Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

La fatiha, prière d’exclusion

La Fatiha,
prière répétée cinq fois par jour par les musulmans du monde entier se révèle un élément d’endoctrinement particulièrement pernicieux : elle comporte des messages de haine et de discrimination à l’encontre de membres d’autres communautés religieuses, sert de vecteur de prosélytisme et soutient des projets de conquête territoriale : toutes choses qui compromettent la paix religieuse, l’ordre public et la protection des droits et libertés.
Le texte clair de la prière musulmane de base, consolidé par plus de mille ans d’exégèse, constitue bel et bien une discrimination de groupes de gens fondée sur leur appartenance religieuse.
Quant à la prétention à savoir ce qui se passe dans l’esprit des musulmans lorsqu’ils prient, c’est de l’argumentation de jardin d’enfants. D’abord, c’est impossible – personne ne lit ainsi les pensées d’autrui, sans parler de populations entières. Et ensuite, il suffit qu’une minorité informée et active comprenne le sens évident de ces versets pour que l’incitation en question fasse son effet dans la réalité. Le sort des populations juives et chrétiennes dans les pays à majorité musulmane ces dernières décennies (et auparavant) donne plutôt à penser que le sens discriminatoire de la prière musulmane est très largement compris.
Saida Keller-Messahli, présidente d’un Forum pour un islam progressiste, argumente de la même manière: «Il ne viendrait jamais à l’idée du musulman moyen, parfaitement intégré dans la société, qu’il pourrait discriminer les juifs et les chrétiens avec sa prière. Il suit simplement le texte sans y réfléchir.» Eh bien réfléchissons donc pour lui: s’il répète une chose, quelle qu’elle soit, plus de 6000 fois par an, le risque est tout de même très grand qu’il finisse par comprendre ce qu’il dit. Et si, alors, il ne cesse pas, il se met sciemment hors la loi. Il nous appartient donc de diffuser le plus largement possible le sens évident et consensuel de cette prière. Interdire explicitement cet appel à la haine, sans doute le plus formidable de notre temps, n’est ensuite qu’une formalité.
Si les musulmans sont vraiment si bien intégrés, il ne leur viendra plus à l’idée de réciter une telle prière quand on leur en aura montré la signification officielle et constante depuis l’époque de Mahomet. Non?
C’est simplement absurde. Si l’on veut prévenir le radicalisme ou le jihadisme, il faut intervenir loin en amont de ce qui fait l’actualité, à la racine des choses : là où se forgent les convictions fondamentales qui vont permettre d’organiser des prières de rue, des filières de radicalisation et des projets jihadistes. Et la prière musulmane de base, qui constitue une énorme malédiction (= vouer des milliards de gens à l’enfer éternel), est dès lors une cible toute désignée.
En fait, peut-il seulement exister de bons arguments pour permettre à l’un des principaux groupes mondiaux de population (les musulmans) de continuer à maudire quotidiennement les juifs et les chrétiens ou, selon une exégèse très répandue aussi, le reste de l’humanité?

30 octobre 2020 - Posted by | Religion

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