pour comprendre le troisième totalitarisme
suite de cet article de Poste de Veille
« Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)
l’Islam n’est pas une religion – et surtout pas une “religion de paix» – mais plutôt un totalitarisme avec une revendication absolue à la domination du monde qui s’est camouflé avec succès depuis 1400 sous le déguisement de la « religion».
Ce qui rend ceci si difficile à comprendre, entre autres choses, est ce gigantesque vide de connaissances de l’islam chez les non-musulmans. Mais également le fait que nous croyons à un modèle de citoyen du monde de bonne volonté et qu’il nous semble impensable que l’islam soit une exception aussi exagérément marquée parmi les grandes religions. Le Bouddhisme, le Christianisme, le Judaïsme, l’Hindouisme et le Taoïsme présentent ici et là des lacunes, cependant ces religions sont tolérantes et pacifiques de façon inhérente. Sans exception, elles enseignent toutes à leurs adeptes que les choses positives accomplies dans cette vie auront des conséquences positives pour la vie future.
L’endoctrinement de l’islam est mortifère et impose de tuer avec sauvagerie les « infidèles ».
L’islam est donc une exception : son but ultime est de capturer tout le pouvoir sur terre, et tous les autres buts sont subordonnés à celui-ci. L’interdiction de tuer ne concerne que les musulmans, mais en aucun cas les « infidèles ». La paix de l’islam sera atteinte seulement lorsque la domination mondiale sera atteinte. […]
Le communisme avait construit une image idéale de l’Homme, où tous les hommes seraient égaux, et ils ont échoué en raison de cette perception irréelle. Par ailleurs, l’islam construit aussi une image irréelle de l’Homme, car il s’imagine que tous les gens finiront par croire en un Dieu – le dieu de l’islam – et cette image ne coïncide pas avec la réalité de l’infinie diversité psychologique, intellectuelle et créative de chaque être humain. L’espèce humaine est infiniment plus diverse, sophistiquée, intelligente, créative, chaotique, et imprévisible que l’image archaïque de l’Homme offerte par les fondateurs analphabètes de l’islam.
Le « Dar al Islam », ce concept musulman du monde futur dans lequel tous seraient soumis à l’islam, n’est rien de plus qu’une utopie irréaliste – et même surréaliste – qui n’adviendra jamais. Cependant, aussi longtemps que les musulmans luttent pour leur futur rêvé et divisent artificiellement le monde entre « Croyants » et « Infidèles », le mot islam restera associé à la guerre, la terreur et la violence. Cette guerre perpétuelle contre les non musulmans, le djihad, est déclarée devoir religieux pour chaque musulman.
Une audio de Khomeiny dit :
« Les Chrétiens et les Juifs disent « Tu ne tueras point » ! Mais nous, nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but.»
Mais il y a plus grave encore: l’islam appâte les tueurs à gages, avec la promesse de l’entrée présumée au paradis où des dizaines de vierges attendent les “djihadistes”, et leur feront goûter aux plaisirs sexuels permanents. Et si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide et le soutien religieux directement du coran.
Le coran dit : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)
En clair : leur dieu islamique, le “Tout Miséricordieux”, non seulement attend de ses fidèles qu’ils tuent les “infidèles”, mais en plus il prend soin de fournir la thérapie nécessaire pour traiter directement avec la situation. Leur dieu veille à ce que la conscience de ses tueurs à gages soit libérée de toute responsabilité personnelle pour leurs meurtres, en prenant cette responsabilité sur lui-même.
On a pu observer chez les génocidaires du siècle passé (Hitler, Staline, Mao, Pol Pot) que « l’Etat » disait : « Ce n’est pas vous qui avez tué, moi, l’Etat, je suis le tueur commanditaire. Vous êtes seulement mon instrument ».
Quand l’Autorité le commande (surtout si l’autorité est un dieu), cela est plus facile de commettre un meurtre.
Aucune autre religion au monde n’a instauré une culture si perverse du meurtre, aucune autre religion au monde n’enseigne systématiquement à ses adeptes comment tuer les adeptes des autres religions, aucune autre religion au monde considère avec une intention diabolique la non responsabilité des actes commis, ce qui, de fait, immunise les musulmans contre tout sentiment de culpabilité envers les meurtres des innocents, et tout cela est écrit dans leurs « Saintes écritures ». Au point que si Satan existait, alors le nom de sa religion serait l’islam et son prophète serait Mahomet.
[…] Le coran ordonne de tuer et de violer les infidèles dans 206 versets ainsi que la propagation de la foi par l’épée. Dans 1800 autres passages, le prophète Mahomet lui-même ordonne à chaque musulman de se référer aux Hadiths et à la Sunna.
Conclusion : des personnes mauvaises, il en existe dans toutes les religions, mais seul l’islam est capable de transformer une bonne personne, en une personne diabolique.
[…] La notion de liberté religieuse doit être reconsidérée d’urgence. Si les textes sacrés d’une quelconque religion, sa fondation et les déclarations de ses prophètes violent de façon aussi flagrante la Déclaration des droits de l’Homme de l’ONU, comme c’est le cas pour l’islam, alors il faut lui retirer le statut de « religion ».
[…] On ne doit désormais plus permettre que l’islam invalide les systèmes légaux historiques des États comme cela arrive depuis déjà trop longtemps dans la plupart des pays occidentaux. En outre, des lois religieuses ne doivent en aucun cas supplanter les lois constitutionnelles. Nous devons formuler ainsi:
La loi constitutionnelle prévaut sur la loi religieuse ! Il n’y a pas de si, de mais, ni de et.
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