Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

L’ombre progresse, ne la voyez vous pas?

extrait de : Francis NERI

La crise du désir « d’être » au bénéfice de deux slogans de mai 68 : « Il est interdit d’interdire » et « Jouissons sans entraves » provoque la décadence de  « l’empire occidental ».

Conséquence N° 1 : si nous n’y prenons garde, l’avenir appartiendra aux barbares qui ont faim, prolifèrent, et recherchent un espace vital économique et écologique qui se rétrécie comme peau de chagrin.

Conséquence N°2 : c’est à présent eux ou nous ! Il n’y aura pas d’accommodements raisonnables, en particulier avec les islamistes.

En occident, l’énergie libidinale, celle du désir, est dévoyée au profit des élites d’une société qui  rejette clairement l’idée de son identité, de sa projection dans un futur construit à sa mesure, dans la niche environnementale qui l’a façonnée au cours des siècles et qu’elle a emménagée à son profit.
Que va t-elle devenir sans ce désir de se perpétuer ? Va-t-elle sombrer dans une jouissance perpétuelle de « consommation » ou va-t-elle s’échouer sur le récif des peuples conquérants qui veulent bénéficier de son héritage et se substituer à eux ? Cette faillite identitaire et cette carence du désir est voulue, fabriquée afin qu’elles se projettent dans le champ de la consommation et du libre-échangisme. Les codes et procédures sociales de reconnaissance sont détournés et accaparés par ceux qui détiennent le pouvoir médiatique et la notoriété. La grande masse des individus « socialisés » s’y conforme.
En société, quelle soit occidentale ou orientale, la quête identitaire se poursuit sur le mode de la revendication d’appartenance. Elle engendre des rivalités et frustrations provoquées par la recherche aléatoire de l’identité, de la reconnaissance.
Cette identité perdue, ce relativisme culturel, comporte un verso recherché par les élites qui nous gouvernent et qui espèrent ainsi mieux nous manipuler : la honte de nos origines, de notre passé, le rejet de nos « valeurs » judéo-chrétiennes en particulier.
Le rejet de notre identité, nos valeurs, nos codes sociaux, et même de nos lois, se manifeste aussi au plus haut degré politique, économique et social. Tout se vaut du moment que l’argent circule au niveau des prédateurs, en particulier financiers, qui nous régentent.
Cette élite mondialisée prône un relativisme culturel qu’elle veut universel.  Un humanisme « global » où les cultures et civilisations seraient indifférenciées et leurs valeurs équivalentes.

Ce « chauvinisme » qui n’aurait plus rien d’occidental, c’est celui des « droits de l’homme » majoritairement encombrés de principes inégalitaires, sexistes et tribaux  qui règnent dans le camp des « barbares » et cela n’a plus rien à voir avec les valeurs humanistes issues des lumières, chrétiennes ou encore gréco-romaines.

Le concept de l’Homme Universel tel que le désirent les tenants de la mondialisation libérale est un mythe soigneusement entretenu par les « marchands » qui nous régentent et font de l’Homme une marchandise.
Malheureusement, dans leur aveuglement, que je crois volontaire,  ils n’ont pas pris conscience que leurs alliés objectifs, les islamistes, les roulent dans la farine. Ces derniers disent eux-mêmes qu’ils sont les seuls à combattre la mondialisation et le retour aux valeurs familiales et tribales : la fameuse « singularité de l’Islam » qui régit ces sociétés traditionnelles par la charia.
Heureusement, il n’y a pas, il n’y aura j’espère jamais, d’Homme Universel ». Chaque homme, chaque femme est unique et porteur de son identité.
Il et elle sont libres d’adhérer aux valeurs qui les concernent,  de se les approprier, de les perpétuer et de les faire respecter avec ceux qui, comme eux, les partagent. Ils sont libres aussi de combattre pour elles contre certains qui les trahissent et d’autres qui veulent imposer les leurs.

L’erreur, la grande faute des dirigeants Français et Européens de droite comme de gauche a été permettre le regroupement des familles et de vouloir satisfaire les revendications identitaires des groupes ethniques et traditionnels ayant migrés massivement en territoire occidental sur l’invitation du patronat.

A partir de 1973, les politiciens comme Jacques CHIRAC et V.G.E  ont  organisé le sacrifice des populations autochtones, alors que Georges Habache, le palestinien, et ses amis arabes affichaient déjà clairement leurs intentions dans une interview accordée à Oriana Fallaci en mai 1972 : « Il est nécessaire que la nation Arabe entière entre en guerre avec l’Amérique et l’Europe. Quelle déclenche une guerre totale contre l’Occident. Et elle la déclenchera. Que l’Amérique et l’Europe sachent que nous sommes à peine au commencement du commencement. Que le plus beau est encore à venir. Qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus de paix pour elles. Et ensuite, avancer pas à pas, millimètres par millimètres. Années après années. Décennies après décennies. Déterminés, obstinés, patients. Telle est notre stratégie. Une stratégie que nous élargirons par la conquête de vos territoires grâce à l’immigration que vous avez la bonté de nous faciliter. »

Les projets des Islamistes sont en train de se réaliser, plus personne ne peut raisonnablement le contester. Les musulmans enracinent, chez nous, leur identité et leur mode de vie et substituent leur population à la notre.
Allons nous nous laisser faire ? Notre propre mode de vie, notre héritage culturel ont été la résultante d’efforts considérables de la part de nos aïeux. Nous y sommes attachés car nous avons construit une société qui concilie la liberté individuelle et l’intérêt général.
Cette société n’est pas idéale, nous le savons, mais il nous appartient de la faire évoluer pour qu’elle continue à être pour nos enfants la meilleure des société possible, c’est de notre responsabilité et c’est notre devoir de rentrer en résistance contre ceux qui veulent nous le faire oublier.
C’est la raison pour laquelle nous sommes opposés à l’émergence d’une gouvernance mondiale, d’une humanité ayant perdu toute « singularité » grâce à l’effacement des différences, ce à quoi  se garde bien de souscrire la société islamique en territoire occidental. Les conflits identitaires ne s’effaceront pas par le rejet de l’altérité, bien au contraire, et le métissage est une illusion d’optique, une tromperie qui permet tout au plus de faciliter l’immigration.

Les islamistes se heurteront bientôt, très bientôt, à une simple alternative : rester Français en s’assimilant et cantonner leur religion à la sphère privée ou quitter la France et l’Europe le plus rapidement possible.

Nous sommes pour encore un bon moment majoritaire et, la prise de conscience des autochtones se fait de plus en plus rapidement. Leurs réactions se manifesteront avec de plus en plus de fermeté envers les envahisseurs islamistes et leurs complices. Les prochaines échéances électorales devraient permettre un profond changement de stratégie envers la mondialisation et l’islamisation. Si cela ne se fait pas, alors que ceux qui croient prient le ciel que tout ne se termine en guerre civile et affrontements sanglants dont les musulmans seraient les principales victimes.
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24 septembre 2011 Posted by | Politis, Valeurs | | 2 commentaires

Soit l’Europe se réveille maintenant, soit elle va disparaître

Michael Mannheimer est un auteur et journaliste allemand. Ci-dessous, l’adaptation française d’extraits d’un de ses articles écrit en allemand puis traduit en anglais.
Pour lui, l’immigration musulmane ne laisse pas de place à un folklore illusoire multiculturel. Soit l’Europe se réveille maintenant, soit elle va disparaître.
Son propos est valable pour tout l’Occident.
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Le Choc des civilisations, théorie de la collision des cultures, envisagée par Samuel P. Huntington, est depuis longtemps devenu une réalité dans l’Europe moderne, trouvant son expression dans la confrontation de l’islam avec les résidus de la chrétienté européenne.
Cette collision se manifeste par les attentats terroristes mais aussi par une amère bataille d’idéaux entre deux systèmes de valeurs qui pourraient difficilement être plus diamétralement opposés, à savoir entre le système archaïque et totalitaire de l’islam et celui des Lumières de l’Europe post moderne.

Valoriser l’universalisme des droits humains

Pendant longtemps, il semblait que dans le monde entier, les débats concernant les critères du Bien et du Mal avaient été bien définis et que cette question était résolue. Tout d’abord la Magna Carta rédigée en 1215, suivie du Bill of Rights en 1689, puis finalement les constitutions américaine (1788) et française (1791), avaient établi la codification des concepts modernes concernant les valeurs définissant le bien et le mal, et avaient finalement abouti à la Déclaration universelle des droits de l’Homme proclamée par les Nations Unies et dans l’Acte final de Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe.
L’égalité de chacun devant la loi, sans considérer sa religion, son origine ethnique, son âge ou son sexe, la liberté de réunion, de pensée et de parole ainsi que la dignité inviolable de la personne humaine garantie par le droit constitutionnel étaient les pierres angulaires du système de valeurs universelles et indivisibles incorporé dans la Charte des Nations Unies du 26 juin 1945.

[…] Fondamentalement, la théorie de l’impératif catégorique de Kant était une élaboration plus sophistiquée de l’antique adage : «Ne fais point aux autres, ce que tu ne voudrais pour toi-même».
Ainsi, ni un voleur ne souhaiterait que le vol ne devienne une loi universelle, ni un meurtrier ne suggérerait que l’assassinat ne soit une règle légalement acceptée, puisque personne ne souhaite être volé ou tué.
Les critiques de la Déclaration universelle des droits de l’Homme prétendent que ces concepts ne diffèrent en rien de ceux prônés par les totalitarismes, séculiers ou religieux, car elle ne serait qu’un système de valeurs relatives, arbitrairement définies et ne correspondant pas à une aspiration universelle. […] Contrairement au système totalitaire où l’on exige : « Pense et agis comme je veux, sinon tu es mon ennemi », le système des impératifs catégoriques préconise : « Comment pouvons-nous, vous et moi, trouver un terrain d’entente commun, pour nos pensées et notre comportement, qui ne nous blesse pas nous-mêmes, ni mutuellement, et sur une base voulue par vous et par moi ».

Les systèmes totalitaires obligent les gens à accepter leur système de valeurs, que cela leur plaise ou non. Au contraire, dans sa recherche de la conduite juste, le système de valeurs basé sur la théorie de l’impératif catégorique confronte l’individu à la question de savoir comment il aimerait être traité (principe de réciprocité), avant même qu’une norme de conduite ne devienne un principe universel de droits (législation). […] Ainsi, un individu qui veut imposer son dogme à un autre, doit se demander s’il apprécierait le fait de renverser la situation. Sur la base de la raison, la réponse est NON. Cela met aussi en lumière le fait que tout dogme ou idéologie demandant à ses partisans d’imposer son système de valeurs à autrui –selon Kant- est injuste.

Le relativisme des valeurs en tant que réaction politique et religieuse

[…] Curieusement, les relativistes actuels sont issus des campus, essentiellement de tendance gauchiste, alors que cette gauche avait, jadis, invoqué le caractère inaliénable des droits pour lutter contre les vieux systèmes absolutistes ou féodaux. De plus, ces relativistes représentent les mêmes forces qui, en 1949, avaient voté contre le caractère universel de la charte de l’ONU. Sans exception, les Etats qui finalement se sont abstenus de voter furent les dictatures totalitaires, telles que l’URSS, le Bloc de l’Est, l’Arabie Saoudite et l’Afrique du Sud.

Le point de vue des relativistes est que les valeurs absolues n’existent pas, que les valeurs ne sont valables que dans le cadre d’un mode de vie particulier, dans un type de société donné. Aucune culture, prétendent-ils, n’a le droit d’imposer ses valeurs aux autres en se réclamant d’une validité universelle. […] Les problèmes liés à cette posture deviennent évidents si l’on propose un exemple qui se veut délibérément extrême. Supposons qu’une culture qui fait partie d’une alliance globale est obligée de pratiquer des sacrifices humains comme rite fondamental de ses obligations religieuses. Cette situation poserait un problème logique insoluble aux tenants du relativisme des valeurs.

Selon leur philosophie, ils seraient obligés de reconnaître la liberté religieuse de cette culture, mais en même temps ils seraient accusés de soutenir la barbarie. Cependant, si les relativistes demandaient la prohibition des sacrifices humains, ils violeraient non seulement leur propre principe, mais devraient admettre l’absurdité de leur position.

Le dilemme ci-dessus n’est jamais abordé par les relativistes car leur combat est avant tout de nature politique plutôt que philosophique : à savoir une guerre contre le système occidental, vu comme capitaliste et colonialiste. Vers la fin des années 60 […] l’eurocentrisme a été assimilé à un «colonialisme des valeurs», après la perte des anciennes colonies.
[…] Dans le contexte de cette contestation générale, tout ce qui venait de l‘Occident a été remis en cause. Les droits humains et la démocratie ne trouvaient leur place, et encore, qu’en tant que systèmes parmi tant d’autres.
[…] Pour faire simple : les relativistes ont fait venir des masses de gens en Europe et ont refusé de considérer leur bagage religieux et culturel car leur désir d’immigration avait un objectif idéologique. Joschka Fischer (Ministre des Affaires étrangères en Allemagne, 1998-2005) affirmait : «je découvre à quel point je suis toujours resté un marxiste», et le journal Die Welt cite :
«L’Allemagne doit être contenue de l’extérieur, et de l’intérieur elle doit devenir hétérogène grâce à un afflux constant, c’est-à-dire diluée».
En d’autres mots : ce politicien Vert avait si peu confiance dans l’esprit démocratique de son propre peuple qu’il a jugé indispensable de «prescrire» une lente dissolution démographique, une dilution sous forme d’immigration de masse.
Ce processus n’a aucun précédent dans l’Histoire de l’Europe et hélas cette politique a même été récompensée par les électeurs lors de la réélection des Rouges-Verts avec Gerhard Schröder en 1998 («Oui, je suis marxiste »). Jürgen Trittin, ministre de l’Environnement déclamait fièrement : « Je n’ai jamais chanté l’hymne national, même pas depuis que je suis devenu ministre ». […] Franziska Drohsel disait en août 2008 :
«La nation allemande n’est pas, pour moi, un terme positif, et même, je lutte contre ce terme sur le plan politique».

Collision des cultures

Historiquement, l’ouverture des frontières de l’Europe est un phénomène sans précédent. N’importe qui est venu, sans égard à son éducation, ses qualifications, le caractère rétrograde de sa culture ou du système religieux de son pays d’origine […].

La plupart des immigrants sont venus de pays islamiques qui sont des siècles en retard sur l’Europe en termes d’éducation, de science, de technologie et de structures sociales. Ils sont arrivés dans une culture où le savoir est valorisé, et dans laquelle ils se sont sentis dépassés, d’autant plus que la plupart d’entre eux sont illettrés. La pensée analytique occidentale, la tolérance religieuse, l’athéisme et l’agnosticisme, l’esprit critique et le scepticisme leur sont complètement étrangers, au point que ces gens ont dû se sentir expédiés sur une planète lointaine, en un clin d’œil. […] L’égalité des sexes, les couples homosexuels, les gens s’embrassant en public, les femmes en vêtements légers, tout cela était impensable dans leur pays d’origine. Ce fut un choc culturel pour la plupart des immigrants mais surtout pour les musulmans.

Islamisation grandissante et impuissance de l’Europe

[…] Sous le prétexte de «liberté religieuse», des crimes inimaginables sont commis par ces immigrants et sont volontairement ignorés par le politiquement correct. Quand on en demande la raison aux journalistes, ils soutiennent que ce silence est là «pour protéger les immigrants contre la colère des populations de souche». Cet argument est plus que douteux ; primo, il méconnaît le devoir d’informer le public, et secundo c’est un jugement partial qui critique très durement les Occidentaux, mais accorde une tolérance infinie et veule envers les cultures et surtout les religions étrangères – qui, elles, seraient dignes d’être protégées. Beaucoup de ces journalistes ont dans un passé récent glorifié les héros de la gauche, tels que Staline, Mao, Che Guevara et Fidel Castro en les présentant sous un jour favorable et en cachant leurs atrocités, et ils continuent maintenant avec l’islam.

Confronter le personnage de Mahomet nécessite une variété d’études et d’analyses critiques. Ses relations avec les femmes, sa conduite sexuelle avec les enfants, ses ordres d’éliminer ses opposants politiques et les apostats, ses guerres contre les «mécréants», donnent de quoi analyser pendant des décennies. La majorité des medias échoue également, en refusant de reconnaître le caractère conquérant, déshumanisant et totalitaire de l’islam. […] Sciemment ou pas, les gens politiquement corrects contribuent à la destruction de leurs sociétés, par bêtise, couardise ou par sympathie pour une idéologie intrinsèquement anti-occidentale, anti-américaine et anti-Israël.

Influence grandissante de la charia en Europe 

L’Europe est paralysée par cette confrontation avec des millions d’immigrants qui, contrairement aux attentes, n’ont pas la capacité ou la volonté de s’intégrer. […] La charia est visible partout : des jeunes filles refusent les cours de gymnastique et de biologie ainsi que l’éducation sexuelle. […] Les policiers belges ont dû s’abstenir de fumer pendant le ramadan afin de ne pas offenser les musulmans pieux. Les tirelires en forme de cochons sont bannies des banques britanniques. […] En France, les imans ont plus de pouvoir que la police dans certaines zones de non-droit, et la Hollande va jusqu’à envisager l’arabe comme seconde langue officielle.
La polygamie est bien sûr interdite aux hommes européens, mais dans certaines villes européennes, cependant, des hommes musulmans ont été autorisés par les tribunaux à avoir quatre épouses à la fois.
[…] Concernant les crimes d’honneur, ou l’horreur des mutilations sexuelles sur les fillettes musulmanes, là encore la justice européenne évite de les considérer.

«Grâce à vos lois démocratiques, nous allons vous soumettre, grâce à vos lois religieuses nous allons vous dominer » – Imam d’Izmir, 1999.

[…] Hans Peter Raddatz, orientaliste allemand, a publié dans International Encyclopedia of Islam, le résumé suivant :

«Dans aucune autre religion nous ne pouvons trouver la sanctification de la violence envers les croyants des autres religions, comme étant une volonté divine, telle que proclamée dans le coran. Ses codifications et ses pratiques de violence sont l’Histoire de l’islam et font partie intégrante de son idéologie. Enfin, aucun autre fondateur religieux, dont l’influence a un rôle de modèle éthique, n’a jamais fait la guerre, ni n’a éliminé ses opposants politiques sous forme d’un contrat de tuer».
[…] Personne en Allemagne ne semble savoir que 35 000 femmes sexuellement mutilées vivent sur notre sol et que leur nombre augmente. Les relativistes culturels sont coupables d’ignorer ces faits. Ils ont sur les mains le sang des fillettes et des femmes mutilées, le sang des «crimes d’honneur», le sang des apostats et le sang des femmes battues à mort. Mais, justement, ils s’en lavent les mains. Ils refusent leur aide et sont, par conséquent, co-responsables et complices de tout cela, quelle que soit la façon dont on retourne la question.
[…] Les relativistes aiment se décrire comme des protecteurs des droits humains (ce qui est faux) accusant les esprits critiques de l’islam d’être racistes et xénophobes. […] Dans Der Zauberg, Thomas Mann affirme justement ceci : «La tolérance devient un crime quand on en fait preuve à l’égard du mal».

[…] Dans les mosquées en sol européen, des prêcheurs de haine éructent leurs harangues de guerre contre les Occidentaux «mécréants» et «décadents». C’est incroyable toute la compréhension dont ils bénéficient de la part des Européens, alors que si un citoyen européen se permettait la même chose, il serait immédiatement inculpé.

[…] L’islam – qui ignore tout de l’esprit des Lumières, de Voltaire ou de Kant – impose à l’Europe moderne la plus grave crise d’identité qu’elle ait jamais traversée. Le vieux continent semble avoir évacué et en partie oublié ses racines gréco-chrétiennes et a aveuglément ouvert ses portes à l’islam, son pire ennemi depuis des siècles, et se trouve presque sans défense.

[…] Dans la crainte d’être confronté à des critiques en Europe, l’islam réclame une attitude de tolérance que lui-même ignore complètement dans les terres de l’islam, malgré des allégations de soi-disant tolérance du temps de l’islam en Espagne, lequel fut, après étude sérieuse des faits, ni tolérant ni pacifique. Les massacres et les pogroms subis par les Juifs et les chrétiens à l’époque de l’islam en Andalousie sont avérés par les historiens sérieux et bien documentés. […]

Tolérance zéro pour l’intolérance 

Quiconque tolère un adversaire intolérant doit admettre sa défaite, dès le départ. Ce fut le cas avec Hitler et la jeune République de Weimar, tout autant que pour les communautés juives et chrétiennes et pour tous les pays ayant subi les conquêtes islamiques. Le Moyen-Orient qui était peuplé de chrétiens et de Juifs est un des exemples historiques d’une islamisation qui s’est faite en une cinquantaine d’années, grâce à une planification stratégique et une terreur galvanisées par le fanatisme religieux.
En 1980, lors d’une conférence panislamique à Lahore (Pakistan), un accord secret a été conclu stipulant ceci : «Le Moyen-Orient doit être totalement islamisé d’ici l’an 2000. Cela signifie qu’il ne devra plus rester de coptes en Égypte ni de chrétiens en Irak, en Iran, en Turquie ou au Liban.»
Sans aucun doute, cet accord se poursuit : entre 1948 et 2001, la population juive des pays arabes a été réduite de 91 pour cent, soit de 855 000 personnes à 7800. Cette «épuration ethnique» est passée inaperçue des medias occidentaux, silence dû au politiquement (pardon islamiquement) correct.
Un autre exemple de la détermination et de l’agression islamiques pour la conquête globale est l’Inde. Lorsqu’au début du 8ème siècle les armées arabes se sont lancées à la conquête de l’Inde avec leur technologie militaire supérieure, les premières victimes furent les bouddhistes. Aucune autre grande religion n’est aussi pacifiste, non violente et tolérante que le bouddhisme. Ainsi en très peu de temps cette tolérance a abouti à l’éradication complète du bouddhisme du sous-continent indien où il était né et s’était développé pendant 1300 ans aux côtés de l’hindouisme.

[…] De nos jours, l’islamisation partielle de l’Inde est toujours source de violences et de tensions «religieuses» au même titre que partout où existent des minorités musulmanes, à l’instar de la Serbie, la Bosnie-Herzégovine, Chypre, le Sud de la Thaïlande, le Kosovo et le Liban. De plus, ceci fut la cause de la partition de l’Inde : le Pakistan et le Bangladesh (créés en 1948) émergent comme pays «purs», alors que l’Inde reste multi religieuse.

Islamisation de l’Europe

Revenons à l’Europe : l’islam est en train de la conquérir avec l’aide des lois européennes. Quiconque affirme cela encourt le risque d’être accusé d’«islamophobie», un terme inventé par les Frères musulmans, et très prisé par les relativistes culturels. Ce n’est pas seulement outrageant, mais surtout révélateur que le terme «islamophobique» ressemble à un diagnostic psychiatrique, puisque c’est typique des régimes totalitaires de stigmatiser les dissidents par les moyens de la psychiatrie.
[…] Lorsque les accusations d’islamophobie ne fonctionnent pas, des mesures plus contraignantes sont prises. Chaque personne islamo-critique sera alors stigmatisée et accusée de «racisme» ou de xénophobie, véritable chantage auquel peu résistent.
Udo Ulfkotte, politologue et journaliste allemand a fait l’expérience de l’islam, contrairement à ses collègues intarissables sur le sujet. Il a passé plus de douze ans dans divers pays musulmans du Moyen-Orient, et il raconte :
«J’ai été témoin d’exécutions au Yémen et en Arabie, j’ai vu des mains coupées puis clouées sur les portes des villes. J’ai vu la séparation rigoureuse des classes sociales, des femmes lapidées à mort et d’autres manifestations de la vision du monde déshumanisée des musulmans ». Il ajoute : « Si un journaliste relate les conflits ethniques du Moyen-Orient il est considéré comme un expert, mais s’il parle des conflits ethniques entre Allemands et étrangers sur notre sol, il est considéré comme un individu «d’extrême-droite».
[…] Les musulmans ne cachent plus leur désir de conquête, l’ancien premier ministre turc Necmettin Erbakan s’en était vanté : « Notre objectif est de nous installer en Europe et d’y vivre en respectant les lois, afin qu’un jour toute l’Europe devienne islamique ». […] Le Milli Görus (fort de ses 300 000 adhérents) affirme : «Le Milli Görus est un bouclier qui protège notre peuple contre toute assimilation dans l’Europe barbare». Le Milli Gazete a écrit : «L’Allemagne est le pays du vice et de la mécréance, les gens y sont des idolâtres, impérialistes, capitalistes, communistes et profiteurs »

« Celui qui ne prend aucun risque, risque le plus » – Bertand Russell

La stratégie militaire n’offre aucune solution à ce totalitarisme intériorisé. L’islam est une menace mondiale contre la liberté et sera vaincu par la conquête des cœurs et des esprits des musulmans, convaincus de la valeur de la liberté, et en leur faisant prendre conscience d’une sortie de leur impasse dénuée de sens, de leurs contraintes sociales autodestructives et leur charia profondément inhumaine.
[…] Les musulmans devront comprendre qu’infliger de la souffrance à autrui au nom d’une religion inhumaine fait qu’ils risquent eux-mêmes d’en subir les conséquences. Les musulmans doivent admettre que leur croyance ne les sert pas mais permet au clergé et à des politiciens de satisfaire leur goût du pouvoir et leur avidité. Ce sont ces gens-là, les vrais artisans de l’islam comme idéologie efficace pour parvenir à leurs fins lucratives.

Pour conclure 

Les Européens qui veulent préserver leur liberté et leurs sociétés démocratiques doivent réaffirmer l’universalité des valeurs des droits humains et les idées de liberté des Lumières. Ils doivent également cesser de déléguer cette tâche à leurs notables. Face au totalitarisme théocratique, appelé islam, les élites ont complètement échoué, comme elles avaient échoué face aux nazis et au communisme au siècle passé. […]

Chaque Européen peut contribuer au changement : voter, informer, en privé et en public, écrire des lettres, ne pas acheter les medias islamophiles, participer à des organisations pertinentes. Chaque citoyen peut porter plainte contre des élus ou des juges, s’il les soupçonne d’avoir violé les lois ou détourné les lois européennes. Voici pour le scénario pacifique.
Un autre scénario envisagé par un nombre croissant d’experts et d’analystes est la possibilité d’émeutes et de guerre civile en Europe, précédant une tentative de l’islam de s’emparer du pouvoir, et cela pourrait causer des centaines de milliers de morts.
L’immigration musulmane ne laisse pas de place à un folklore illusoire multiculturel. Soit l’Europe se réveille maintenant, soit elle va disparaître.

Allemagne, mars 2009
Source : Islam as the Victor of Western Value-Relativism, par Michael Mannheimer, Gates of Vienna, 21 novembre 2010.

18 septembre 2011 Posted by | Politis | , | Laisser un commentaire

Un monde meilleur

Tout projet de bâtir globalement un « monde meilleur » est pervers en soi et potentiellement génocidaire.

Il appartient à Dieu seul – qu’on y croie ou non – de faire advenir un monde meilleur. Ce n’est pas sans raison que les promoteurs de tels projets se voient « divinisés »: créer une Humanité nouvelle est proprement « divin ». Que faut-il faire alors devant ou au milieu de populations élevées dans de telles idéologies de salut ?
D’abord, ne jamais collaborer avec celles-ci.
Il est du devoir de tout homme digne de ce nom d’aider à en sortir ceux qui sont prisonniers de ces systèmes de salut, lesquels constituent un danger pour ceux qu’ils imprègnent comme pour le reste du monde.

Un système de salut est un corpus idéologique qui éloigne la conscience du sujet de l’analyse critique objective de sa situation, qui l’éloigne du réel, …et par voie de conséquence ouvre la porte à toute manipulation orchestrée par les vrais bénéficiaires, souvent masqués, (hiérarchies cléricales, partis politiques, lobby financiers, maffias diverses, …)
Ceci suppose une efficacité autre que celle de la force aveugle, qui est contre-productive et qui cache souvent une idéologie concurrente. Face à une emprise sur les esprits, les réponses efficaces se situent au plan des représentations mentales et affectives mais prennent leur source dans une dimension rationnelle qu’on appelait autrefois la « science des sciences »: la théologie ou également l’épistémologie. Car on ne peut pas se passer de l’analyse des « idéologies » (ou « religions ») de salut en tant qu’elles sont un détournement des perspectives de salut issues du judéo-christianisme.
Cette analyse implique des approches scientifiques nombreuses, dont, en première place, l’histoire, l’archéologie, l’analyse biologique et végétale, la sémantique, …etc. Il s’agit de décrypter les récits, conceptuels ou mythiques, par lesquels les systèmes de salut se fabriquent des origines fictives pour occulter leurs véritables filiations – qui doivent être mises en lumière. Cela implique de cheminer dans la voie de »l’honnête homme » telle que définie au 18ème siècle
Ceci vaut entre autres pour le marxisme. Qui connaît le cheminement spirituel du jeune Marx, qui entra dans une secte avant d’être gagné aux idéaux socialistes ?

Il ne suffit pas de dire : « plus jamais ça » en pensant à tel génocide ; si la cause déterminante de ces maux n’est pas dépistée et dénoncée, le pire adviendra. Il n’a pas cessé d’advenir.
Plus jamais ça implique de décrypter le réel, strictement le réel : « facts, just facts« 

29 août 2011 Posted by | Pépiements, Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire

La guerre des grenouilles

« Pour qu’il y ait une guerre civile, il faut que deux parties de la population soient prêtes à en découdre. Si des fanatiques religieux tentent depuis le début des années 80 de recruter des adeptes dans nos banlieues pour faire la révolution islamique, le résultat est peu probant. Après l’échec des attentats terroristes des années 80-90, les islamistes ont choisi la voie de la colonisation démographique pour accéder au pouvoir sans violence mais dans les urnes en prenant le temps pour faire tomber le fruit quand il sera mur. Donc les religieux ne cherchent plus l’affrontement mais la cohabitation nécessaire à une bonne compromission de nos oligarques, le temps de devenir majoritaires et de s’en débarrasser, exactement comme au premiers temps de la conquête arabo-sarrasine de Syrie Palestine, de Perse et d’Egypte, des indes (rajasthan), maghreb, ….
Et ce que vous déplorez c’est d’assister à l’abandon progressif par nos politiques des valeurs de notre société occidentale ?

Les hordes sauvages des banlieues comme au moyen âge défendent « leurs territoires », ces « territoires perdus de la république ». Il se décompose en plusieurs zones : celle où ces hordes sauvages vivent, celle où elles organisent leurs trafics qu’elles cherchent à agrandir, et enfin, les nouveaux territoires à conquérir. Actuellement la guerre des bandes fait rage pour le contrôle des territoires rentables pour l’expansion des trafics notamment dans les beaux quartiers des grandes villes comme Neuilly ou le 16ème à Paris. L’islam n’est présent dans l’univers de ces jeunes que comme un vague référent culturel machiste dans lequel la femme est « soumise ou pute ». Car la plupart des jeunes sauvages ne pratique pas et n’ont comme seule valeur que l’argent, sésame pour consommer « librement ». Ils sont en réalité comme nos jeunes de culture pagano-chrétienne qui ne sont plus ni croyant, ni pratiquant, mais lobotomisés par les modes et flash publicitaire. Demandez donc à l’un ou l’autre ce que représente les jours féries de la Pentecôte et de l’Ascension… Je doute qu’ils soient capables de vous répondre.

Votre vision de notre société se résume à une majorité silencieuse d’individus qui n’ont ni l’âge de faire la révolution, ni même l’envie de peur de perdre leur travail et le peu de bien qu’il possède. La précarité de l’emploi tient à la gorge la population active et le chômage ruine tout espoir de révolte dans l’autre. Un individu ne se révolte que quand il n’a plus rien à perdre : c’est l’énergie du désespoir !

Alors soyons objectif : l’oligarchie au pouvoir tant économique que politique, entretient cette situation depuis la fin des années 70 pour précisément pouvoir asservir le reste de la population. Et l’arme fatale est précisément l’immigration massive encouragée et volontairement incontrôlée, basée sur une supercherie démographique dérivée des conceptions malthusiennes mal comprises : le taux d’accroissement et de renouvellement des générations fait la force et la dynamique de l’économie de demain…
Les démographes en tête desquels le redoutable Alfred SAUVY ont convaincus les politiques dans les années 70 de ces inepties et nous n’en finissons pas de payer. Alors que la réalité est plus simple : l’automatisation, la robotisation, les télécommunications et l’informatique ont révolutionné les techniques de conception, de production, de gestion, de vente et de communication dans les années 80-90 avant que les délocalisations et la globalisation des échanges n’achèvent de détruire notre appareil productif. Le secteur secondaire qui représentait plus de 21% de la population active en 1981, représente aujourd’hui moins de 7% de cette même population et bon nombre d’industriels à l’image de PSA continuent d’annoncer des fermetures de sites après avoir délocalisé au début des années 2000 dans les ex-PECO ou en Asie…). L’emploi de masse dans les secteurs primaire et secondaire ayant disparu, le « déficit de naissances » des années 80-90 n’avaient nullement besoin d’être comblé ni compensé par l’arrivée massive d’une main d’œuvre sous qualifiée et encore moins par une immigration sociale sous couvert de regroupement familiale. Les emplois de demain et d’hier ayant disparu, je ne comprends pas pourquoi les portes sont grandes ouvertes aux immigrés, si ce n’est pour maintenir une pression à la baisse sur les salaires avec un corollaire absurde qui est alors le maintien d’un trop haut niveau de charges sociales puisque l’immigration de colonisation que nous vivons est essentiellement faite de profiteurs sociaux !

Les générations d’enfants analphabètes immigrés ont réussi à abaisser le niveau scolaire des jeunes Français et détruit le système éducatif national faisant fuir les vocations. Les grands pères immigrés dans les années 60-70 parlaient à peine le Français ; leurs pères savaient à peine lire et écrire et ne trouvaient déjà plus d’emploi depuis la fin des années 70 et ne vivent plus que des subsides de l’état providence socialiste ; alors les fils en échec scolaire se sont réfugiés dans les petits trafics avant de sombrer dans la délinquance ou le fanatisme religieux dans les années 90-2000. Que va faire la 4ème génération qui profite de la discrimination positive depuis 2004 ? Car le vrai scandale est précisément là : le comble du racisme et de l’intolérance, celui de la préférence apparente des minorités visibles incompétentes au détriment d’une jeunesse française capables et compétente, sacrifiée sur l’autel de la repentance coloniale et de la peterisation de l’oligarchie qui nous gouverne. Au passage vous aurez remarqué la surreprésentation d’avocats et de personnels de l’éducation nationale parmi ces politiques… Et qui peut prétendre qu’en apprenant par cœur les codes de droit, on saura résoudre les problèmes notamment économiques…

Alors qui va faire se dresser contre les hordes sauvages de nos banlieues que les migrants d’Afrique subsaharienne et du Maghreb viennent grossir par centaines de mille chaque année ? Les retraités en déambulateur et chaise roulante ? Il n’y aura pas de guerre civile et la population se laisse cuire doucement mais surement pour finir à la sauce barbare comme cette grenouille plongée dans l’eau tiède que l’on amène lentement à ébullition (l’eau pas la population !) »

extrait du blog sémanticien

La France a perdu en 1940 par recherche d’un faux pacifisme, elle perdra aujourd’hui (jusqu’en 2030?) pour la même raison : aveuglement des décideurs et manque de courage aux décisions demandant « sang et larmes ».

10 juillet 2011 Posted by | Politis | | Laisser un commentaire

La stratégie de l’aveuglement

Les prix des matières premières et des différents « produits » que nous usons/consommons/détruisons ne sont que des concepts artificiels, des indicateurs; nous les avons rendus déliés, sans rapport, d’avec le réel qu’ils sont censés représentés.
Un litre de pétrole ne vaut que ce qu’un client » accepte de le payer à un endroit donné, à une époque donnée… Ce calcul n’intègre pas le facteur éthique, moral de valeur d’usage tant pour la terre en tant que tout, que pour l’humanité (ou tout autre espèce ayant accédé à la conscience). L’homme en tant que représentant actuel de la conscience sur terre a échoué , jusqu’à présent, à gérer la mise en oeuvre de ce projet sur le long terme, ainsi que la responsabilité de sa charge des autres espèces/consciences évoluant sur cette terre

Le thermomètre comptable est un mauvais indicateur, car il n’intègre pas le long terme, et les valeurs d’harmonie : le marché se révèle une valeur d’obscurité : le coût des matières premières augmente et le fera encore. L’exploitation du charbon et des réserves fossiles non conventionnelles exigera des investissements lourds et progressifs qui ne permettront guère de desserrer l’étau des prix à un horizon de temps proche. Les prix de l’énergie et autres ressources ne peuvent ainsi que s’affoler.

Le silence et l’ignorance d’une grande partie de la classe politique sur ce sujet ne sont guère plus rassurants. Et cela sans tenir compte du fait que nous aurons relâché et continuerons à dissiper dans l’atmosphère le dioxyde de carbone stocké pendant des millénaires… Chocs pétroliers à répétition jusqu’à l’effondrement et péril climatique. Voilà donc ce que nous préparent les tenants des stratégies de l’aveuglement. La catastrophe de Fukushima alourdira encore la donne énergétique.

Ces stratégies de l’aveuglement sont absurdes.
Notre vulnérabilité est désormais issue de l’incroyable étendue de notre puissance. Nos démocraties se retrouvent démunies face à deux aspects de ce que nous avons rendu disponible : l’atteinte aux mécanismes régulateurs de la biosphère et aux substrats biologiques de la condition humaine.
Cette situation fait apparaître « le spectre menaçant de la tyrannie » évoqué par le philosophe allemand Hans Jonas. Parce que nos démocraties n’auront pas été capables de se prémunir de leurs propres excès, elles risquent de basculer dans l’état d’exception et de céder aux dérives totalitaristes. Une démocratie réelle , basée sur l’égalité de citoyens instruits, conscients et volontaires (donc censitaire sur des critères de valeurs ) sera l’unique solution pour sortir (ou tenter de le faire) de la culture actuelle du mouton-isme , de la désinformation, et de la faiblesse mentale.

Prenons l’exemple de la controverse climatique. Comme le démontre la comparaison entre les études de l’historienne des sciences Naomi Oreskes avec celles du politologue Jules Boykoff, les évolutions du système médiatique jouent dans cette affaire un rôle majeur. Alors que la première ne répertoria aucune contestation directe de l’origine anthropique du réchauffement climatique dans les revues scientifiques peer reviewed (« à comité de lecture »), le second a constaté sur la période étudiée que 53 % des articles grand public de la presse américaine mettaient en doute les conclusions scientifiques.

Ce décalage s’explique par le remplacement du souci d’une information rigoureuse par une volonté de flatter le goût du spectacle. Les sujets scientifiques complexes sont traités de façon simpliste (pour ou contre). Ces dérives qui engendrent doute et scepticisme au sein de la population permettent aux dirigeants actuels, dont le manque de connaissance scientifique est alarmant, de justifier leur inaction.

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Les dirigeants de la planète (à l’exception notable de quelques-uns) ont décidé de nier les conclusions scientifiques pour se décharger de l’ampleur des responsabilités en jeu. Comment pourraient-ils à la fois croire en la catastrophe et ne rien faire, ou si peu, pour l’éviter ?

Enfermée dans le court terme des échéances électorales et dans le temps médiatique, la politique s’est peu à peu transformée en gestion des affaires courantes. Elle est devenue incapable de penser le temps long. Or la crise écologique renverse une perception du progrès où le temps joue en notre faveur. Parce que nous créons les moyens de l’appauvrissement de la vie sur terre et que nous nions la possibilité de la catastrophe, nous rendons celle-ci crédible.

Il est impossible de connaître le point de basculement définitif vers l’improbable ; en revanche, il est certain que le risque de le dépasser est inversement proportionnel à la rapidité de notre réaction. Nous ne pouvons attendre et tergiverser sur la controverse climatique jusqu’au point de basculement, le moment où la multiplication des désastres naturels dissipera ce qu’il reste de doute. Il sera alors trop tard. Lorsque les océans se seront réchauffés, nous n’aurons aucun moyen de les refroidir.

La démocratie sera la première victime de l’altération des conditions universelles d’existence que nous sommes en train de programmer. Les catastrophes écologiques qui se préparent à l’échelle mondiale dans un contexte de croissance démographique, les inégalités dues à la rareté locale de l’eau, la fin de l’énergie bon marché, la raréfaction de nombre de minéraux, la dégradation de la biodiversité, l’érosion et la dégradation des sols, les événements climatiques extrêmes… produiront les pires inégalités entre ceux qui auront les moyens de s’en protéger, pour un temps, et ceux qui les subiront. Elles ébranleront les équilibres géopolitiques et seront sources de conflits.

L’ampleur des catastrophes sociales qu’elles risquent d’engendrer a, par le passé, conduit à la disparition de sociétés entières (Jared Diamond ). C’est, hélas, une réalité historique objective. A cela s’ajoutera le fait que des nouvelles technologies de plus en plus facilement accessibles fourniront des armes de destruction massive à la portée de toutes les bourses et des esprits les plus tourmentés.

Lorsque l’effondrement de l’espèce apparaîtra comme une possibilité envisageable, l’urgence n’aura que faire de nos processus, lents et complexes, de délibération. Pris de panique, l’Occident transgressera ses valeurs de liberté et de justice. Pour s’être heurtées aux limites physiques, les sociétés seront livrées à la violence des hommes. Nul ne peut contester a priori le risque que les démocraties cèdent sous de telles menaces. Le momentum de la « lutte de tous contre tous » se rapproche à grand pas…

L’idéologie du progrès a mal tourné. A l’époque des Lumières, il n’existait aucune région du monde, en dehors des peuples vernaculaires, où la richesse moyenne par habitant aurait été le double d’une autre. Aujourd’hui, le ratio atteint 1 à 428 (entre le Zimbabwe et le Qatar).

Les échecs répétés des conférences de l’ONU montrent bien que nous sommes loin d’unir les nations contre la menace et de dépasser les intérêts immédiats et égoïstes des Etats comme des individus. Les enjeux, tant pour la gouvernance internationale et nationale que pour l’avenir macroéconomique, sont de nous libérer du culte de la compétitivité, de la croissance qui nous ronge et de la civilisation de la pauvreté dans le gaspillage.

Le nouveau paradigme doit émerger. Les outils conceptuels sont présents, que ce soit dans les précieux travaux du Britannique Tim Jackson ou dans ceux de la Prix Nobel d’économie 2009, l’Américaine Elinor Ostrom, ainsi que dans diverses initiatives de la société civile.

Nos démocraties doivent se restructurer, démocratiser la culture scientifique et maîtriser l’immédiateté qui contredit la prise en compte du temps long. Nous pouvons encore transformer la menace en promesse désirable et crédible. Mais si nous n’agissons pas promptement, c’est à la barbarie que nous sommes certains de nous exposer.

Pour cette raison, répondre à la crise écologique est un devoir moral absolu. Les ennemis de la démocratie sont ceux qui remettent à plus tard les réponses aux enjeux et défis de l’écologie : l’écologie réelle, pas celle des faux prophètes corrompus actuels, verts et autres faux-nez du laisser-aller et de l’inversion des valeurs…

21 Mai 2011 Posted by | Gaia, Pépiements, Politis | , | Laisser un commentaire

Droits de l’homme : de l’importance de dire le droit

L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, que nous devons au courageux libanais Charles Malik, stipule que « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction (…)»

Le monde islamique a formulé  deux réponses majeures au document de l’ONU :

Vous ne trouverez de garantie analogue à la liberté de changer de religion dans aucune des deux chartes islamiques; en effet, comme nous l’avons vu, la loi traditionnelle islamique requiert la peine de mort contre ceux qui quittent l’Islam. Qui plus est, la Déclaration du Caire précise : « Tout homme a le droit d’exprimer librement son opinion pourvu qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la Charia ; Tout homme a le droit d’ordonner le bien et de proscrire le mal, conformément aux préceptes de la Charia (…) »

une comparaison, stricto sensu, de la déclaration des droits de l’homme, et de la « déclaration des droits islamiques » ou un magnifique exemple d’inversion des valeurs, voire de novlangue

http://www.in-nocence.org/public_forum/read.php?6,61823

« La chose la plus importante à comprendre pour les non-musulmans au sujet de l’islam est que l’islam n’est pas simplement une religion. L’islam est un système socio-politique, socio-religieux, socio-économique, socio-éducatif, socio-judiciaire, législatif, militaire, encapsulé, dissimulé dans une terminologie religieuse. L’islam n’est donc pas comme n’importe quelle autre religion qui aurait des points communs, et différerait avec la foi chrétienne par exemple, qui pratiquerait des missions d’évangélisation, en disant « venez et convertissez-vous, ceci est une religion pacifique ». Non. L’islam a toujours été et s’est toujours répandu par la force. C’est donc un système politique. Quand l’islam est sorti d’Arabie, il ne s’est pas répandu grâce à des missionnaires discutant pacifiquement avec leurs voisins : « voici ce que notre prophète Mahomet a annoncé, etc. » Non. C’étaient des hordes d’assassins qui avançaient petit à petit en subjuguant les mondes alentours par la force. L’islam est un système. Et partout où il y aura une communauté musulmane, il y aura la charia. Et là où il y a la charia, il y aura islamisation du territoire et, à terme, du pays. »
Sam Solomon (ancien juriste musulman)

« Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde. »
Bertrand Russell (scientifique et philosophe pacifiste, Prix Nobel 1950)

« Aucune colonisation n’est allée aussi profond que celle de l’islam et des Arabes […] Les populations colonisées se voient dépouillées de toute vie intellectuelle; il y a une « hystérie musulmane », une « tyrannie » de l’islam. »
V.S. Naipaul (prix Nobel indien de littérature), Notre civilisation universelle, Le Débat, Paris, n° 68, p. 86

Inutile de détourner les yeux, inutile de compter sur le « dialogue inter-religieux » ou sur le dialogue entre civilisations, inutile d’espérer une sécularisation de cette « religion » : comme idéologie totalitaire elle est déjà sécularisée et politique de part en part. On ne peut que la refuser, la repousser ou se soumettre toujours plus à ses diktats. La logique infernale du « Beau Modèle » le commande.

Il arriva qu’un jour, au cours de ses années de prédication, on amena devant Jésus une femme convaincue d’adultère, et donc encourant la lapidation. Réaction de l’intéressé : « Que celui de vous qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. » (Jean, 8). On sait la suite. Mahomet, quant à lui, selon ce que nous rapporte Imran Husayni, fut mis devant le même cas, la femme étant de surcroît enceinte. Réaction de l’intéressé : il attend que la grossesse arrive à son terme, puis ordonne la lapidation, pour le dire rapidement, le détail de cette histoire, quelle qu’en soit la variante, étant plus odieux encore que ce résumé.

l’islam est d’abord une législation et un régime politique dont le législateur est censé être Dieu. Toute notre histoire politique montre qu’il est de la plus haute importance de DIRE LE DROIT. Or le droit dit par la loi islamique est à l’opposé de nos droits fondamentaux sur les points les plus cruciaux :

Comparez donc strictement, à l’aune de vos valeurs éthiques, les textes, le droit, les références factuelles en présence…

Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789

« Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que leurs actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »

Déclaration universelle du 10 décembre 1948 :

« Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité  »

DE LA DEMOCRATIE
Art. 2. –
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.
Art. 4. –
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. –
La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société
Art. 6. –
La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse

Selon l’islam :

« la première assise de l’Islam est :
 » Nach Hadou Ana Laillaha ila-LLah wa ana Mouhammad Rassoula-LLah »
(Nous attestons qu’il n’y a d’autre divinité que Dieu et que Mohamed est le Prophète de Dieu).
Attester qu’il n’y a d’autre divinité que Dieu a pour signification immédiate : réserver à Dieu exalté le caractère divin et ne pas Lui associer quelques unes de Ses créatures dans une seule des caractéristiques de la déité.
La première caractéristique de la déité est la prérogative absolue de la législation d’où découle le droit de légiférer pour les hommes, le droit de formuler des doctrines pour leur vie et le droit de définir les valeurs morales sur lesquelles repose la vie. » Sayyed Qutb (Rahimahullah), tiré de « L’Islam par le martyr »

EGALITE

Art. 1er. –
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit

Préambule de la déclaration universelle de 1948 :

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes,

Art 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.

Art 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !

Coran :
9.5. Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
9.29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humilies .

INTERDIT DE L’ESCLAVAGE

Art 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Coran
4.3. …Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille).

INTERDIT DE LA TORTURE

Déclaration universelle Art 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

OCI Organisation de la Conférence islamique
28 Rabiul Al-Thani 1425 H /16 juin 2004
Communique final de la 31ème session de la conference islamique des ministres des affaires etrangeres
 » La Conférence a fait état de sa profonde préoccupation de l’amalgame fait de manière répétitive et erronée entre l’Islam et la violation des droits de l’homme. Elle a dénoncé l’exploitation de la presse écrite et audiovisuelle pour propager ces idées fallacieuses et a appelé à mettre fin aux campagnes injustifiées lancées par certaines organisations non gouvernementales contre un certain nombre d’Etats membres et qui consistent pour l’essentiel à demander à ces Etats d’abroger les peines et sanctions prévues par la Charia, sous prétexte de défense des droits de l’homme. Elle a réaffirmé le droit des Etats à préserver leur spécificité religieuse, sociale et culturelle, qui constitue un patrimoine de nature à enrichir les concepts universels des droits de l’homme. Elle a appelé à s’abstenir de toute utilisation de l’universalité des droits de l’homme comme prétexte pour s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats et porter atteinte à leur souveraineté nationale. Elle a, en outre, dénoncé la décision de l’Union Européenne concernant la condamnation de la peine de la lapidation et des autres peines qualifiées d’inhumaines et qui sont appliquées dans certains Etats membres en vertu des dispositions de la Charia. »

Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes, (…) Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. (…)

LIBERTE DE CHANGER DE RELIGION

Déclaration universelle Art 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites

Selon l’islam :
Hadith d’Ibn `Abbâs : « Quiconque change sa religion, tuez-le. »
Hadith d’Ibn Mas`ûd : « Le sang d’un Musulman qui atteste qu’il n’y a de dieu que Dieu et que je suis le Messager de Dieu est illicite sauf dans trois cas : l’homicide volontaire, le fornicateur qui a déjà connu le mariage et l’apostat qui abandonne la Communauté. »
« L’une des sources du droit islamique en vigueur dans la Communauté est le consensus (Ijmâ`). Or, les juristes de la Communauté, toutes Ecoles confondues, qu’ils soient sunnites ou non, ainsi que les juristes indépendants non rattachés à une Ecole précise, sont consensuellement en accord pour dire que l’apostat mérite une sanction. Il y a quasiment unanimité pour dire que cette sanction est la peine de mort, exception faite de ce qui a été rapporté au sujet de `Umar, d’An-Nakh`î et d’Ath-Thawrî. Il demeure cependant que l’incrimination de l’apostasie est consensuellement reconnue. » Yusuf Al Qaradawi

PRIERE ET ENSEIGNEMENT DU MEPRIS

L’Al-Fatiha, la prière la plus commune de l’Islam et la première sourate du Coran.

Coran ( 1/7 )  » La Fatiha » :
 » le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés »

Sa signification ordinaire selon les tafsirs (exégèses):
« Dieu (تعالى) a dit : {Celui que Dieu a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs} (5/60)
‘Adi Bin Hatim a dit : “J’ai demandé à l’Envoyé de Dieu au sujet de ceux qui sont désignés par ce verset : {Non le chemin de ceux qui ont encouru Ta colère}, il me répondit : “Ce sont les juifs, quant aux égarés ce sont les chrétiens”.

ABUS DU DROIT POUR DETRUIRE LES LIBERTES ET DROITS

Déclaration universelle Art 30
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Selon le coran, (et les hadiths), le musulman doit combattre jusqu’à ce que « toute la religion soit à Allah » :
2/190] Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs!
2/[191] Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
2/[192] S’ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux.
2/ 193] Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes.

D’où la conclusion logique de la Cour Européenne :

Cour européenne des Droits de l’Homme
31 juillet 2001
Affaire Refah Partisi (parti de la prospérité) et autres c. turquie arrêt strasbourg

La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. (…) Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. (…) Selon la Cour, un parti politique dont l’action semble viser l’instauration de la Charia dans un Etat partie à la Convention peut difficilement passer pour une association conforme à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la Convention.

http://antifafdoncantiislam.blogspot.com/2007/08/droits-et-devoirs-humains-oui-loi.html

OCI Organisation de la Conférence islamique
28 Rabiul Al-Thani 1425 H /16 juin 2004
Communique final de la 31ème session de la conference islamique des ministres des affaires étrangeres
 » La Conférence a fait état de sa profonde préoccupation de l’amalgame fait de manière répétitive et erronée entre l’Islam et la violation des droits de l’homme. Elle a dénoncé l’exploitation de la presse écrite et audiovisuelle pour propager ces idées fallacieuses et a appelé à mettre fin aux campagnes injustifiées lancées par certaines organisations non gouvernementales contre un certain nombre d’Etats membres et qui consistent pour l’essentiel à demander à ces Etats d’abroger les peines et sanctions prévues par la Charia, sous prétexte de défense des droits de l’homme. Elle a réaffirmé le droit des Etats à préserver leur spécificité religieuse, sociale et culturelle, qui constitue un patrimoine de nature à enrichir les concepts universels des droits de l’homme. Elle a appelé à s’abstenir de toute utilisation de l’universalité des droits de l’homme comme prétexte pour s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats et porter atteinte à leur souveraineté nationale. Elle a, en outre, dénoncé la décision de l’Union Européenne concernant la condamnation de la peine de la lapidation et des autres peines qualifiées d’inhumaines et qui sont appliquées dans certains Etats membres en vertu des dispositions de la Charia. »

13 Mai 2011 Posted by | Politis, Référence, Valeurs | , | Laisser un commentaire

Le droit musulman

Extraits de : Commentaires d’Anne-Marie DELCAMBRE
Le droit musulman est l’essence de ce système qu’est l’islam.
le droit musulman est la clé pour comprendre ce qui se passe dans le monde aujourd’hui.
Aujourd’hui , après une longue période de confinement et une éclipse qui semblait présager de sa disparition, il reparaît, plus fort que jamais.
C’est normal , il fait partie du système musulman.L’islam n’est pas seulement une foi. C’est avant tout une Loi et cette loi est explicitée , dans le SUNNISME, par 4 écoles juridiques.
La jurisprudence élaborée par ces 4 écoles prend le nom de fiqh, mot improprement traduit par  » droit musulman ».
Le droit musulman intéresse donc plus d’un milliard de croyants. De manière totale ou partielle , ce sont 40 pays qui se réclament dorénavant de ses règles.
Il était cantonné , la plupart du temps, à l’organisation du culte, au statut personnel. Or il s’impose désormais chaque jour davantage dans des domaines tels que ceux du droit pénal (les peines fixes pour les crimes=hudûd), les obligations, le droit fiscal.
Or du fait que ce droit s’appuie sur plusieurs sources , dont DEUX sources religieuses, l’une révélée par Dieu lui-même (Coran) et l’autre étant l’imitation du Prophète (Sunna)(avec des hadîths qudsis, traditions révélées par Dieu au Prophète) , ce droit occupe une place toute particulière dont l’Occident a décidé de ne pas tenir compte
C’est une des constructions juridiques les plus sophistiquées. Le droit musulman a été appliqué jusqu’au moment où il y eu la chute du califat , en 1923
Ce droit musulman est une création postérieure à Mahomet, élaborée en un siècle par de grands jurisconsultes, Malik ibn Anas , Ibn Hanbal , Chaféi , Abû Hanîfa , pour ne parler que des quatre écoles juridiques les plus connues. C’est une véritable création juridique, grâce à l’apport de convertis principalement persans. Sans cela l’empire musulman n’aurait pu tenir -page 12 Henri de Waël  » le droit musulman apparaît bien, avec le système romaniste et celui de la common law, comme l’une des trois créations originales en la matière.Le Coran représente pour tous les musulmans la PAROLE DE DIEU, directement descendue sur l’autoproclamé  » PROPHETE » !
et ce droit revient en force, n’est plus vu comme un texte périmé, et pousse ses tentacules vers nos corpus juridiques occidentaux (Londres, Canada, France…)

 » Au départ , selon Henri de Waël , c’est-à-dire vers 1970 , seuls de rares pays musulmans maintenaient une application intégrale du droit musulman ( fiqh) :
– Arabie Saoudite : école hanbalite dans sa mouture wahhabite ( Rappelons l’exécution , pour adultère , en 1978 , de la princesse Michad , âgée de 19 ans et mariée d’autorité,
– Yémen du Nord où la constitution de 1974 précisait que la charî’a islamique constituait  » la source de toutes les lois  »
– Qatar, dans la Côte des Pirates
– Oman
– AfghanistanOr c’est en 1972 qu’est rétablie en Libye la peine d’amputation pour vol
1973 rétablissement de la flagellation pour fornication
1974 flagellation pour consommation d’alcool
1979 le Pakistan s’engage dans cette voie. Tout le droit est islamisé. Cette islamisation est confirmée en 1984 par référendum.
1979 l’Iran devient une République islamique. Une codification pénale islamique rétablit le talion, les supplices des houdôud ( peines légales criminelles) et ceci en 1982 ainsi que le ta’zîr, peines laissées à l’appréciation du juge, en 1983.
1980 l’Egypte fait ratifier par référendum ( malgré l’active opposition du pape copte ) un amendement selon lequel les principes de la charîa constituaient « la source fondamentale de la législation du pays « , et non plus l’une des sources seulement.
1980 la loi coranique fut également rétablie en Mauritanie.
1983 une islamisation totale du droit fut imposée au Soudan.

 Le vrai problème de ce droit tiré des sources religieuses – et donc fidèle au Coran et à la Sunna (comportement du prophète)- c’est qu’il s’oppose aux DROITS DE L’HOMME

  • Contradiction brutale qui existe entre la proscription des peines inhumaines et dégradantes ( art 5) et la crucifixion. Or la crucifixion constitue la peine légale (hadd, pluriel : hudûd) applicable au crime religieux de brigandage ‘ qat’ al tarîq ou  » coupure des chemins  » , lorsque celui-ci a conjugué vol organisé et homicide. La crucifixion a été introduite dans la législation soudanaise.
  • La Déclaration des Droits de l’homme proclame l’égalité de tous devant la loi ( art.7). Or le témoignage d’un non-musulman reste bien souvent écarté, les héritiers de confession non-musulmane se trouvent privés de leurs droits éventuels à la succession d’un musulman.
  • La faculté pour quiconque de changer librement de religion (art.18)
  • Le projet d’imposer la peine de mort à l’encontre de ceux qui reviendraient au christianisme après avoir appartenu à l’islam , a provoqué l’opposition la plus irréductible de la communauté chrétienne copte d’Egypte !!

L’APPLICATION TOTALE DU DROIT MUSULMAN (y compris dans ses dispositions pénales) SUPPOSE UNE SOCIETE VERITABLEMENT ISLAMIQUE . Seulement les réformes restent suspendues en attendant la réalisation de cette société…

L’islam n’est pas seulement une foi, c’est aussi une loi qui prend sa source dans le Coran, dans la Sunna …
La colonisation, la puissance des pays occidentaux a privé l’islam de sa Loi, inappliquée ou jugée inapplicable car barbare. Mais le fiqh est la pièce maîtresse de l’islam .
D’ailleurs au Liban,( Etat pluriconfessionnel ), les tribunaux de la chari’a sont maintenus. La codification du droit musulman est intervenue en 1917 , pour les sunnites.
En fait c’est le problème de la loi qui pose problème en islam. Et c’est pourquoi le combat des islamistes porte sur le rétablissement de la chari’a dans son application jurisprudentielle , le fiqh !!

à titre de référence, ne manquez pas de consulter le corpus rituel et légal des chiites.

24 avril 2011 Posted by | Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire

L’islam a une stratégie de domination de long terme

extrait de Poste de Veille

« Grâce à vos lois démocratiques, nous prendrons le pouvoir. Grâce à nos lois religieuses, nous allons vous gouverner » a dit un imam d’Izmir.

L’islamisation de l’Europe est en plein essor et la majorité des Européens se trouvent impuissants face à cette situation. Ils ne sont informés ni de la véritable nature  de l’islam, ni du contexte des prétentions politiques islamiques sur le territoire de l’Europe.

Les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne. Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée. Je vais vous parler d’une série de documents contenant des informations importantes sur les aspirations expansionnistes des musulmans et de leurs complices appartenant à l’élite occidentale, et ces informations vous permettront de leur opposer une nécessaire résistance.

Partie 1 : Le contexte politique, idéologique et religieux sur lequel s’appuie l’islamisation de l’Europe

Les plans de la gauche pour l’islamisation – et leurs réalisations incessantes jusqu’à maintenant.

Au début des années 1990, les représentants du parti allemand « Bündnis90/Les Verts » (Coalition90/Greenpeace) pour une Europe franco-allemande et l’un de leurs politiciens vedettes, Daniel Cohn-Bendit, annonçait la couleur ainsi :

« Nous, les Verts, devons lutter afin que le maximum d’étrangers viennent s’installer en Allemagne. Quand ils seront en Allemagne nous devrons lutter pour qu’ils obtiennent le droit de vote. Quand cet objectif sera atteint nous aurons alors le nombre suffisant d’électeurs pour changer cette république ».

Jürgen Trittin, le ministre fédéral pour l’Environnement, la Protection de la nature et la Sécurité nucléaire, sous les ordres du chancelier Schröder (1998-2005), puis après octobre 2005, ministre fédéral de la Protection des consommateurs, Alimentation et Agriculture a conservé l’idéologie du Mouvement Pacifiste de 1968 (le fameux « esprit soixante-huitard ») jusqu’à nos jours. Encore maintenant, il est fidèle à son adhésion au mouvement maoïste d’alors, la « Fédération communiste » (Kommunistischen Bund KB, avec leur slogan : « Plus jamais ça,  Allemagne ! »), et à ce sujet il affirme :

« Ce n’est pas la faute de la jeunesse, et je crois qu’il y a davantage de choses pour lesquelles nous devons lutter aujourd’hui… ».

Dans le contexte de cette déclaration, l’opinion de Trittin au sujet des élections démocratiques est intéressante. En effet, Trittin est moins intéressé par une représentation des majorités au Parlement que  par la prise du pouvoir par son parti, grâce aux :

« minorités agissantes et au contrôle de l’opinion ».

Ceci n’est rien d’autre  qu’une stratégie post-communiste pour propager le  dogme léniniste de la dictature du prolétariat, de la  part d’un politicien allemand important. C’est par cela même que les communistes ont justifié les décennies d’oppression de leurs concitoyens par une minorité radicale, arrogante, et surtout complètement fascisante d’extrême gauche. Dès lors, et avec les grands succès obtenus jusqu’à maintenant par la même stratégie du contrôle de l’opinion publique, Trittin a esquissé un plan plus pertinent concernant les relations de pouvoir réel dans les pays européens. Même les analystes des sciences politiques n’ont jamais été capables de parvenir à ce but avec leurs grandes théories. Certes, les pouvoirs parlementaires sont actuellement entre les mains des partis conservateurs européens, cependant, ce contrôle de l’opinion des masses dont parle Trittin, et le pouvoir qui en découle, est entièrement dans les mains des minorités gauchistes parfaitement organisées, (mot-clé : cartel de l’opinion de la gauche fasciste) qui jusqu’à présent ne rencontrent aucune contradiction sur la décision de ce qui est politiquement correct et ne l’est pas, mais nous reviendrons là-dessus.
Des politiciens déchus se cherchent un nouveau peuple,
Ou comment une satire politique se transforme finalement en réalité.

Penchons-nous d’abord sur la tête « pensante » des Verts (Greenpeace), l’Allemand Joschka Fischer, longtemps chef de son parti et ancien ministre allemand des Affaires étrangères. Dans sa jeunesse, ce sympathisant de la RAF (la célèbre Fraction de l’armée rouge, des communistes révolutionnaires) en lutte contre les policiers, militait contre  son propre pays  et détestait le modèle occidental. Il adhérait aux mêmes slogans que son ami et compagnon de route Cohn-Bendit. Fischer affirme : « Je découvre de plus en plus à quel point je suis demeuré un marxiste », et il dévoile les véritables intentions politiques derrière l’immigration massive dans son livre au titre révélateur : Risiko Deutschland (L’Allemagne : Le risque) (1994). Le quotidien Die Weltrésume ainsi  ce livre  :

«L’Allemagne doit être encerclée de l’extérieur, et à l’intérieur, par des flux migratoires, on doit hétérogénéiser [sa population] jusqu’à la diluer.» (Deutschland muss von aussen eingehegt, und innen durch Zustrom heterogenisiert, quasi « verdünnt » werden).

En clair, l’idée d’une fraude électorale de proportions historiques était née et elle   serait mise en œuvre par la suite, insidieusement et facilement mais néanmoins sans aucune hésitation. En 1960, seulement 600 000 musulmans vivaient en Europe, en 2010 ils sont 30 millions, et la plus grande immigration de masse de l’Histoire continue sans ralentir. Chaque année, un million d’immigrés musulmans affluent en Europe. Tout cela s’effectue dans la légalité, par les regroupements familiaux, et les réfugiés politiques qui viennent demander l’asile politique fuyant leurs pays musulmans où les droits humains sont piétinés. Encore et encore, ils reçoivent les mêmes droits que les résidents, sans être obligés d’acquérir les moindres rudiments de la culture, de l’éducation et des compétences professionnelles nécessaires pour s’adapter à une société européenne hi-tech.

Mais ils ne sont pas venus pour s’intégrer dans cette société occidentale, c’est d’ailleurs interdit par leur foi, ainsi que le leur rappellent leurs leaders religieux, très organisés, et qui ont depuis longtemps pris le contrôle des musulmans en Europe. Leur principal objectif politique est de réaliser ce que leur commande leur foi, ce qu’Allah commande : gouverner les Infidèles dans le monde entier. C’est ce qui est écrit dans le coran, c’est cela que leur prophète Mahomet commande aussi. Et c’est également cela que chaque musulman s’efforce de réaliser dans tous les pays européens, indépendamment des partis auxquels ils appartiennent par ailleurs.

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La domination du monde est le but principal de l’islam

Que ce soit Vural Öger (député allemand du SPD d’origine turque) ou Boumediene (ancien chef de l’Etat algérien) ou Izbetbegovic (ex-Président bosniaque) ou Erbakan (ancien premier ministre turc) … chacun d’entre eux connaissait parfaitement le plan de conquête et employait tout le pouvoir qu’il avait pour l’accomplir.

Seuls les bien-pensants occidentaux et l’élite de gauche refusent avec insistance de reconnaître la volonté islamique de domination du monde, car ils suivent naïvement la devise des bien-pensants et des personnes de bonne volonté qui croient que ce qui est immoral ne peut tout simplement pas exister. Mais il faut le dire à tous ceux qui refusent d’accepter la réalité: les musulmans ne se soucient pas  de ce que les non-musulmans pensent de l’islam. Ce que l’islam implique, ce qu’il signifie vraiment, chaque musulman le comprend parfaitement.  Disons-le clairement, les idéaux occidentaux ou toutes autres valeurs morales, sont considérés [par les musulmans] comme un tas de déchets. Khomeiny l’a formulé sans ambigüité :

« Gouverner le monde est le but de l’islam. »

Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait :

«Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire  légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).»

Même le chef de la police de Cologne – tenu par l’obligation de neutralité liée à sa fonction – a conclu sobrement suite à l’ouverture des frontières et sur la base du taux de natalité élevé des musulmans que l’Etat allemand sera conquis en 2030. Puisque l’islam aspire à la domination du monde, il pourrait y avoir une guerre civile sanglante en Allemagne et en Europe.

Son collègue à Vienne, Alfred Ellinger, président de l’Association des criminologues autrichiens (Vereinigung Österreichischer Kriminalisten), prévoit la même chose. Dans un commentaire sur l’état de l’Europe par rapport à l’islam, il écrit:

«Tout musulman a le devoir de défendre son territoire contre les attaques des infidèles et en même temps de détruire le monde des infidèles de manière à ce que l’Islam domine le monde entier. Le djihad ne prend fin que lorsque toutes les personnes ont soit accepté la foi islamique, ou soit se soumettent à son autorité. La frontière de l’Islam est la frontière du monde».

Tout comme le Turc Metin Kaplan – qu’on appelle ironiquement le “Calife de Cologne”, fondateur du groupe militant musulman  «L’état-caliphat», qui entretient une haine envers les Juifs et Israël. Reconnu demandeur d’asile, il a proclamé dans d’innombrables sermons la création d’une “théocratie islamique allemande” et prophétise la prochaine domination islamique sur le monde. […]
Adolph Hitler qui avait une connaissance minimale de l’islam collaborait avec le Grand Mufti de Jérusalem, dans le but notamment d’établir un camp de la mort pour les Juifs vivant en Palestine. Néanmoins, il était capable de saisir la  portée du désir de domination du monde islamique mieux que la plupart de nos contemporains européens éduqués.

« Si nous étions devenus des mahométans, nous serions, aujourd’hui, les maîtres du monde »

Partout dans le monde, les musulmans œuvrent à la prise du pouvoir, et  ni une soi-disant opinion de la gauche ou des Verts ne pourra  les retenir. Nargess Eskandari-Grünberg, une politicienne musulmane appartenant à la  coalition Bündnis90/Greenpeace a répondu ceci lors d’une assemblée sur l’éducation et l’intégration quand  un citoyen  s’est  plaint du nombre élevé  d’étrangers vivant à Hausen, le quartier de Francfort où il habite:

« L’immigration est un fait à Francfort et si ça ne vous plait pas, vous pouvez déménager ailleurs. »

Cette Nargess Eskandari-Grünberg, née à Téhéran en 1965, a fui son pays en tant que réfugiée politique en 1985, et s’est alors installée en Allemagne.

Comment les politiciens européens, avec l’aide des électeurs musulmans,  prennent des décisions  politiques contre leurs propres peuples

Entretemps, l’influence des musulmans  sur la politique européenne et sur le pouvoir politique est devenue énorme. Souvenez-vous  de Gerhard Schröder (audio de Schröder: “Oui, je suis un marxiste!”), quand il  fut réélu de justesse au poste de chancelier avec une très mince  majorité. Se retrouvant devant la menace d’une possible défaite aux élections, Schröder misa sur le vote turc en promettant que, sous sa direction, l’entrée de la Turquie dans l’UE serait irrévocablement acceptée. Ce message visait les 600.000 immigrants musulmans naturalisés, dont la majorité était d’origine turque. C’est sur eux que Schröder avait placé ses espoirs et son approche fut couronnée de succès. Grâce aux électeurs turcs-allemands lui ayant donné la majorité de leurs voix, Schröder, du parti SPD et les Verts ont été en mesure d’obtenir une majorité avec un avantage de seulement 6.027 voix, juste assez pour être réélu à la Chancellerie et ceci contre la volonté du peuple allemand, car sans les voix des immigrés naturalisés turco-allemands, Gerhard Schröder aurait perdu cette élection avec une marge considérable de plus d’un demi-million de votes.

Imaginez ceci : Que les hommes politiques gouvernent contre la volonté de leur propre peuple.

C’est exactement ce que Cohn-Bendit voulait, et c’est le même plan qui a été mis en œuvre dans toute l’Europe par le puissant cartel de gauche appelant à une “dilution” de l’électorat des Européens de souche, et dont on peut voir maintenant les résultats.

Le changement de groupes de population n’est pas une invention nouvelle. Comme moyen “non-militaire” de solution définitive, ce changement a été réalisé dans des contrées étrangères déjà occupées et le peuple conquis a vu sa population d’origine remplacée au fil du temps par éviction “douce”, lentement,  jusqu’à ce que la population d’origine n’y soit plus. Un bel exemple dans l’histoire récente est le Nord de Chypre. Occupé depuis 1974 par la Turquie, des centaines de milliers de Turcs d’Anatolie y ont été transférés. Le résultat aujourd’hui est que le rapport entre les Chypriotes grecs et turcs a radicalement changé en faveur de la minorité provenant de la Turquie.

Un autre exemple, celui du Tibet : cette immense  région autonome de 1,2 millions de kilomètres carrés (l’Allemagne en comparaison est de seulement  350.000 kilomètres carrés) est passée sous l’occupation chinoise dans les années 1950. Depuis lors, la Chine a veillé à ce que des millions de Chinois s’installent au Tibet, de sorte que dans l’intervalle, les Tibétains sont devenus minoritaires dans leur propre pays. Dans ces deux cas, la redistribution des groupes de population a été guidée par l’autorité de la puissance occupante, et le résultat est logiquement à l’avantage du groupe ethnique de cette puissance occupante.

L’Europe, par contre, n’est pas occupée par une puissance extérieure, mais malgré cela, le continent se trouve dans les affres de l’un des plus grands bouleversements démographiques de son histoire par le biais de l’arrivée de nouveaux groupes ethniques, musulmans pour la plupart, qui arrivent à remplacer progressivement les Européens de souche. L’originalité est que ce bouleversement a été orchestré par ses propres politiciens européens et a été programmé de longue date, tout en allant à l’encontre des intérêts et des besoins des Européens de souche.

Non seulement ces politiciens n’ont pas demandé la permission à leurs électeurs sur cette question, mais en plus ils n’ont pas voulu réagir aux protestations croissantes de la population européenne, parce qu’une telle immigration de masse a conduit au fait que l’Europe telle que les Européens l’ont connue jadis, est de moins en moins reconnaissable.

Dans de nombreux endroits, les Européens sont devenus des étrangers dans leur propre pays, et dès le début, ils n’ont pas voulu de cette immigration massive. Cette politique d’immigration porte en elle tous les signes d’un concept totalitaire de gouvernance de la part de l’élite politique de l’Europe, et nous rappelle les mouvements de population géants dans l’Union soviétique et la Chine communiste sous Staline et Mao. Ces changements étaient décidés par un minuscule cercle politique, et réalisés sans la moindre consultation des peuples indigènes concernés.

En bref : l’extrême gauche et les Verts en Europe qui sévissent dans certains secteurs clés, tels que l’élargissement de la communauté européenne, l’immigration, la nationalité et les médias, ont agi comme agiraient des forces d’occupation étrangère. Cependant, vu que ceux qui portent l’entière responsabilité de cette immigration de masse ont été incapables de convaincre leurs électeurs européens du bien-fondé de leur idéologie politique, ils ont entrepris d’organiser l’occupation de leurs pays par des hordes de gens parlant des langues étrangères, avec une religion et une culture étrangères. Et leur intention demeure de « diluer » les Européens afin de leur retirer, progressivement, tout pouvoir.

Tout ceci n’est en réalité qu’une forme nouvelle de « purification ethnique ». En outre, on distingue certains signes pervers : il n’y a pas de forces d’occupation extérieures, mais plutôt une petite minorité très déterminée, interne aux populations indigènes européennes, et cette minorité au pouvoir peut d’ores et déjà, mais surtout à long terme, remplacer sa propre population par une autre qui lui promettrait un plus fort soutien dans ses objectifs politiques.

Le grand plan de la gauche et des Verts produit d’ores et déjà les résultats escomptés : à Bruxelles, à Milan ou à Oslo, le prénom Mohammed est désormais le plus commun donné aux nouveaux nés. En Angleterre le prénom le plus courant était Jack, c’est dorénavant Mohammed. En Hollande, en 2004, 56 pour cent des enfants et des jeunes dans les grandes villes sont des étrangers, la plupart sont musulmans.

En Suisse, les projections statistiques pour 2040 indiquent que la population sera à 76 pour cent musulmane, dans l’hypothèse où la politique migratoire de ce pays alpin ne serait pas inversée. Selon une étude autrichienne, en 2051, le tiers des élèves autrichiens sera musulman. Une étude des Archives islamistes de Soest (2006) concernant les développements de la population allemande prévoit qu’en 2045, il y aura en Allemagne 51.72 millions de musulmans et seulement 45 millions d’Allemands de souche. Ces chiffres sont déjà soigneusement évalués par les autorités musulmanes en ce qui concerne  leur prise de pouvoir dans ce pays le plus important d’Europe.

et pour finir cette aveu d’Azouz BEGAG  ministre UMP de « la promotion de l’égalité des chances » paru dans « Respect Magazine » n°8 octobre-décembre 2005 pages 14,15 et 16

« Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes, là-bas, les descendants de Vercingétorix… Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être comme une invasion de criquets… Partout, de manière à ce qu’on ne puisse plus revenir en arrière. ».

29 mars 2011 Posted by | Politis | , | Laisser un commentaire

Conscience et Totalitarisme

Tout système totalitaire craint l’éveil des consciences.

la liberté c'est l'esclavage

Il n’existe pas de système plus omni-totalitaire que l’Islam, à avoir réussi une percée planétaire aussi vaste dans toute l’histoire mondiale. Le seul autre système idéologique récent ayant eu un succès mondial serait le communisme. Même si, aux temps lointains où l’humanité se résumait à quelques dizaines de millions d’individus, d’autres idéologies totalitaires dont le souvenir a été atténué ou perdu, ont sévi, il existe une hiérarchie « de perversité » entre les 3 dernières, Islam, communisme et nazisme :

le nazisme avait pour fondation certains principes heurtant de front la notion de bien et de mal en vigueur dans le judéo-christianisme.

le communisme est plus pervers que le nazisme, si l’on considère qu’il ne demande pas initialement à l’homme de faire le pas moral du criminel et qu’il se sert de l’esprit de justice et de bonté qui est répandu dans toute la terre pour se promouvoir.

l’islam est plus pervers que le communisme car il se présente sous la forme très trompeuse d’une religion… Quoi de plus anodin ? N’y en a-t-il pas des milliers d’autres, croyances, sectes, cultes, superstitions confondues ? De plus cette « religion » n’a-t-elle pas gagné sa totale crédibilité, « fait ses preuves » d’innocuité, puisque implantée chez au moins 1 milliard d’individus et connue depuis 1300 ans ?

L’Islam peut-il revendiquer le titre d’archétype le plus parfait connu de système totalitaire puisqu’il réunit en une seule doctrine tous les totalitarismes qui puissent asservir l’Homme ?

La vie de l’individu est réglée dans son intégralité. Tout est minutieusement regroupé dans le Coran et les Hadiths.

La vie spirituelle est soumise à un corpus de croyances très précises dont rien ne peut être retiré ni ajouté.

La vie quotidienne pratique est enserrée dans un maquis de règles qui régentent tout du lever au coucher en passant par le sommeil nocturne que la prière interrompt au moins une fois chaque jour. Les détails les plus intimes de l’alimentation, de la toilette corporelle, de la vie sexuelle, de la tenue vestimentaire de la naissance à l’age adulte, jusqu’à l’emballage des cadavres, sont réglés par des impératifs incontournables. Le suicide est passible de prison même si elle entraîne la mort du suicidaire (s’il a d’abord échoué bien-sûr) !

La vie sociale est totalement encadrée et aucun type de rapport humain n’est oublié.

La vie politique et l’organisation des pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires sont très précisément fixés.

De nombreux potentats politiques ont fort légitimement pu dire : « le Coran est ma seule Constitution ».

tout système totalitaire craint l’éveil du discernement, base du cheminement spirituel
  • L’islam est une illusion de religion, tel un décor de théâtre.
  • L’Islam n’est pas une religion puisque l’adhésion n’est pas optionnelle et que de toutes façons, l’appartenance est totalement irréversible et de plus héréditaire, imposée de droit aux enfants.

Bien au-delà d’une religion, il s’agit d’une idéologie complète et parfaite, régissant la vie de l’individu 24h /24, sans aucun oubli pratique ni intime.

Cela est contradictoire avec une évolution intérieure riche et raisonnée, c’est la puissance des zombies

26 mars 2011 Posted by | Politis | | Laisser un commentaire

Guetteur, y-a-t-il encore une nuit?

« Guetteur, où en est la nuit ? Qu’en est-il de la nuit, guetteur ? Et le guetteur répond : « Le matin vient, puis ensuite revient une autre nuit. »

«Des profondeurs du temps, la nuit de l’esprit révèle des lueurs de ténèbres. Du haut de sa tour juchée entre deux mondes, Isaïe lançait son interpellation : Guetteur, où en est la nuit ? Au jour des vents mauvais de l’Histoire, ce guetteur jaugeait un champ prophétique s’étendant du VII ème au XXI ème siècle. Sa vision surplombait les barbaries ancestrales et les tremblements sulfureux qui s’ordonnancent sous nos yeux. Il scrutait les empires qui se télescopaient et qui s’effondrèrent corps et biens. D’autres résistent encore, pour combien de temps ?

Guetteur, où en est la nuit ? A une mise en garde des périls islamistes qui s’amassent devant les lignes Maginot imaginaires des occidentaux. Et par ailleurs à l’encontre d’Israël, les armées du jihad mahométan , pleines de l’esprit funeste du 7ème siècle qui les aliène, devraient se rappeler 1973 et autres déroutes…

Qu’en est-il de la nuit, guetteur ? Des pré-notions accomplies concernant le flamboiement scientifique et technologique des siècles, jusqu’aux Lumières, puis un déclin paradoxal par l’appauvrissement continu de l’éthique judéo-chrétienne. La prévision d’une nouvelle « nuit » (non plus de « cristal ») crépusculaire éclaire les paramètres de la troisième guerre mondiale du genre humain qui se met en place. Elle représentera une problématique de vie ou de mort pour la majorité des musulmans qui auront la main droite enchaînée au boulet médiéval de l’inamovible Coran et la main gauche à celle du cruel codex de la Charia.

Depuis quatorze siècle, leur vie est réglée par l’archaïque Loi islamique : flagellation, lapidation, amputation (opportunément dédouanée pour ses féaux et attributaires du coran). Par ailleurs, il est évident que le monde musulman répugne aux innovations civilisatrices, en politique (démocratie, droits de l’homme, humanitarisme), et autres fadaises sur la valeur de la vie, ainsi qu’à la réadaptation de l’islam aux exigences de la modernité. Cette paralysie cognitive est la tare de la postérité d’Ismaël et d’Esaü , la raison de l’inimitié foncière, congénitalement haineuse pour la postérité d’Isaac et de Jacob.
«Tuez les infidèles (notamment juifs et chrétiens) partout où vous les trouverez et chassez-les d’où ils vous auront chassés… » Sourate 2-Verset 187.
Les infidèles n’ignorent plus que le coran ne fut conçu qu’au huitième et neuvième siècle, à Bagdad (et non à la Mecque ou à Médine) et à seule vocation géopolitique, comme étendard commun pour nomades razzieurs de butin. Sa singularité conceptuelle ne se développa que graduellement pour devenir, en 300 ans, une religion à vocation hégémonique.

C’est à raison que l’Islam est perçu comme une idéologie politicienne qui se caractérise par un véritable programme de Parti Unique, visant a contrôler une société d’hommes soumis, jusqu’au don de leur vie, immergés anonymement au sein de l’Oumma, la communauté des croyants. Sans état d’âme ou de conscience, ils professent à l’égard des infidèles en général et aux judéo-chrétiens qui leurs résistent : «Voici quelle sera la récompense de ceux qui combattent Allah (le Très Miséricordieux) et son apôtre (Mahomet) et qui emploient toute leur force à commettre des désordres sur la terre : vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la croix; vous leur couperez les mains et les pieds alternés; ils seront chassés de leur pays. L’ignominie les couvrira dans ce monde et un châtiment cruel dans l’autre ». Sourate 5-Verset 37.
Est-ce cela un livre d’amour et de paix? N’est ce pas plutôt l’inversion des valeurs, prophétisée et décrite à foison… le loup se fait passer pour l’agneau, la haine se fait passer pour amour… et que les niais y croient…ils seront emportés…

«Et le guetteur répond : Le matin vient, » Pour une estimation récente de la population musulmane, soit un milliard cinq cent millions de musulmans, avec un milliard en Asie, 450 millions au Moyen orient et en Afrique, une centaine de millions en Europe (45 millions pour ce qui la concerne) et autres pays dans le monde (dont six ou sept aux USA). Souvenons-nous que jusqu’au 7ème siècle de notre ère, tout le Proche Orient était quasiment chrétien… Mais en moins de deux siècles, l’Islam supplanta le christianisme par la fureur de son épée, l’arme subtile de la natalité (rapts et viols d’innombrables chrétiennes), les razzias incessantes et l’esclavagisme systématique.

De même, il convient d’observer que le jihad, son fer de lance, est l’invariant, et constant commandement : conquérir des territoires (nations, terres et peuples) qui ne lui appartiennent pas. Son code moral est tout simplement inexistant : « Les Chrétiens et les Juifs disent Tu ne tueras point ! Mais nous nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but. » (Ayatollah Khomeiny).

Quelle est la raison de cette névrose politico-religieuse ? Le machiavélisme islamique y répond par l’argument suivant : Si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide (l’absolution) et le soutien religieux (promesse paradisiaque) directement du coran. Et en effet, le faux « saint » livre l’explicite par une proverbiale miséricorde : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’il puisse montrer sa propre puissance » sourate 8.17.

Force nous est de reconnaître que l’esprit qui anime sourates et hadiths relèvent d’un ordre d’inhumanité. Dès la prise de conscience de l’enfant musulman, il lui conditionne son esprit. Aucune religion au monde, si perverse serait-elle (mise à part quelques sectes sataniques), n’oserait enseigner le pourquoi et le comment tuer celui qui serait d’une autre religion que la leur… en l’assortissant de la parfaite impunité de son acte.

«Puis ensuite la nuit. » Une nuit millénaire, faite de luttes entre lumière et ténèbres, constellée de guerres religieuses, de croisades improbables, d’inquisitions criminelles, de dépravations culturelles, d’ idéologiques mortifères et de nombre d’avatars mortifiants. Le genre humain dut apprendre le difficile exercice de la liberté/responsabilité individuelle sur une base d’éthique judéo-chrétienne. Celle-ci s’affirma comme la plus idoine pour nos modes de penser la vie en société. Par nos prophètes, penseurs et philosophes érudits, nous apprîmes combien la morale et la valeur de la vie humaine étaient précieuses (amour, vérité, gentillesse, honnêteté, bonté, équité, générosité, altruisme, miséricorde…) et quelles sont des biens inestimables. Elles forment un bouquet de valeurs positives et bénéfiques.

Mais alors, qu’en est-il des vertus de l’Islam ? Sont-elles compatibles avec nos démocraties (bien qu’imparfaites), à notre sens d’une justice (perfectible), à notre vouloir d’égalité des hommes et des femmes, etc. ? Quatorze siècles durant, qu’en est-il des avancées de l’Islam, si ce n’est par celle de l’épée ? Les Islamistes continuent de massacrer où qu’ils se trouvent, juifs et chrétiens, en Égypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria et autres pays et contrées. Cette haine du juif (de plus en plus reliée à celle du chrétien) dépasse le simple bon sens… culte de mort, forces d’antivie…

D’où,  et plus que jamais, guerre métaphysique ! La guerre de religion du XXIème siècle sera d’une amplitude inégalée dans l’Histoire. Etrangement, comme si le temps leur était compté, les islamistes sont déterminés à détruire au plus vite la civilisation occidentale, sa culture, ses démocraties, la parité hommes-femmes, les Droits de l’Homme, bref, le courant du progrès tel que nous l’avons conçu. La nuit de notre XXIème siècle et de nos fils subira une guerre sans merci. Des armées s’affronteront, des foules immenses du Tiers-monde islamisé, conjuguées aux 5ème colonnes des élites collaborationnistes et des banlieues métropolitaines s’appliqueront à ravager et détruire… Depuis 30 ans, l’Islam à planifié le programme de cette immense croisade contre l’Occident.

«Si vous voulez des nouvelles, interrogez» ; nous exhorte le prophète en nous relayant un questionnement en rapport avec la dimension spirituelle des évènements qu’il discernait par delà les siècles, évènements en parfaite adéquation casuelle avec le plan divin. En effet, pouvons-nous nous dire, qu’elle crédit donner à une prophétie vieille de 2500 ans pour le moins ? Se place-t-elle dans une perspective de l’Esprit divin ? Est-elle une matrice analytique visionnaire ? Par ailleurs, il s’avère que l’esprit prophétique est en contradiction à nos spéculations intellectuelles, fondées sur la seule observation des dates et des faits.

Néanmoins, les prophéties peuvent révéler l’état de notre foi personnelle, celle des populations, leur degré de déjudaïsation et de déchristianisation. Révèlent-elle la cécité d’un Occident devenu hostile au regard de Dieu ? Selon les Ecritures, il semblerait que les temps de la fin (de notre civilisation ?) se caractériseraient par le déclin de la foi, des valeurs d’éthique, d’équité et du courage des anciens.
“Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables” (2 Timothée 4/3).
Parole à laquelle répond Alexandre Soljenitsyne en 1978): « Il s’avère, malheureusement, que le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest».

extrait de « Guetteur, ou en est la nuit« 

23 mars 2011 Posted by | Politis, Référence | , | Laisser un commentaire

Stratégies de manipulation

Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les média. Nous la reproduisons ici.  Elle détaille l’éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Noam Chomsky

12 janvier 2011 Posted by | Politis | , | Laisser un commentaire

Les idiots utiles? le crocodile islamique les mangera en premier!!!

Qui sont les Occidentaux qui facilitent l’islamisation

Sans le soutien actif des intellectuels occidentaux, des pasteurs, politiciens, artistes, journalistes et auteurs, l’islamisation de l’Europe ne pourrait rencontrer aucun succès.

Les politiciens qui permettent l’islamisation

Jacob Hougaard, employé à la Commission pour l’Intégration à Copenhague, demande sur un ton très sérieux d’accroître la visibilité de l’islam dans les écoles danoises et sur les lieux de travail, et affirme dans une audio : « L’islam doit devenir une composante de la vie publique ».

Il raffine le défi jusqu’à demander que les vacances scolaires coïncident avec les fêtes musulmanes, il demande des toilettes séparées pour les musulmans et exige que les employeurs du secteur privé respectent les cinq prières quotidiennes et la possibilité d’obtenir des repas halal.

Uffe Ellemann-Jensen, ex-ministre danois des Affaires étrangères, appartient lui aussi au parti des « apaiseurs pacifistes » de gauche et il a violemment critiqué la republication des caricatures du 7 février 2006, demandant même la démission du rédacteur en chef du Jyllands-Posten.

[…] Stefan Meller ministre des Affaires étrangères de Pologne fait des courbettes et s’excuse officiellement pour la republication des caricatures par un journal indépendant, dans un geste de soumission rapide et immédiat envers tous les musulmans du monde.

[…] Zbigniew Nosowski, rédacteur en chef du mensuel Wiez, renchérit avec une critique du gouvernement polonais : « Cette publication était une provocation amplifiée par la couverture médiatique. Les provocations des journalistes peuvent être utiles lorsqu’elles dénoncent des faits non détectables par d’autres moyens. La seule information communiquée par les caricatures était … le niveau d’ignorance concernant le fait religieux ».

[…] Erdogan, le Premier ministre turc, co-auteur du Manifeste de son parti, a également sévèrement condamné la publication des caricatures, mais pourtant ces caricatures sont bien peu de choses comparées au Manifeste de son parti politique écrit en 1997, dont il est co-auteur, qui demande la totale annihilation des Juifs. C’est un point de vue correct des choses selon le coran et son contenu antisémite, et c’est islamiquement correct selon les déclarations de Mahomet. Mais cet appel au génocide n’est jamais critiqué par les associations musulmanes, ni par les théologiens de l’islam. […]
Le silence des médias

À ce jour, les médias occidentaux “de qualité” ont gardé le silence sur cette déclaration d’Erdogan – une déclaration qui n’est pourtant pas moins grave que celles d’Hitler et d’Ahmadinejad. Coïncidence ? Jamais de la vie !  Si les rédacteurs avaient été en mesure de dénicher de telles déclarations dans les archives, venant d’un président américain ou israélien, ils auraient certainement fait les manchettes du monde durant des semaines !

L’appel monstrueux d’Erdogan au génocide des Juifs de ce monde ne semble pas valoir la moindre ligne pour la plupart des médias, mais pour Erdogan, cela ne semble également poser aucun problème moral. Par contre, oser une critique de son prophète Mahomet qui a demandé à ses disciples plusieurs fois d’anéantir les Juifs, et qui avait lui-même tué d’innombrables Juifs, cela provoque chez lui un grand trouble. Il est bien connu que les assassinats de non-musulmans sont permis dans l’Islam. Cependant, celui qui évoque cette licence islamique de tuer, celui qui l’appelle par son nom, est considérée par l’islam comme ayant commis une offense impardonnable aux prophètes et la religion. C’est toute l’hypocrisie, et la hiérarchie des principes moraux de cette “religion de paix.”

Aussi, j’accuse la grande majorité des médias de complicité abjecte avec le totalitarisme islamique et avec ses principaux religieux ou politiques, qu’elle soit intentionnelle ou pas.

Les raisons de cette complicité (souvent intentionnelle) sont :

  • Haine envers la société composée de citoyens occidentaux
  • Anti-américanisme
  • Antisémitisme
  • Une ignorance crasse des tenants et aboutissants de l’islam, de ses origines, de son histoire, de ses methodes…

Les journalistes en tant que facilitateurs de l’islamisation

La presse occidentale ne reconnaît aucun tabou : si le sujet est la chrétienté, le pape, les politiciens occidentaux ou non occidentaux, les artistes, les pays, des scientifiques, des idéologies ou des idéologues, des religions ou des sectes. Tout peut être analysé, critiqué, caricaturé – et la liberté de le faire est une bonne chose.

Cependant Hendrik Zörner, porte-parole de l’association des journalistes allemands (Deutscher Journalistenverband -DJV) a lui aussi critiqué avec véhémence la reproduction des caricatures danoises, faisant référence au « Code de la presse », selon lequel : « La publication par le mot et l’image, qui par sa forme et son contenu peut porter atteinte aux sensibilités religieuses d’un groupe de personnes, viole les stipulations écrites dans ce Code.» (Numéro 10 du code allemand de la presse) […]

Régis Debray, dans une interview publiée par le Nouvel Observateur, s’aligne lui aussi sur un scénario international de subjugation à l’islam, et demande ni plus ni moins un autocontrôle par chacun dans la formulation de ses propres opinions en ce qui concerne l’islam, il soutient : « Nous ne pouvons projeter nos formes de pensées et notre système culturel sur une autre culture qui a son histoire et où la religion joue un rôle structurel, comme c’était le cas pour nous il y a trois siècles ». […]

Les écrivains en tant que facilitateurs de l’islamisation

Kurt Tucholsky, écrivain allemand, affirmait en 1919 : « Ce qui est permis dans une satire ? Tout. »

Cependant, un siècle plus tard, un prix Nobel de la paix et de littérature, l’Allemand Günter Grass, a soutenu au sujet des caricatures, qu’il s’agit «d’une provocation consciente et planifiée par un journal danois d’extrême droite ». M. Grass avait auparavant évoqué sa « compréhension » des attentats contre les tours jumelles à New York et s’était reconnu une certaine sympathie envers les terroristes musulmans. […]

Grass va si loin dans son amitié pour l’islamo-fascisme qu’il a proposé, à l’occasion de la candidature de Lübeck en tant que «capitale culturelle de l’Europe», que l’une des églises de Lübeck soit transformée en mosquée. Ce qui serait prêché dans cette mosquée ne semble pas l’intéresser particulièrement. Mais rappelons maintenant la nature des textes coraniques prêchés dans ces mosquées dans le monde entier :

« Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. » (sourate 47.4)
« Tuez les infidèles partout où vous les trouverez. » (sourate 2.187)
« Et s’ils retournaient à l’infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort, partout où vous les trouverez. » (sourate 4.91)
« Ô Croyants ! Ne prenez jamais comme amis ni des Juifs ni des Chrétiens. » (sourate 5.54)
« Ô Croyants ! Combattez les infidèles qui vous avoisinent ; qu’ils vous trouvent toujours sévères à leur égard.» (sourate 9.124) […]

(Note du traducteur : citations du coran de la traduction authentique de Kasimirsky, préface par Mohammed Arkoun ; versets de Médine, donc abrogeants).

Les psychanalystes en tant que facilitateurs de l’islamisation

Horst-Eberhard Richter, très célèbre psychanalyste allemand, chef de file du Mouvement pour la paix et figure de proue des Verts, comme Grass, Richter a vu dans le conflit des caricatures un problème de l’Occident, je cite : « L’Occident doit renoncer à toutes provocations et faire preuve d’humilité, nous devons davantage estimer l’identité culturelle des pays musulmans ». […]

Dans son essai : « Islamophobie – symptôme d’une anxiété pathologique », il pose la question rhétorique ainsi : «L’islamophobie est-elle un symptôme d’anxiété pathologique ? »

[…] Afin de clarifier et d’écarter les doutes, l’un des plus connus et respectés psychanalystes allemands, qui prétend s’opposer à la misogynie et au totalitarisme, considère la critique du théo-fascisme et de la suprématie des mâles de l’islam, comme une maladie… ex-cathedra, pour ainsi dire. Le mot qui tue : « islamophobie » ne peut avoir un autre sens. […]

La gauche en tant que facilitatrice de l’islamisation

[…] Etant donné que les gens de gauche refusent généralement le débat sur l’aspect inhumain et totalitaire de l’islam, ils ont abandonné le champ politique de la critique de l’islam à d’autres, qu’ils diabolisent et accusent d’être « hostiles aux étrangers ».
Cependant, cette stratégie de diabolisation de la droite employée par la gauche est finalement devenue un boomerang idéologique, parce que dans le long terme, la constante association des termes «hostile aux étrangers» et «critique de l’islam», rend maintenant impossible pour la gauche, même dans les cas les plus évidents, de participer activement à la discussion sur l’islam. Dans ce cas, cette accusation d’«hostilité envers les étrangers» peut se refermer sur eux de toute sa force. La gauche bien-pensante se sera mise dans un cercle vicieux duquel elle n’aura pas où s’échapper, et à la fin, c’est l’islam qui sera le véritable vainqueur.

Les convertis en tant que facilitateurs de l’islamisation

Au Danemark, une tendance à la conversion à la «religion de paix» peut aussi être observée. Comme en Allemagne et d’autres pays occidentaux, une grande partie des quelques 4.000 convertis à l’islam danois se sont installés dans la gauche et les partis verts de la politique. Ce fait est clairement observable dans une étude de l’Université de Copenhague.

Selon cette étude, les personnes sondées converties à l’islam sont ouvertement opposées au modèle occidental de démocratie, et désirent que l’islam soit la forme de gouvernance dans leur pays. Ce retournement interne des valeurs de la gauche d’antan par les convertis à l’islam est stupéfiant :

– d’un athéisme “communistement correct”,  à une religion où le moindre doute sur son dieu et son prophète est punissable de mort, et qui veut mettre de force le monde entier sous la bannière d’Allah ;

– de la demande d’égalité entre homme et femme, à une religion de l’apartheid entre les sexes, lorsque, conformément à la loi des manuscrits religieux (Coran et Sunna) l’assujettissement de la femme avec pratiquement aucun droit, est scellé une fois pour toutes ;

-de l’égalité pour toutes les personnes, à l’égalité de toutes les personnes partageant les mêmes idées, les musulmans. En revanche, toutes les autres personnes, selon le Coran, selon Mahomet et selon les agents de la «religion de paix” peuvent être tuées en toute bonne conscience.

[…] On est en droit de se demander si lors de leur conversion à la « religion de paix », ces Occidentaux ont été informés qu’il n’existe pas de retour à leur vie pré islamique, et qu’en cas d’apostasie ils seraient tués, comme l’affirme Mahomet : « Tuez quiconque quitte l’islam ». (Sourate 4.91)
Conclusion : après avoir échoué l’apaisement d’Hitler, les «pacifistes» occidentaux récidivent.

[…] La théorie de l’apaisement est absurde car l’expérience historique montre que les régimes voyous, sans exception, ont dû être vaincus par la force. Ce fut le cas avec Hitler, avec les Khmers Rouges au Cambodge, et avec le régime cannibale d’Idi Amin Dada en Ouganda, qui s’était d’ailleurs converti à l’islam. […]

Non, la seule conclusion correcte suite à la Seconde guerre mondiale doit être : « Plus jamais de tolérance pour l’intolérance. »

[…] Cependant, il faut que les « pacifistes » et les ennemis de la liberté occidentale comprennent bien une chose : le crocodile islamique les mangera les premiers !

Trahison

La faillite collective de l’élite occidentale

[…] Là où la prise de conscience et la défense sont concernées, non seulement les juristes et les politiciens ont misérablement failli à leur tâche, mais pire : par leur passivité envers la menace mortelle que constitue l’islam contre nos pays, ils ont brisé le serment de loyauté envers leurs peuples et que leur fonction et la constitution leur imposent, et qui est, avant toute autre considération, de protéger leurs populations contre ce danger mortel.

Alors que faire ?

Quiconque veut empêcher Eurabia d’advenir, ne peut compter ni sur la justice ni sur la politique, mais doit devenir très actif, selon les suggestions suivantes :

  • Ne jamais voter pour un politicien pro-islam. Annuler tout abonnement à des journaux ou magazines favorables.
  • Les lecteurs doivent envoyer, en masse, des lettres de protestations contre les articles et commentaires qui qualifient les critiques de l’islam de gens dangereux « d’extrême droite », et contre les articles qui nient le fait que l’islamisation de l’Europe est bel et bien en train de se produire.
  • Submerger d’e-mails et de lettres les radios et télés qui produisent des émissions islamophiles.
  • Etablir des avertissements de masse contre les juges qui détournent nos lois et qui favorisent cette immigration massive.
  • Ne plus jamais voter pour des maires et des partis qui se sont engagés dans la construction de mosquées, et largement diffuser les noms des élus complices.
  • Envoyez des lettres de protestations aux mairies, préfectures et partis politiques.
  • Organisez des sit-ins et autres petites ou grandes manifestations partout où cela est possible.
  • Informez les relations et les amis sur l’islam, par des textes d’informations sur la vraie nature de l’islam, et par e-mails.
  • Partagez vos connaissances sur l’islam avec vos amis, clients, relations…
  • Quand vous votez (aux niveaux, local, national ou européen) ne votez que pour ceux qui ont officiellement mentionné le caractère dangereux de l’islam et s’opposent aux menaces.
  • Soutenez et encouragez les politiciens, journalistes, intellectuels, artistes et autres citoyens, assez courageux pour oser critiquer l’islam en acceptant la stigmatisation insultante « d’extrême droite » que les musulmans ou la gauche vont, comme d’habitude, coller sur leur nom.

Tout a été dit, mais une seule vérité est inébranlable : « Celui qui ne combat pas, a déjà perdu la bataille ».

Sources : Gate of Vienna, article original en allemand ici

Traduction d’extraits depuis l’anglais par Capucine pour Bivouac-ID (merci à tnr) et Poste de Veille

3 janvier 2011 Posted by | Politis | , , | 2 commentaires

pour comprendre le troisième totalitarisme

suite de cet article de Poste de Veille

« Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)

l’Islam n’est pas une religion – et surtout pas une “religion de paix» – mais plutôt un totalitarisme avec une revendication absolue à la domination du monde qui s’est camouflé avec succès depuis 1400 sous le déguisement de la  « religion».
01-nazislamisme
Ce qui rend ceci si difficile à comprendre, entre autres choses, est ce gigantesque vide de connaissances de l’islam chez les non-musulmans. Mais également le fait que nous croyons à un modèle de citoyen du monde de bonne volonté et qu’il nous semble impensable que l’islam soit une exception aussi exagérément marquée parmi les grandes religions. Le Bouddhisme, le Christianisme, le Judaïsme, l’Hindouisme et le Taoïsme présentent ici et là des lacunes, cependant ces religions sont tolérantes et pacifiques de façon inhérente. Sans exception, elles enseignent toutes à leurs adeptes que les choses positives accomplies dans cette vie auront des conséquences positives pour la vie future.

L’endoctrinement de l’islam est mortifère et impose de tuer avec sauvagerie les « infidèles ».

L’islam est donc une exception : son but ultime est de capturer tout le pouvoir sur terre, et tous les autres buts sont subordonnés à celui-ci. L’interdiction de tuer ne concerne que les musulmans, mais en aucun cas les « infidèles ». La paix de l’islam sera atteinte seulement lorsque la domination mondiale sera atteinte. […]

Le communisme avait construit une image idéale de l’Homme, où tous les hommes seraient égaux, et ils ont échoué en raison de cette perception irréelle. Par ailleurs, l’islam construit aussi une image irréelle de l’Homme, car il s’imagine que tous les gens finiront par croire en un Dieu – le dieu de l’islam – et cette image ne coïncide pas avec la réalité de l’infinie diversité psychologique, intellectuelle et créative de chaque être humain. L’espèce humaine est infiniment plus diverse, sophistiquée, intelligente, créative, chaotique, et imprévisible que l’image archaïque de l’Homme offerte par les fondateurs analphabètes de l’islam.

Le « Dar al Islam », ce concept musulman du monde futur dans lequel tous seraient soumis à l’islam, n’est rien de plus qu’une utopie irréaliste – et même surréaliste – qui n’adviendra jamais. Cependant, aussi longtemps que les musulmans luttent pour leur futur rêvé et divisent artificiellement le monde entre « Croyants » et « Infidèles », le mot islam restera associé à la guerre, la terreur et la violence. Cette guerre perpétuelle contre les non musulmans, le djihad, est déclarée devoir religieux pour chaque musulman.

Une audio de Khomeiny dit :

« Les Chrétiens et les Juifs disent « Tu ne tueras point » ! Mais nous, nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but.»

Mais il y a plus grave encore: l’islam appâte les tueurs à gages, avec la promesse de l’entrée présumée au paradis où des dizaines de vierges attendent les “djihadistes”, et leur feront goûter aux plaisirs sexuels permanents. Et si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide et le soutien religieux directement du coran.

Le coran dit : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)

En clair : leur dieu islamique, le “Tout Miséricordieux”, non seulement attend de ses fidèles qu’ils tuent les “infidèles”, mais en plus il prend soin de fournir la thérapie nécessaire pour traiter directement avec la situation. Leur dieu veille à ce que la conscience de ses tueurs à gages soit libérée de toute responsabilité personnelle pour leurs meurtres, en prenant cette responsabilité sur lui-même.

On a pu observer chez les génocidaires du siècle passé (Hitler, Staline, Mao, Pol Pot) que « l’Etat » disait : « Ce n’est pas vous qui avez tué, moi, l’Etat, je suis le tueur commanditaire. Vous êtes seulement mon instrument ».

Quand l’Autorité le commande (surtout si l’autorité est un dieu), cela est plus facile de commettre un meurtre.

ecusson hanscharAucune autre religion au monde n’a instauré une culture si perverse du meurtre, aucune autre religion au monde n’enseigne systématiquement à ses adeptes comment tuer les adeptes des autres religions, aucune autre religion au monde considère avec une intention diabolique la non responsabilité des actes commis, ce qui, de fait, immunise les musulmans contre tout sentiment de culpabilité envers les meurtres des innocents, et tout cela est écrit dans leurs « Saintes écritures ». Au point que si Satan existait, alors le nom de sa religion serait l’islam et son prophète serait Mahomet.

[…] Le coran ordonne de tuer et de violer les infidèles dans 206 versets ainsi que la propagation de la foi par l’épée. Dans 1800 autres passages, le prophète Mahomet lui-même ordonne à chaque musulman de se référer aux Hadiths et à la Sunna.

Conclusion : des personnes mauvaises, il en existe dans toutes les religions, mais seul l’islam est capable de transformer une bonne personne, en une personne diabolique.

[…] La notion de liberté religieuse doit être reconsidérée d’urgence. Si les textes sacrés d’une quelconque religion, sa fondation et les déclarations de ses prophètes violent de façon aussi flagrante la Déclaration des droits de l’Homme de l’ONU, comme c’est le cas pour l’islam, alors il faut lui retirer le statut de « religion ».

[…] On ne doit désormais plus permettre que l’islam invalide les systèmes légaux historiques des États comme cela arrive depuis déjà trop longtemps dans la plupart des pays occidentaux. En outre, des lois religieuses ne doivent en aucun cas supplanter les lois constitutionnelles. Nous devons formuler ainsi:

La loi constitutionnelle prévaut sur la loi religieuse ! Il n’y a pas de si, de mais, ni de et.

3 janvier 2011 Posted by | Politis | | Laisser un commentaire

La colère, un concept culturel

Musulmans et Occidentaux : Les différences psychologiques, par Nicolai Sennels

Dans la culture musulmane, la colère est vue de manière très différente et opposée, sous plusieurs aspects, à la manière dont nous la percevons ici, en Occident.

Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Dans la culture occidentale, la colère et la menace sont probablement la manière la plus rapide de perdre la face. Dans une discussion, celui qui se met en colère a automatiquement perdu, et j’imagine que la plupart des gens ont obervé l’impression de honte et la perte de statut social qui font suite à une manifestation d’agressivité au travail ou à la maison. Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Si un musulman (pas une musulmane, car le plus souvent on attend d’elle qu’elle soit humble et ne manifeste pas de pouvoir) ne répond pas à l’insulte ou à la tension sociale par des menaces, il est perçu comme faible, comme quelqu’un sur qui on ne peut pas compter, et il perd la face.

Aux yeux de la plupart des Occidentaux, les comportements menaçants adoptés pour marquer son désaccord sont vus comme immatures et puérils. Selon un proverbe danois, « seuls les petits chiens aboient, les gros n’en ont pas besoin ». Ce proverbe est profondément ancré dans notre psychologie culturelle, c’est l’un des principes de base d’un comportement social civilisé. Pour nous, l’agressivité est un signe manifeste de faiblesse. C’est le signe que la personne ne se contrôle pas et qu’elle est incapable de gérer la situation. Nous percevons la capacité des gens à rester calmes comme traduisant la confiance en soi et permettant d’élaborer un dialogue constructif. La connaissance des faits, le recours au bon sens et la capacité à présenter des arguments valables sont perçus comme des signes de force.

L’expression islamique de « sainte colère » est donc parfaitement contradictoire avec la pensée occidentale. Ces deux mots mis ensemble, nous les percevons comme contradictoires. La menace terroriste et la réaction violente des musulmans à l’affaire des caricatures danoises de Mahomet, montrant leur prophète comme un homme prêt à recourir à la violence pour répandre son message, nous font sourire : la réaction agressive des musulmans à un dessin montrant leur prophète comme agressif confirme absolument la vérité du constat dressé par Kurt Westergaard dans son dessin.

Cette différence culturelle est extrêmement importante quand on a affaire à des régimes ou des organisations islamiques. Notre manière de traiter les désaccords politiques passe par le dialogue diplomatique et appelle les leaders musulmans à user de compassion, de compromis et de bon sens. Cette approche pacifique est perçue par les musulmans comme l’expression d’une faiblesse et d’un manque de courage. Ainsi, éviter le risque d’un vrai combat est perçu par eux comme une faiblesse ; dans la culture musulmane, c’est une invite à l’exploitation.

25 novembre 2010 Posted by | Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

Restons simples, éduquons nos enfants

Les musulmans majoritaires en Europe

Extrait : réponse de Craboi

« Chacun ici propose ou non des solutions à une situation de clivage. Autant rappeler quelques paramètres non contournables : Les Français de souche, comme beaucoup d’ états Européens ont abandonné la religion chrétienne qu’ils avaient au nom d’une « nouvelle religion laïque » dont les principes fluctuants ne protègent nullement les valeurs traditionnelles dont nous nous réclamons aujourd’hui, démunis que nous sommes devant la radicalisation des nouvelles populations arrivées dans nos territoires.
Ce n’est donc pas un affrontement entre deux religions, mais un vide très grave laissé de côté par les dirigeants des pays vieillissants que ces derniers ont jugé mineur devant le problème de la démographie en chute libre depuis le baby boom des années 50.
Comme la nature, les nations ont horreur du vide…Nous ne pouvons lutter pour conserver nos traditions qu’à armes égales, et le manque de religion nous empêche de le faire.
La seule solution qui se profile à l’horizon des proches années est plus proche d’une guerre civile larvée et quotidienne entre ces civilisations si différentes occupant le même territoire.
Contrairement à ce qui est dit au dessus dans certains messages, seule l’éducation de Tous aurait pu faire le lien d’une population intégrée depuis des générations et adepte d’une vie en paix avec une autre, chargée d’une autre culture et d’une religion différente qui, il n’y a pas si longtemps rappelez vous, était pacifiste elle-aussi.
Voyez ce qui se passe sur les territoires occupés par les Israéliens et les Palestiniens, qui n’arrivent pas à une solution sereine pour co-exister. Le clivage est là, les acteurs mondiaux et locaux errent depuis 18 ans dans les méandres d’une éventuelle négociation qui n’en est qu’aux prémices, par la volonté de la possession et l’appât du lucre.

Chaque population a besoin d’un territoire et veut s’imposer aux autres, mais les régions vivables sont trop peu nombreuses par rapport aux millions qui veulent en profiter.
Alors, il nous faut arrêter de creuser notre propre dommage et voir la réalité en face : il est urgent sinon trop tard d’éduquer les enfants pour qu’ils apprennent que l’on peut obtenir bien plus par la raison et la réflexion que par les coups de poing ou les armes, quelles qu’elles soient.
Difficile comme chemin, mais si vous aussi, vous raisonnez, s’il n’y a que celui-là pour vivre en paix, pourquoi chercher ailleurs ?
Qu’elle soit voilée, porte une croix ou autre signe religieux (soi-disant, pour le voile, il n’est inscrit nulle part dans le Coran à qui les intégristes font dire n’importe quoi, comme nos évangélistes de la Bible…) une femme est une femme, son travail est de faire des enfants et de les éduquer dans sa langue de naissance.
Qu’il soit armé ou pacifiste, un homme dont le travail est la virilité est de faire des enfants pour peupler la terre reste un homme.
Les religions monothéistes chrétiennes, islamistes ou juives ont le même dieu. Seuls les hommes le transforment pour appliquer les lois des livres qu’ils inventent pour se l’approprier.
Si les enfants d’aujourd’hui reçoivent une solide culture, lorsque leur tour viendra d’avoir des enfants à éduquer, ils le feront d’autant mieux qu’ils sont éduqués eux-même. C’est la seule alternative pour éviter que les civilisations se déchirent comme elles le font actuellement.

Restons simples, éduquons nos enfants… »
Craboi

20 novembre 2010 Posted by | Politis | Laisser un commentaire

Etre Français cela se mérite

Extrait de blog de Natacha Polony et commentaires de robert Marchenoir du 5/07/2010

« La faute à la famille, à la télévision, à l’école, au chômage ou la mondialisation ? Un peu de tout cela, sans doute. »
Rien de tout cela, à l’évidence.

S’il y a une affaire qui démontre que la faute en incombe uniquement à l’immigration de masse, c’est bien celle-là.

Car ce n’est pas « un jeune homme » qui a été sauvagement massacré. C’est celui qui a été perçu comme le chef d’un groupe de Maghrébins. Comme le montrent les prénoms, cités par la presse, de ceux qui se trouvaient dans le cortège de voitures attaquées.

Et ce ne sont pas « des jeunes gens » qui les ont attaqués. C’est un groupe de Noirs et leurs proches appelés en renfort, comme le montrent les prénoms, Abdoulaye et Hadema, des deux inculpés.

Il s’agit donc d’un affrontement ethnique. D’un meurtre raciste. Où, selon toute vraisemblance, aucun Français de souche, blanc, n’est impliqué, contrairement à la vulgate officielle selon laquelle les problèmes de l’immigration seraient dûs au racisme des Français.

Bien entendu, les autorités et la presse n’en ont rien dit. Cette dernière a assez lourdement insisté sur les prénoms maghrébins des victimes, puisque cela conforte la propagande d’Etat selon laquelle les immigrants arabes seraient des victimes. Nous sommes donc autorisés à savoir que, dans cette affaire, c’est une famille maghrébine qui a subi la loi de la violence raciste.

En revanche, c’est uniquement par déduction que l’on peut savoir que les coupables viennent d’Afrique noire. Les deux prénoms lâchés (malgré les autorités ?) par France-Soir. Le fait que les attaquants ont lancé à leurs victimes : « Vous n’allez pas faire vos Français », en réponse à leur demande de constat. Ce qui exclut, naturellement, qu’il s’agisse de Français de souche. Le fait qu’ils aient appelé leur clan à la rescousse — et chacun sait qu’en banlieue, les clans se constituent sur des bases ethniques. Les autres paroles prononcées (« on va vous tuer devant votre mère », « c’est lui qui a appelé les condés »). L’hyperviolence, la sauvagerie, qui sont familiers à tous les Français de souche qui ont été victimes de telles attaques.

Il est évident que les attaquants ne peuvent être blancs. Vu les prénoms révélés, il est tout aussi évident qu’ils sont, tous, noirs.

Rappelez-vous l’ étonnement du journaliste du Monde quand il a découvert, au jugement des tireurs de Villiers-le Bel, une moitié de l’audience 100 % noire (les inculpés et leurs familles), et une moitié presque entièrement blanche (les policiers attaqués).

Voilà quelque chose que les autorités et les médias avaient soigneusement omis de vous dire au moment des émeutes elles-mêmes, n’est-ce pas ? Mais vient un moment où il n’est plus possible de cacher l’évidence.
Ce meurtre constitue donc un tournant, tout comme l’explosion en vol de l’équipe « de France » de football, ou l’attaque d’un étudiant blanc dans un autobus de nuit par une bande ethnique, révélée aux yeux de tous par la vidéo de sécurité.

Les autorités ne peuvent plus cacher qu’elles ont importé, par millions, des populations qui haïssent la France et les Français, qui rejettent radicalement leurs règles de vie (« vous n’allez pas faire vos Français »), qui ne connaissent qu’une loi, celle du plus fort, imposée par une sauvagerie inouïe.

La télévision, le chômage et l’école n’ont rien à voir là-dedans.

De telles agressions, de tels meurtres, commis contre la population de souche, selon des modes opératoires similaires, sont légion. Ils étaient inconnus avant l’immigration de masse.
On a voulu culpabiliser les Français en leur disant que c’était leur faute, qu’ils étaient racistes.

Ce fait-divers (pour reprendre le vocabulaire minimisant des belles âmes de gauche lorsque ce sont des Blancs qui sont victimes) montre à l’évidence que le racisme n’est pas du côté des Français de souche.

Il montre que le mythe immigrationniste, multiculturaliste, métisseur, vivre-ensembliste, est un crime social, qui ne peut aboutir qu’à la violence généralisée et au chaos.

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Certains voudront, en conséquence arrêter  l’immigration ; à l’inverse une voie plus sage ne serait-elle pas  de mêler responsabilité et ouverture par des mesures de bon sens :

– La naturalisation uniquement pour les gens ayant démontré leur volonté de s’intégrer à la société : apprentissage du français, respect des lois de la République, connaissance de l’histoire de France,  avoir un travail ou une activité pérenne, serment de citoyenneté valant exclusion automatique en cas de délit , ..;  Le tout assorti d’une mise à l’épreuve et d’une possibilité de renvoi au pays sans possibilité de « revenir ».

– Refus de nationalité aux adeptes de corpus doctrinaux niant les valeurs de la république …

– Le retrait de nationalité française aux parasites de la société, et ce même s’ils sont de souche française depuis 10, 20 ou 30 générations.

– La privation de droits civiques aux gens qui sont visiblement incapables de les exercer; comprendre ceux qui sont déjà trop bêtes pour gérer leur vie et comprendre des règles simples de vie en société, on ne va pas en plus les laisser s’ingérer dans la vie politique de leur pays : Créer une citoyenneté à deux niveaux, en fonction des mérites de chacun (sans exclusive de richesse, couleur de peau, sexe, religion, ….)

– La suppression du droit aux aides (RMI/RSA allocs, chômage, accès logements sociaux, etc) pour les j’en-foutre qui bafouent les lois de la République qui les nourrit gracieusement. Ceux qui ont vraiment du mal et cherchent à s’en sortir les méritent, les autres ….doivent d’abord prouver qu’ils sont des humains et non pas des animaux.

– La création d’une peine de service sous le drapeau sous forme de travaux d’intérêt général : discipline ET utilité publique.

– etc…

Etre Français, cela se mérite, …

« C’était surtout l’Islam dont la présence me tourmentait (…). Déjà l’Islam me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre et contradictoire en elle-même : le souci de fonder une tradition s’accompagnait d’un appétit destructeur de toutes les traditions antérieures. (…) » Claude Lévi-Strauss

20 novembre 2010 Posted by | Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire