Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

Etre Français cela se mérite

Extrait de blog de Natacha Polony et commentaires de robert Marchenoir du 5/07/2010

« La faute à la famille, à la télévision, à l’école, au chômage ou la mondialisation ? Un peu de tout cela, sans doute. »
Rien de tout cela, à l’évidence.

S’il y a une affaire qui démontre que la faute en incombe uniquement à l’immigration de masse, c’est bien celle-là.

Car ce n’est pas « un jeune homme » qui a été sauvagement massacré. C’est celui qui a été perçu comme le chef d’un groupe de Maghrébins. Comme le montrent les prénoms, cités par la presse, de ceux qui se trouvaient dans le cortège de voitures attaquées.

Et ce ne sont pas « des jeunes gens » qui les ont attaqués. C’est un groupe de Noirs et leurs proches appelés en renfort, comme le montrent les prénoms, Abdoulaye et Hadema, des deux inculpés.

Il s’agit donc d’un affrontement ethnique. D’un meurtre raciste. Où, selon toute vraisemblance, aucun Français de souche, blanc, n’est impliqué, contrairement à la vulgate officielle selon laquelle les problèmes de l’immigration seraient dûs au racisme des Français.

Bien entendu, les autorités et la presse n’en ont rien dit. Cette dernière a assez lourdement insisté sur les prénoms maghrébins des victimes, puisque cela conforte la propagande d’Etat selon laquelle les immigrants arabes seraient des victimes. Nous sommes donc autorisés à savoir que, dans cette affaire, c’est une famille maghrébine qui a subi la loi de la violence raciste.

En revanche, c’est uniquement par déduction que l’on peut savoir que les coupables viennent d’Afrique noire. Les deux prénoms lâchés (malgré les autorités ?) par France-Soir. Le fait que les attaquants ont lancé à leurs victimes : « Vous n’allez pas faire vos Français », en réponse à leur demande de constat. Ce qui exclut, naturellement, qu’il s’agisse de Français de souche. Le fait qu’ils aient appelé leur clan à la rescousse — et chacun sait qu’en banlieue, les clans se constituent sur des bases ethniques. Les autres paroles prononcées (« on va vous tuer devant votre mère », « c’est lui qui a appelé les condés »). L’hyperviolence, la sauvagerie, qui sont familiers à tous les Français de souche qui ont été victimes de telles attaques.

Il est évident que les attaquants ne peuvent être blancs. Vu les prénoms révélés, il est tout aussi évident qu’ils sont, tous, noirs.

Rappelez-vous l’ étonnement du journaliste du Monde quand il a découvert, au jugement des tireurs de Villiers-le Bel, une moitié de l’audience 100 % noire (les inculpés et leurs familles), et une moitié presque entièrement blanche (les policiers attaqués).

Voilà quelque chose que les autorités et les médias avaient soigneusement omis de vous dire au moment des émeutes elles-mêmes, n’est-ce pas ? Mais vient un moment où il n’est plus possible de cacher l’évidence.
Ce meurtre constitue donc un tournant, tout comme l’explosion en vol de l’équipe « de France » de football, ou l’attaque d’un étudiant blanc dans un autobus de nuit par une bande ethnique, révélée aux yeux de tous par la vidéo de sécurité.

Les autorités ne peuvent plus cacher qu’elles ont importé, par millions, des populations qui haïssent la France et les Français, qui rejettent radicalement leurs règles de vie (« vous n’allez pas faire vos Français »), qui ne connaissent qu’une loi, celle du plus fort, imposée par une sauvagerie inouïe.

La télévision, le chômage et l’école n’ont rien à voir là-dedans.

De telles agressions, de tels meurtres, commis contre la population de souche, selon des modes opératoires similaires, sont légion. Ils étaient inconnus avant l’immigration de masse.
On a voulu culpabiliser les Français en leur disant que c’était leur faute, qu’ils étaient racistes.

Ce fait-divers (pour reprendre le vocabulaire minimisant des belles âmes de gauche lorsque ce sont des Blancs qui sont victimes) montre à l’évidence que le racisme n’est pas du côté des Français de souche.

Il montre que le mythe immigrationniste, multiculturaliste, métisseur, vivre-ensembliste, est un crime social, qui ne peut aboutir qu’à la violence généralisée et au chaos.

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Certains voudront, en conséquence arrêter  l’immigration ; à l’inverse une voie plus sage ne serait-elle pas  de mêler responsabilité et ouverture par des mesures de bon sens :

– La naturalisation uniquement pour les gens ayant démontré leur volonté de s’intégrer à la société : apprentissage du français, respect des lois de la République, connaissance de l’histoire de France,  avoir un travail ou une activité pérenne, serment de citoyenneté valant exclusion automatique en cas de délit , ..;  Le tout assorti d’une mise à l’épreuve et d’une possibilité de renvoi au pays sans possibilité de « revenir ».

– Refus de nationalité aux adeptes de corpus doctrinaux niant les valeurs de la république …

– Le retrait de nationalité française aux parasites de la société, et ce même s’ils sont de souche française depuis 10, 20 ou 30 générations.

– La privation de droits civiques aux gens qui sont visiblement incapables de les exercer; comprendre ceux qui sont déjà trop bêtes pour gérer leur vie et comprendre des règles simples de vie en société, on ne va pas en plus les laisser s’ingérer dans la vie politique de leur pays : Créer une citoyenneté à deux niveaux, en fonction des mérites de chacun (sans exclusive de richesse, couleur de peau, sexe, religion, ….)

– La suppression du droit aux aides (RMI/RSA allocs, chômage, accès logements sociaux, etc) pour les j’en-foutre qui bafouent les lois de la République qui les nourrit gracieusement. Ceux qui ont vraiment du mal et cherchent à s’en sortir les méritent, les autres ….doivent d’abord prouver qu’ils sont des humains et non pas des animaux.

– La création d’une peine de service sous le drapeau sous forme de travaux d’intérêt général : discipline ET utilité publique.

– etc…

Etre Français, cela se mérite, …

« C’était surtout l’Islam dont la présence me tourmentait (…). Déjà l’Islam me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre et contradictoire en elle-même : le souci de fonder une tradition s’accompagnait d’un appétit destructeur de toutes les traditions antérieures. (…) » Claude Lévi-Strauss

20 novembre 2010 - Posted by | Politis, Valeurs |

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