Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

L’islam a une stratégie de domination de long terme

extrait de Poste de Veille

« Grâce à vos lois démocratiques, nous prendrons le pouvoir. Grâce à nos lois religieuses, nous allons vous gouverner » a dit un imam d’Izmir.

L’islamisation de l’Europe est en plein essor et la majorité des Européens se trouvent impuissants face à cette situation. Ils ne sont informés ni de la véritable nature  de l’islam, ni du contexte des prétentions politiques islamiques sur le territoire de l’Europe.

Les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne. Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée. Je vais vous parler d’une série de documents contenant des informations importantes sur les aspirations expansionnistes des musulmans et de leurs complices appartenant à l’élite occidentale, et ces informations vous permettront de leur opposer une nécessaire résistance.

Partie 1 : Le contexte politique, idéologique et religieux sur lequel s’appuie l’islamisation de l’Europe

Les plans de la gauche pour l’islamisation – et leurs réalisations incessantes jusqu’à maintenant.

Au début des années 1990, les représentants du parti allemand « Bündnis90/Les Verts » (Coalition90/Greenpeace) pour une Europe franco-allemande et l’un de leurs politiciens vedettes, Daniel Cohn-Bendit, annonçait la couleur ainsi :

« Nous, les Verts, devons lutter afin que le maximum d’étrangers viennent s’installer en Allemagne. Quand ils seront en Allemagne nous devrons lutter pour qu’ils obtiennent le droit de vote. Quand cet objectif sera atteint nous aurons alors le nombre suffisant d’électeurs pour changer cette république ».

Jürgen Trittin, le ministre fédéral pour l’Environnement, la Protection de la nature et la Sécurité nucléaire, sous les ordres du chancelier Schröder (1998-2005), puis après octobre 2005, ministre fédéral de la Protection des consommateurs, Alimentation et Agriculture a conservé l’idéologie du Mouvement Pacifiste de 1968 (le fameux « esprit soixante-huitard ») jusqu’à nos jours. Encore maintenant, il est fidèle à son adhésion au mouvement maoïste d’alors, la « Fédération communiste » (Kommunistischen Bund KB, avec leur slogan : « Plus jamais ça,  Allemagne ! »), et à ce sujet il affirme :

« Ce n’est pas la faute de la jeunesse, et je crois qu’il y a davantage de choses pour lesquelles nous devons lutter aujourd’hui… ».

Dans le contexte de cette déclaration, l’opinion de Trittin au sujet des élections démocratiques est intéressante. En effet, Trittin est moins intéressé par une représentation des majorités au Parlement que  par la prise du pouvoir par son parti, grâce aux :

« minorités agissantes et au contrôle de l’opinion ».

Ceci n’est rien d’autre  qu’une stratégie post-communiste pour propager le  dogme léniniste de la dictature du prolétariat, de la  part d’un politicien allemand important. C’est par cela même que les communistes ont justifié les décennies d’oppression de leurs concitoyens par une minorité radicale, arrogante, et surtout complètement fascisante d’extrême gauche. Dès lors, et avec les grands succès obtenus jusqu’à maintenant par la même stratégie du contrôle de l’opinion publique, Trittin a esquissé un plan plus pertinent concernant les relations de pouvoir réel dans les pays européens. Même les analystes des sciences politiques n’ont jamais été capables de parvenir à ce but avec leurs grandes théories. Certes, les pouvoirs parlementaires sont actuellement entre les mains des partis conservateurs européens, cependant, ce contrôle de l’opinion des masses dont parle Trittin, et le pouvoir qui en découle, est entièrement dans les mains des minorités gauchistes parfaitement organisées, (mot-clé : cartel de l’opinion de la gauche fasciste) qui jusqu’à présent ne rencontrent aucune contradiction sur la décision de ce qui est politiquement correct et ne l’est pas, mais nous reviendrons là-dessus.
Des politiciens déchus se cherchent un nouveau peuple,
Ou comment une satire politique se transforme finalement en réalité.

Penchons-nous d’abord sur la tête « pensante » des Verts (Greenpeace), l’Allemand Joschka Fischer, longtemps chef de son parti et ancien ministre allemand des Affaires étrangères. Dans sa jeunesse, ce sympathisant de la RAF (la célèbre Fraction de l’armée rouge, des communistes révolutionnaires) en lutte contre les policiers, militait contre  son propre pays  et détestait le modèle occidental. Il adhérait aux mêmes slogans que son ami et compagnon de route Cohn-Bendit. Fischer affirme : « Je découvre de plus en plus à quel point je suis demeuré un marxiste », et il dévoile les véritables intentions politiques derrière l’immigration massive dans son livre au titre révélateur : Risiko Deutschland (L’Allemagne : Le risque) (1994). Le quotidien Die Weltrésume ainsi  ce livre  :

«L’Allemagne doit être encerclée de l’extérieur, et à l’intérieur, par des flux migratoires, on doit hétérogénéiser [sa population] jusqu’à la diluer.» (Deutschland muss von aussen eingehegt, und innen durch Zustrom heterogenisiert, quasi « verdünnt » werden).

En clair, l’idée d’une fraude électorale de proportions historiques était née et elle   serait mise en œuvre par la suite, insidieusement et facilement mais néanmoins sans aucune hésitation. En 1960, seulement 600 000 musulmans vivaient en Europe, en 2010 ils sont 30 millions, et la plus grande immigration de masse de l’Histoire continue sans ralentir. Chaque année, un million d’immigrés musulmans affluent en Europe. Tout cela s’effectue dans la légalité, par les regroupements familiaux, et les réfugiés politiques qui viennent demander l’asile politique fuyant leurs pays musulmans où les droits humains sont piétinés. Encore et encore, ils reçoivent les mêmes droits que les résidents, sans être obligés d’acquérir les moindres rudiments de la culture, de l’éducation et des compétences professionnelles nécessaires pour s’adapter à une société européenne hi-tech.

Mais ils ne sont pas venus pour s’intégrer dans cette société occidentale, c’est d’ailleurs interdit par leur foi, ainsi que le leur rappellent leurs leaders religieux, très organisés, et qui ont depuis longtemps pris le contrôle des musulmans en Europe. Leur principal objectif politique est de réaliser ce que leur commande leur foi, ce qu’Allah commande : gouverner les Infidèles dans le monde entier. C’est ce qui est écrit dans le coran, c’est cela que leur prophète Mahomet commande aussi. Et c’est également cela que chaque musulman s’efforce de réaliser dans tous les pays européens, indépendamment des partis auxquels ils appartiennent par ailleurs.

Islam_in_UK-2

La domination du monde est le but principal de l’islam

Que ce soit Vural Öger (député allemand du SPD d’origine turque) ou Boumediene (ancien chef de l’Etat algérien) ou Izbetbegovic (ex-Président bosniaque) ou Erbakan (ancien premier ministre turc) … chacun d’entre eux connaissait parfaitement le plan de conquête et employait tout le pouvoir qu’il avait pour l’accomplir.

Seuls les bien-pensants occidentaux et l’élite de gauche refusent avec insistance de reconnaître la volonté islamique de domination du monde, car ils suivent naïvement la devise des bien-pensants et des personnes de bonne volonté qui croient que ce qui est immoral ne peut tout simplement pas exister. Mais il faut le dire à tous ceux qui refusent d’accepter la réalité: les musulmans ne se soucient pas  de ce que les non-musulmans pensent de l’islam. Ce que l’islam implique, ce qu’il signifie vraiment, chaque musulman le comprend parfaitement.  Disons-le clairement, les idéaux occidentaux ou toutes autres valeurs morales, sont considérés [par les musulmans] comme un tas de déchets. Khomeiny l’a formulé sans ambigüité :

« Gouverner le monde est le but de l’islam. »

Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait :

«Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire  légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).»

Même le chef de la police de Cologne – tenu par l’obligation de neutralité liée à sa fonction – a conclu sobrement suite à l’ouverture des frontières et sur la base du taux de natalité élevé des musulmans que l’Etat allemand sera conquis en 2030. Puisque l’islam aspire à la domination du monde, il pourrait y avoir une guerre civile sanglante en Allemagne et en Europe.

Son collègue à Vienne, Alfred Ellinger, président de l’Association des criminologues autrichiens (Vereinigung Österreichischer Kriminalisten), prévoit la même chose. Dans un commentaire sur l’état de l’Europe par rapport à l’islam, il écrit:

«Tout musulman a le devoir de défendre son territoire contre les attaques des infidèles et en même temps de détruire le monde des infidèles de manière à ce que l’Islam domine le monde entier. Le djihad ne prend fin que lorsque toutes les personnes ont soit accepté la foi islamique, ou soit se soumettent à son autorité. La frontière de l’Islam est la frontière du monde».

Tout comme le Turc Metin Kaplan – qu’on appelle ironiquement le “Calife de Cologne”, fondateur du groupe militant musulman  «L’état-caliphat», qui entretient une haine envers les Juifs et Israël. Reconnu demandeur d’asile, il a proclamé dans d’innombrables sermons la création d’une “théocratie islamique allemande” et prophétise la prochaine domination islamique sur le monde. […]
Adolph Hitler qui avait une connaissance minimale de l’islam collaborait avec le Grand Mufti de Jérusalem, dans le but notamment d’établir un camp de la mort pour les Juifs vivant en Palestine. Néanmoins, il était capable de saisir la  portée du désir de domination du monde islamique mieux que la plupart de nos contemporains européens éduqués.

« Si nous étions devenus des mahométans, nous serions, aujourd’hui, les maîtres du monde »

Partout dans le monde, les musulmans œuvrent à la prise du pouvoir, et  ni une soi-disant opinion de la gauche ou des Verts ne pourra  les retenir. Nargess Eskandari-Grünberg, une politicienne musulmane appartenant à la  coalition Bündnis90/Greenpeace a répondu ceci lors d’une assemblée sur l’éducation et l’intégration quand  un citoyen  s’est  plaint du nombre élevé  d’étrangers vivant à Hausen, le quartier de Francfort où il habite:

« L’immigration est un fait à Francfort et si ça ne vous plait pas, vous pouvez déménager ailleurs. »

Cette Nargess Eskandari-Grünberg, née à Téhéran en 1965, a fui son pays en tant que réfugiée politique en 1985, et s’est alors installée en Allemagne.

Comment les politiciens européens, avec l’aide des électeurs musulmans,  prennent des décisions  politiques contre leurs propres peuples

Entretemps, l’influence des musulmans  sur la politique européenne et sur le pouvoir politique est devenue énorme. Souvenez-vous  de Gerhard Schröder (audio de Schröder: “Oui, je suis un marxiste!”), quand il  fut réélu de justesse au poste de chancelier avec une très mince  majorité. Se retrouvant devant la menace d’une possible défaite aux élections, Schröder misa sur le vote turc en promettant que, sous sa direction, l’entrée de la Turquie dans l’UE serait irrévocablement acceptée. Ce message visait les 600.000 immigrants musulmans naturalisés, dont la majorité était d’origine turque. C’est sur eux que Schröder avait placé ses espoirs et son approche fut couronnée de succès. Grâce aux électeurs turcs-allemands lui ayant donné la majorité de leurs voix, Schröder, du parti SPD et les Verts ont été en mesure d’obtenir une majorité avec un avantage de seulement 6.027 voix, juste assez pour être réélu à la Chancellerie et ceci contre la volonté du peuple allemand, car sans les voix des immigrés naturalisés turco-allemands, Gerhard Schröder aurait perdu cette élection avec une marge considérable de plus d’un demi-million de votes.

Imaginez ceci : Que les hommes politiques gouvernent contre la volonté de leur propre peuple.

C’est exactement ce que Cohn-Bendit voulait, et c’est le même plan qui a été mis en œuvre dans toute l’Europe par le puissant cartel de gauche appelant à une “dilution” de l’électorat des Européens de souche, et dont on peut voir maintenant les résultats.

Le changement de groupes de population n’est pas une invention nouvelle. Comme moyen “non-militaire” de solution définitive, ce changement a été réalisé dans des contrées étrangères déjà occupées et le peuple conquis a vu sa population d’origine remplacée au fil du temps par éviction “douce”, lentement,  jusqu’à ce que la population d’origine n’y soit plus. Un bel exemple dans l’histoire récente est le Nord de Chypre. Occupé depuis 1974 par la Turquie, des centaines de milliers de Turcs d’Anatolie y ont été transférés. Le résultat aujourd’hui est que le rapport entre les Chypriotes grecs et turcs a radicalement changé en faveur de la minorité provenant de la Turquie.

Un autre exemple, celui du Tibet : cette immense  région autonome de 1,2 millions de kilomètres carrés (l’Allemagne en comparaison est de seulement  350.000 kilomètres carrés) est passée sous l’occupation chinoise dans les années 1950. Depuis lors, la Chine a veillé à ce que des millions de Chinois s’installent au Tibet, de sorte que dans l’intervalle, les Tibétains sont devenus minoritaires dans leur propre pays. Dans ces deux cas, la redistribution des groupes de population a été guidée par l’autorité de la puissance occupante, et le résultat est logiquement à l’avantage du groupe ethnique de cette puissance occupante.

L’Europe, par contre, n’est pas occupée par une puissance extérieure, mais malgré cela, le continent se trouve dans les affres de l’un des plus grands bouleversements démographiques de son histoire par le biais de l’arrivée de nouveaux groupes ethniques, musulmans pour la plupart, qui arrivent à remplacer progressivement les Européens de souche. L’originalité est que ce bouleversement a été orchestré par ses propres politiciens européens et a été programmé de longue date, tout en allant à l’encontre des intérêts et des besoins des Européens de souche.

Non seulement ces politiciens n’ont pas demandé la permission à leurs électeurs sur cette question, mais en plus ils n’ont pas voulu réagir aux protestations croissantes de la population européenne, parce qu’une telle immigration de masse a conduit au fait que l’Europe telle que les Européens l’ont connue jadis, est de moins en moins reconnaissable.

Dans de nombreux endroits, les Européens sont devenus des étrangers dans leur propre pays, et dès le début, ils n’ont pas voulu de cette immigration massive. Cette politique d’immigration porte en elle tous les signes d’un concept totalitaire de gouvernance de la part de l’élite politique de l’Europe, et nous rappelle les mouvements de population géants dans l’Union soviétique et la Chine communiste sous Staline et Mao. Ces changements étaient décidés par un minuscule cercle politique, et réalisés sans la moindre consultation des peuples indigènes concernés.

En bref : l’extrême gauche et les Verts en Europe qui sévissent dans certains secteurs clés, tels que l’élargissement de la communauté européenne, l’immigration, la nationalité et les médias, ont agi comme agiraient des forces d’occupation étrangère. Cependant, vu que ceux qui portent l’entière responsabilité de cette immigration de masse ont été incapables de convaincre leurs électeurs européens du bien-fondé de leur idéologie politique, ils ont entrepris d’organiser l’occupation de leurs pays par des hordes de gens parlant des langues étrangères, avec une religion et une culture étrangères. Et leur intention demeure de « diluer » les Européens afin de leur retirer, progressivement, tout pouvoir.

Tout ceci n’est en réalité qu’une forme nouvelle de « purification ethnique ». En outre, on distingue certains signes pervers : il n’y a pas de forces d’occupation extérieures, mais plutôt une petite minorité très déterminée, interne aux populations indigènes européennes, et cette minorité au pouvoir peut d’ores et déjà, mais surtout à long terme, remplacer sa propre population par une autre qui lui promettrait un plus fort soutien dans ses objectifs politiques.

Le grand plan de la gauche et des Verts produit d’ores et déjà les résultats escomptés : à Bruxelles, à Milan ou à Oslo, le prénom Mohammed est désormais le plus commun donné aux nouveaux nés. En Angleterre le prénom le plus courant était Jack, c’est dorénavant Mohammed. En Hollande, en 2004, 56 pour cent des enfants et des jeunes dans les grandes villes sont des étrangers, la plupart sont musulmans.

En Suisse, les projections statistiques pour 2040 indiquent que la population sera à 76 pour cent musulmane, dans l’hypothèse où la politique migratoire de ce pays alpin ne serait pas inversée. Selon une étude autrichienne, en 2051, le tiers des élèves autrichiens sera musulman. Une étude des Archives islamistes de Soest (2006) concernant les développements de la population allemande prévoit qu’en 2045, il y aura en Allemagne 51.72 millions de musulmans et seulement 45 millions d’Allemands de souche. Ces chiffres sont déjà soigneusement évalués par les autorités musulmanes en ce qui concerne  leur prise de pouvoir dans ce pays le plus important d’Europe.

et pour finir cette aveu d’Azouz BEGAG  ministre UMP de « la promotion de l’égalité des chances » paru dans « Respect Magazine » n°8 octobre-décembre 2005 pages 14,15 et 16

« Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes, là-bas, les descendants de Vercingétorix… Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être comme une invasion de criquets… Partout, de manière à ce qu’on ne puisse plus revenir en arrière. ».

29 mars 2011 - Posted by | Politis | ,

Aucun commentaire pour l’instant.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :