypothèse avec laquelle nous avons commencé cette étude est qu’il existe une corrélation négative entre le Q.I et la croyance religieuse. Deuxièmement, nous avons montré que la relation négative entre l’intelligence et la croyance religieuse est une différence dans Psychometric g. Troisièmement, nous avons étendu cette hypothèse à l’examen de savoir si une corrélation négative entre le Q.I et la croyance religieuse est présente entre les pays. En utilisant les données de 137 pays, nous avons trouvé une corrélation de 0,60 entre le Q.I et l’incrédulité en Dieu.
Toutes les données ci-après sont tirées de « The global bell curve » (2008) Richard Lynn.
ces points illustrent d’un jour troublant la revendication du supposé livre divin s’adressant à « ceux qui savent » et traitant les « mécréants » d’ignorants!!!
c’est celui qui dit qui l’est
c’est le malade qui traite le mieux-portant de malade
« Et (nul) ne comprendra (ces choses) sinon les hommes instruits »
(sourate XXIX, verset 42).
prière de St François d’assise
Seigneur, fais de moi un instrument de la paix,
Là où il y a la haine, que je mette l’Amour,
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon,
Là où il y a la discorde, que je mette l’union,
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité,
Là où il y a le doute, que je mette la foi,
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance,
Là où il y a les ténèbres, que je mette la lumière,
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
O Maître, que je ne cherche pas tant
A être consolé…qu’à consoler
A être compris…qu’à comprendre
A être aimé…qu’à aimer.
Car,
C’est en donnant…qu’on reçoit
C’est en s’oubliant…qu’on trouve
C’est en pardonnant…qu’on est pardonné
C’est en mourant…qu’on ressuscite à l’éternelle vie.
La leçon perdue?
l’on ne saurait mieux dire, …et écrire : merci Hélios
Christianisme et Islam, l’histoire et le mythe
« C’est un peu comme si la leçon du christianisme s’était perdue, comme si une partie de l’humanité (la chrétienté) consentait à s’immobiliser pour permettre à une autre partie de l’humanité empêtrée dans ses chaînes (l’oumma islamique) de « rattraper son retard. ».
Or nous éprouvons de la difficulté à admettre que l’oumma islamique tient absolument à ses chaînes, qu’elle ne cherche nullement à avancer et que plutôt de se libérer elle a choisi de tout faire pour enchaîner le reste de l’humanité.
Le christianisme est enraciné dans l’histoire, son avènement a signalé la victoire de l’histoire sur le mythe: Jésus, Dieu incarné, a souffert et a été crucifié sous Ponce Pilate, il s’agit là d’un fait historique. Le christianisme enseigne que Dieu est intervenu dans l’histoire de l’humanité et que par le Christ il fait désormais partie de l’humanité. Son intervention a non seulement changé le cours de l’histoire mais elle a été également le facteur de changement le plus important depuis deux mille ans.
Le christianisme, religion historique, est par le fait même la religion de la proximité de Dieu et de son action à travers les hommes. Le mythe qu’il soit monothéiste ou polythéiste consacre l’éloignement de Dieu (ou des dieux) dont la volonté ne se fait connaître que par les verdicts du destin et/ou par la bouche des prophètes.
Dans le christianisme les humains et l’Esprit de Dieu participent activement aux progrès de l’humanité, l’œuvre n’est jamais terminée, elle se poursuit sans relâche soutenue par l’espérance. Dans le mythe tout est programmé d’avance ou tout est décret divin, décret devant lequel les humains n’ont d’autre choix que de s’incliner.
L’islam constitue, à bien y penser, la réaction la plus forte et la plus durable contre le christianisme, c’est le mythe qui se relève de sa défaite et qui cherche à poursuivre le combat avec l’histoire. Le mythe c’est exclusivement le passé immuable qui s’impose aux esprits et qui limite les actions humaines. Ce n’est donc pas un hasard si le coran a été déclaré parole de Dieu (Allah) immuable et valable pour l’éternité, et ce n’est pas un hasard si les islamistes se réfèrent constamment à l’époque mythique de Mahomet et des premiers califes.
Il est pratiquement impossible de s’appuyer sur un mythe immuable pour faire progresser l’humanité car tout progrès constitue une menace mortelle pour le mythe. Les musulmans modernistes qui l’ont tenté se sont heurtés contre un mur fait de granit. Les occidentaux devenus amnésiques ou volontairement inconscients du rôle du christianisme dans le façonnement et le progrès de leur civilisation, croient utile de le reléguer au rang de mythe, oubliant qu’en ce faisant ils renoncent à eux-mêmes et se condamnent à la régression.
La chrétienté ne peut se payer le luxe de stagner dans l’espoir qu’un jour l’oumma islamique acceptera de se libérer de ses chaînes. La chrétienté doit continuer à avancer même si la distance qui la sépare de l’islam ne cesse de s’agrandir. L’amour chrétien ne s’exprime pas par la stagnation ou la régression mais par l’exemple.
On comprend pourquoi les relativistes culturels et les multiculturalistes sont hostiles au christianisme, pour eux toutes les religions se valent et elles relèvent toutes du mythe. Le christianisme qui s’est inscrit dans l’histoire, qui a élevé l’humanité et l’a fait progresser, doit être déconstruit pour le rendre inopérant et compatible avec cette utopie multiculturelle que les ingénieurs sociaux s’acharnent à réaliser. Dans cette guerre larvée contre le christianisme les multiculturalistes ont découvert un allié de circonstances, l’islam. Un allié qu’ils pensent contrôler mais qui a tôt fait de les instrumentaliser pour assurer son enracinement à court terme et son hégémonie future.
Il est grand temps de dissiper la confusion au sujet du christianisme et de prendre conscience de sa valeur irremplaçable, non seulement en tant que religion mais également en tant que chemin à emprunter dans notre quête d’une société plus pacifique et plus humaine. »
nota : l’on parle du Christianisme authentique, spirituellement inclus, … non ses multiples dévoiements des églises et autres sectes/ordres/mouvements
Christ versus Mahomet
Ce texte se propose de dresser un petit récapitulatif non exhaustif des pratiques du Christ et de Mahomet
On montrera que dans sa pratique,Mahomet (dont le vrai nom est Qotb) est en tous points diamétralement à l’opposé du Christ (pauvre église catholique post Concile Vatican II, oublieuse des textes…).
Le Christ est né d’une vierge dans une étable et mène une vie d’humilité jusqu’à sa mort,atroce et glorieuse.
Mahomet est né quatre ans après la mort de son supposé père Abdallah ! de Amina.
les Ulémas expliquèrent ce « phénomène » en affirmant qu’un fœtus peut rester 4 ans dans le ventre de sa mère !!
Le Christ multiplie les pains, Mahomet arrache le pain de la bouche des gens en les pillant.
Le Christ rend la vue à l’aveugle, Mahomet crève les yeux de ses victimes (en arabe samala ouyounahoum), les vole et les laisse mourir de soif dans la chaleur du désert.
Le Christ réveille les morts, Mahomet assassine les vivants.
Le Christ parle aux femmes comme un être civilisé, Mahomet les traque comme des proies sexuelles.
Le Christ parle aux femmes, les regarde dans les yeux, sans penser à mal, Mahomet est un pervers sexuel, pour lui la femme ce n’est que « ça », awra, les « hidjabise » car il est esclave de ses instincts.
Le Christ rencontre la samaritaine, la sauve de la lapidation des Pharisiens, ridiculise les donneurs de leçon par son fameux : « que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ».
Mahomet reçoit une femme ayant commis l’adultère, il la laisse « libre » jusqu’à la fin de l’allaitement de son bébé, où il ordonne sa lapidation, laissant son bébé orphelin…
Le Christ a vécu une vie de chasteté, Mahomet une vie de débauche.
Le Christ nous laisse le Sermon sur la Montagne, (go tell it on to the mountain chante la grande Mahalia Jackson), Mahomet laisse la haine des juifs, des chrétiens, des femmes bref du genre humain tant qu’ils n’auront pas fait leur soumission à lui et son Allah bédouin.
Le Christ demande à son disciple de ranger son épée et de ne pas s’en servir contre le soldat romain, Mahomet mena 27 razzias, arma les bras des assassins, même des vieilles femmes (Oum Kirfa) et des mères avec bébé (Asmae bint Marwan).
Le rapport du Christ avec les femmes est fraternel, une femme verse du parfum sur ses pieds en signe de respect, Mahomet est un harceleur, ses épouses se disputent entre elles qui passera la nuit avec lui et Aicha le cocufiera à volonté(les chiites l’appellent Al zaniya , l’adultère).
Au 3e jour de sa mort, ce sont des femmes qui vont à son tombeau pour voir que le Christ est monté au ciel et apporter la bonne nouvelle, Mahomet a eu affaire à une femme juive qui se vengea des crimes qu’il commit sur les siens en l’empoisonnant.
On peut continuer mais quinze siècles de soumission aveugle au dogme de Mahomet font de lui le plus grand ennemi des femmes.
A elles de sortir de leur burqa mentale !
Puissent les âmes égarées revenir avant la fin !
L’église inversée
L’Église catholique est favorable à ce que l’enseignement confessionnel de la religion dans les écoles publiques soit également accessible aux autres traditions religieuses, parmi lesquelles l’islam.
Les délégués ont fait une évaluation critique du terme « islamophobie », utilisé pour décrire les réactions d’hostilité à l’islam apparues dans la société européenne.
Confirmant la volonté de l’Église de contribuer à surmonter ce genre de réactions qui « conduisent à l’intolérance », les évêques « exhortent les musulmans à nouer des relations positives et transparentes dans les différents contextes et à rejeter publiquement ces interprétations ».
Les prélats chrétiens font entrer le loup musulman dans la bergerie
Dans la cathédrale de Wiener-Neustad (ville au sud de Vienne), des prélats chrétiens font la messe avec des imams récitant à tue-tête le coran au nom de la bonne entente entre l’islam et le christianisme. Le reportage, tourné comme d’habitude dans l’attitude bien pensante des médias et du sacro-saint dialogue entre les cultes, oublie de préciser qu’au mois de mars 2012, un jeune musulman avait mis le feu à la cathédrale de la ville provoquant un dégât d’1 million d’euros. Il fallait donc ”apaiser” les tensions intercommunautaires (6% de musulmans dans la ville, chiffre en croissance dit le reportage). L’Église autrichienne n’a donc rien trouvé de mieux que d’introduire une belle brochette d’imams en plein cœur de la cathédrale de la ville pour ”célébrer” la messe. Évidemment les mahométans ne se sont pas gênés pour brailler quelques versets du coran face à un parterre de fidèles mélangés de femmes voilées et de chrétiens.
Plutôt que de se coucher devant les adorateurs d’Allah et de filer les clés de leurs églises, les prélats autrichiens feraient bien de mettre le nez dans les livres d’Histoire de leur pays. Ils découvriraient que leurs ancêtres, courageux eux, ont repoussé les musulmans turcs par deux fois lors des sièges de Vienne en 1529 et 1683 et ont sauvé l’Autriche de l’islamisation et aussi l’Europe.
Ce qu’ils semblent ou ne veulent pas savoir
Que le Coran est une déviation majeure des Évangiles (Père Edouard-Marie Gallez) ou si l’on préfère que l’Islam est une hérésie de la chrétienté (Exégèse scientifique du Coran par le frère Bruno Bonnet-Eymard : Aux sources du Coran il y a l’unique révélation biblique)
Ils ont même oublié Saint Jean de Damascene (Manssour ibn Sarjoun) (Victor fils de Serge), qui déjà considérait l’islam comme une hérésie chrétienne.
Quand comprendrons-t-ils ainsi que tous les dirigeants du monde entier que des études scientifiques textuelles récentes faites sur les manuscrits de la Mer Morte ont montré que le Coran est une déviation majeure des Évangiles ? Cette déviation aurait été édifiée par les califes Umar et Uthman et les généraux arabes à partir des textes évangéliques d’origine que les judéo-nazaréens avaient déjà modifiés puis traduit en arabe ; déviation orientée vers la recherche du pouvoir sur les autres par tous les moyens y compris la guerre. Il n’est donc pas étonnant que ce livre contienne des textes criminels qui incitent à la guerre et à la torture , comme ces deux exemples parmi tant d’autres : “Allah aime ceux qui font la guerre pour sa cause” (sourate 61,4); ou “Si donc tu les vaincs en guerre, inflige leur un châtiment propre à dissuader ceux qui les suivent” (sourate 8, 57). On a jamais fait mieux pour stimuler les combattants et éliminer tous incroyants et les dhimmis.
ainsi les propres « se-disant » bergers du culte évangélique tendent à paver la voie aux sectateurs de haine et de violence… l’inversion des valeurs, la trahison ultime… prédite !
(1) (GALLEZ Édouard-Marie, Le messie et son prophète, Tomes 1 et 2, Éditions de Paris, 2005 et : Le malentendu islamo-chrétien, Editions Salvator, septembre 2012)
La vraie communauté
Elle n’a pas de structure, seulement de la compréhension.
Elle n’a pas de membres, sauf ceux qui savent qu’ils en font partie.
Elle n’a pas de rivaux, car elle ne nourrit pas d’esprit de compétition.
Elle n’a pas d’ambition, elle ne cherche qu’à servir.
Elle ne connaît pas de frontières, car les nationalismes sont dépourvus d’Amour
Elle n’est rien en elle-même, car elle cherche à enrichir tous les groupes et toutes les religions.
Elle n’a pas de secret, pas d’arcane, pas d’initiation si ce n’est la vraie compréhension du pouvoir de l’AMOUR et que, si on le veut, le monde changera, mais seulement si on se change soi-même d’abord.
Elle reconnaît tous les grands enseignants de tous les âges qui ont manifesté la vérité de l’AMOUR.
Ses participants pratiqueront la vérité de l’AMOUR de tout leur être.
Elle ne cherche pas à enseigner mais à être, et par cet état d’être, à enrichir.
Elle reconnaît la planète entière comme étant un Etre dont nous sommes tous une partie.
Elle reconnaît que le temps est venu pour la suprême transmutation, l’acte alchimique ultime du changement conscient de l’ego du monde dans un retour volontaire dans le Tout.
Elle ne se proclame pas à haute voix mais dans les sphères subtiles de l’AMOUR.
Elle salue tous ceux qui dans le passé ont montré la voie et en ont payé le prix.
Ses membres se reconnaîtront par leurs oeuvres et leur être, et par leurs yeux, et par aucun autre signe extérieur qu’une accolade fraternelle.
Ses membres consacreront leurs vies à l’AMOUR silencieux de leur prochain, leur environnement et la planète, tout en accomplissant leur tâche, si exaltée ou humble soit-elle.
Elle reconnaît la suprématie de la Grande Idée qui ne peut être accomplie que si la race humaine pratique l’AMOUR.
Elle n’a pas de récompense à offrir ni ici ni dans l’au-delà, si ce n’est la JOIE ineffable d’être et d’aimer.
Ses membres chercheront à faire avancer la cause de la compréhension, faisant le bien en restant dans l’ombre, et enseignant seulement par l’exemple.
Ses membres guériront leur prochain, leur communauté et notre planète.
Ses membres ne connaîtront aucune peur et point de honte, et leur connaissance l’emportera envers et contre tout.
Tous ceux qui en font partie appartiennent à l’Eglise de l’AMOUR.