Les dits de la Huppe

echos des sept vallées

Les enfants des autres

« France de ton malheur , tu es cause en partie,
Je t’en ai par mes vers , mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi , quand tu es au danger,
Car la plus grande part , des étrangers obtiennent
Les biens qui à tes fils , justement appartiennent.

Pierre de Ronsard (1524 -1585) Elégies »

la huppe_bw
La France s’était appauvrie dans ses colonies, Daniel LEFEUVRE, alors professeur à l’université de Paris VIII, démontra dans un livre fondateur que l’Algérie fut un insupportable fardeau pour la France et que, loin de l’avoir pillée, la France s’y ruina.
Une telle remise en cause de la doxa marxisto-tiers-mondiste venant d’un ancien communiste provoqua un véritable déchaînement de haine chez les « bien-pensants ».
La thèse de Daniel LEFEUVRE renversait les dogmes et les idées-recues. Que l’on en juge : en 1959, toutes dépenses confondues, la « Chère Algérie » engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !
En soulageant les misères des populations algériennes et en faisant reculer la mortalité infantile la France avait créé les conditions d’une catastrophe qu’elle s’était elle-même condamnée à gérer.
et aujourd’hui les masses ignares et violentes qui en sont issues envahissent la France…

Comment la France s’est ruinée
http://bernardlugan.blogspot.fr/2013/11/comment-la-france-sest-ruinee-en.html

8 novembre 2013 Publié par : | Art, Histoire, Pépiements, Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

Le temps des mille ans

« Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée » (XXe chant de l’Apocalypse)

apocalypse annonçé par l'esprit-saint / Oiseau
Printemps 1491. Après sept siècles de luttes contre l’occupant Musulman, la « Reconquista » sous la conduite des rois catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, est sur le point d’aboutir. Le 26 avril commence le siège final de Grenade, seule province espagnole encore aux mains des Maures commandés par le Sultan Boabdil. Les réserves de nourriture s’épuisant et le moral de ses hommes étant au plus bas, Boabdil, comprenant que la fin était proche, négocia, dans le souci de conserver sa vie, celle de sa famille et de sa cour, les 1 et 2 janvier 1492 sa reddition qui prévoyait un départ en exil vers l’Afrique du Nord.
Le 2 janvier au matin, les Espagnols avec à leur tête les Rois catholiques, entraient sans combattre dans Grenade. Aussitôt, la bannière de Castille et la Croix chrétienne furent hissées sur la forteresse de l’Alhambra, bijou architectural maure.
Dans le même temps, arrivé avec sa troupe sur les hauteurs d’un col surplombant Grenade d’où l’Alhambra se dessinait majestueusement, Boabdil, dans un instant de dépressive mélancolie se mit à pleurer. Le surprenant en larmes, sa mère Aïcha El Horra, s’exclama sur un ton de reproches : « Llora como mujer lo que no supiste guardar y defender como un hombre ». (Pleure comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme). Depuis lors, on appelle ce col « El Suspiro del Moro », « Le Soupir du Maure ». Ce moment historique est particulièrement bien relaté par Chateaubriand dans sa nouvelle « Les aventures du dernier Abencerage».
Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque
Pourquoi cette anecdote historique ? Parce qu’elle préfigure parfaitement ce qui pourrait advenir de semblable, demain, des Nations européennes (particulièrement la France) si elles persistaient dans leur entreprise d’asservissement et d’autodestruction. Souvenons-nous à cet effet de cette prédiction que Larbi ben M’Hidi, redoutable terroriste du FLN, avait lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».
Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent ! »
Aujourd’hui, l’histoire se répète, sauf que cette fois c’est le monde occidental qui est en passe d’être confronté à une défaite dans le déshonneur total, comme celle que l’on doit à la trahison de gouvernants veules, de chefs de partis aveuglés par de maigres illusions qui s’entredéchirent pour une meilleure place à la mangeoire, de dirigeants qui exfiltrent des centaines de milliers d’euros vers leur compte de « là-bas » en prévision du grand séisme qu’ils vont eux-mêmes provoquer, d’une pseudo élite qui s’aplatit devant des rustres pour de piètres privilèges avec, en prime, la corruption politique, le mépris du gouvernement pour le peuple, l’arrogance des oligarques… tous vivant dans une impudique sérénité se riant du blâme lancé, jadis, par Châteaubriant : « Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent ! »
Comme, hier en Algérie, la tactique dite du « salami » est, aujourd’hui, utilisée (notamment en France) et il se trouve toujours des responsables politiques de tous bords, des usuriers à l’affut du gain ou simplement des opportunistes du « show biz » pour faire digérer chaque tranche à une opinion publique assoupie depuis des lustres. « Ce peuple que tu as trahi, il oubliera jusqu’à ton nom » écrivait le poète Arnulf Overland… sauf que, ces gens là seront, à leur tour, défenestrés et l’Histoire traînera leurs noms dans la fange. Mais ce sera une piètre consolation pour un peuple enchaîné. Jamais la prophétie de Lénine n’a été aussi véridique et sur le point de se réaliser : « L’Occident nous vendra la corde pour le pendre ».
Peuple indifférent à son propre sort
Le plus triste cependant, c’est de voir ce peuple indifférent à son propre sort, qui regarde mourir sa nation. « L’Europe s’aperçoit en frémissant que par sa sombre indifférence une puissance destructrice a fait irruption chez elle, puissance qui paralysera ses forces pendant des siècles » vitupérait Stephan Zweig.

moutons-neige
Et dans ce terrifiant augure, très peu discernent l’imminence de l’inéluctable naufrage. La majorité silencieuse se contente de vivoter, de courir après de pathétiques leurres, lorsqu’elle ne s’enferme pas dans de ridicules tours d’ivoire qui s’écrouleront au premier coup de massue.

baleine de laisser-aller
Et Jean Raspail de dénoncer ce comportement en ces termes : « Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé ».
Et c’est ainsi que nous regardons, impuissants, notre monde s’effriter par pans entiers jusqu’au jour où, poussés sans combattre vers l’exil mais ne sachant où aller, nous connaîtrons à notre tour la dépressive nostalgie de Boabdil et laisserons nos larmes couler sur ce qui fut, jadis, notre raison de vivre.
Alors, la juste sentence de Aïcha, s’appliquera dans son implacable rigueur : « Pleure comme une femme ce royaume que tu n’as pas su défendre comme un homme ! »

© José Castano

7 novembre 2013 Publié par : | Histoire, Politis | | Laisser un commentaire

Communiquer : la guerre de tous contre tous

Il semble qu’il y ait deux fondements bien distincts à toute intention de communiquer.
L’un croit qu’une vérité existe. L’autre croit qu’il n’existe pas une seule vérité.
Dans le premier cas, celle ou celui qui discute va souhaiter soit recevoir, soit transmettre la vérité, soit discuter pour l’établir ensemble. S’il n’y a pas accord, alors il y a création d’une guerre pour avoir raison : déterminer qui détient la fameuse vérité.
Cette guerre est la guerre de tous contre tous…

Dans le deuxième cas, il n’y a aucune vérité à recevoir ou transmettre ou établir, seul ou ensemble, par définition. Soit la communication n’a alors aucun intérêt, soit l’intérêt de la communication n’est que de, alternativement, exprimer son point de vue et puis écouter celui de l’autre. Personne n’a tort, personne n’a raison. C’est un échange sans dualité, avec respect des différences de chacun à percevoir et à émettre. De nombreuses approches de conscience ont validé que ces différences sont très nombreuses et créent quasiment un point de vue unique à chaque humain et une sémantique unique à chaque humain.

bug

  • Celle ou celui qui veut avoir raison évite ou contourne les questions lorsqu’elle/il n’a pas d’argument pour défendre sa vérité.
  • Celle ou celui qui veut avoir raison change fréquemment de sujet, surtout après une réponse à une de ses questions, s’il/elle n’a rien à répondre en retour pour défendre sa vérité. Il est difficile ou impossible de suivre un fil de conversation avec lui/elle. Son but est de dévaloriser, d’attaquer et dès qu’un axe ne permet pas de détruire, il/elle change d’axe.
  • Celle ou celui qui veut avoir raison utilise souvent une rhétorique « ad hominem ». Ceci permet de continuer à défendre sa vérité, sans argumentaire, mais en attaquant directement son interlocuteur, souvent sur un autre sujet, parfois même, dans une autre discussion où l’interlocuteur est poursuivi (la guerre doit être gagnée pour soulager l’égo).
  • Celle ou celui qui veut avoir raison évoque directement ou indirectement UNE seule voie absolue, UNE seule vérité absolue. Il utilise souvent des concepts duels (bien/mal, bon/mauvais, positif/négatif, vrai/faux, juste/injuste, correct/incorrect, …)
  • Celle ou celui qui veut avoir raison utilise à grande fréquence une modalité d’expression impérative (« il faut que », « on doit », « tu dois », temps impératif), avec des formes passives, des généralités et des nominalisations (fait de prêter des intentions humaines à des concepts. Ex: La France impose tel devoir !). Globalement, il s’agit de ne pas prendre la responsabilité d’une demande ou d’une affirmation, mais faire comme si c’était LA seule façon de faire. Ca n’est pas lui/elle qui a l’opinion, juste il/elle exprime la vérité, l’évidence indéniable.
  • Celle ou celui qui veut avoir raison fait fréquemment usage d’amalgames, ce qui lui permet de passer d’un sujet à l’autre.
  • Celle ou celui qui veut avoir raison interprète systématiquement que l’autre veut avoir raison puisque c’est son propre fonctionnement et le seul qu’il/elle connait. Egalement, sa propension aux amalgames lui fait louper toutes les éventuelles nuances exprimées par son interlocuteur. Et bien, entendu, il/elle est persuadé/e d’avoir raison sur le fait que l’autre veut avoir raison, et qu’il a tort.

4 novembre 2013 Publié par : | Politis | , , | Un commentaire

Une révolution eschatologique

« L’islam démontre depuis sa naissance (632)  une haine viscérale, innée, puis une peur mystique congénitale, réactivée par la renaissance d’Israël en 1948. L’existence d’Israël au XXIème siècle risque de mettre en question la croissance de l’Oumma, édifiée par manigances et guérillas de conquêtes, entrecoupées de longues périodes d’attentisme patient. Jusqu’alors sans péril ni alarme, voici que l’islam du XXème siècle se trouve confronté à une menace existentielle inattendue : la critique scientifique et historique de ses sources, le dévoilement des inexactitudes de son exégèse et l’adjuration de ses dogmes meurtriers engendrant un terrorisme aveugle irrecevable.

D’autre part, la peur d’apostasier et de contrevenir aux absolus du jihad dans lequel les fidèles doivent bon gré, mal gré s’engager ; les découvertes d’historiens islamologues honnêtes sur les falsifications coraniques (plusieurs fois réaménagés aux deux premiers siècles), les contre-vérités historiques, les fabulations rajoutées, les plagiats bibliques, l’inversion des valeurs humanistes et enfin, l’astucieuse  musulmanisation des prophètes hébreux de la Thora, de Jésus le juif, de sa parenté et de ses disciples, tous juifs. Ce nouvel éclairage et ses remises en question dorénavant possibles amènent leurs fidèles à refuser tout aggiornamento et à éprouver divers effets nocifs d’une sorte de schizophrénie collective à caractère religieux.

Pour les judéo-chrétiens du 1er siècle, le jugement des nations était prophétisé en prévision d’une époque semblable à la nôtre, impliquant une guerre mystique totalitaire, des pays entiers criblés de foyers insurrectionnels, d’anarchie généralisée, de terrorisme aveugle, d’effondrement monétaire et économique, d’accélération de catastrophes naturelles, tremblements de terre, éruptions volcaniques, dislocations des fonds sous-marins, pénuries énergétiques et céréalières provoquant des famines effrayantes et des maladies inconnues qui ravageront des peuples entiers.

Matthieu, un des rédacteurs hébreux évangélique écrivit la réponse de Jésus à la question qui lui fut posée sur la fin des temps :

«Prenez garde que personne ne vous séduisent, car plusieurs viendront sous mon nom, disant : c’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres : gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tous cela ne sera que le commencement des douleurs. Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Et parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévèrera jusqu’à la fin sera sauvé. Matth 24 : 2-13

Vierge en gloire

Vierge en gloire

Maintenu dans une cécité-surdité-mutité, un très grand nombre de citoyens occidentaux méconnaissent les enjeux d’ordre géopolitiques et métaphysiques. Méthodiquement endoctrinés sur ce qu’ils perçoivent des mobiles des nations antagonistes, éperdument déboussolées par une pensée unique pernicieuse, s’empresseront d’agréer à l’inique désappropriation de la terre ancestrale des juifs, de leur capitale bien-aimée, réunifiée, épicentre de leur vie spirituelle et prunelle de l’Eternel. Par méconnaissance, ils semblent tout à fait inconscients des conséquences que cette animosité de propagandes intenses, représentera pour leur propre vie. Quant aux autorités dirigeantes, ayant dédaigné les textes thoraciques et bibliques, ils ignorent tout des avertissements du prophète Zacharie qui prédisait à quel point la colère de Dieu allait s’abattre sur les nations qui monteront contre Jérusalem. «Jérusalem sera foulée aux pieds des nations, jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli. Sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire au bruit de la mer et des flots car les puissances des cieux seront ébranlées».

Pour clore cette réflexion générale qui certes dramatise l’état du monde, je dirais qu’il y a une issue de secours. Que vous soyez musulman, israélite, judéo-chrétien ou croyant en d’autres religions, étant personnellement convaincu de la bonté et de la justice de l’Eternel dont le nom immémorial est JE SUIS, je vous adresse les paroles du poème d’un berger qui devint roi : «Dieu est pour nous un abri, une force, un appui dans les tourments, facilement accessible. Aussi, ne craignons rien, dût la terre bouger de sa place, et les montagnes s’abîmer au sein de l’Océan ; dussent ses flots gronder et bouillonner, et les montagnes trembler quand il entre en fureur ! L’Eternel Cebaot est avec nous, le Dieu de Jacob est une citadelle pour nous ». Ps46 :2-3 / 8

Quant aux agnostiques sourcilleux et vigilants, aux humanistes affectés de voir tant de détresses humaines et aux personnes foncièrement athées, osez en votre for intérieur vous adresser à «l’hypothèse» qui se nomme JE SUIS, tels que : «Puisque vous dites ETRE, veuillez éclairer mon entendement sur l’irrationalité qui sous-tend la réalité, le sens de ma vie, et les événements qui défraient ce monde qui se délite sous mes yeux». »

merci HELIOS

25 juillet 2013 Publié par : | Histoire, Politis, Religion | | Laisser un commentaire

Les fourriers de l’apocalypse

Je perçois fortement le sentiment de désespérance et de déliquescence que la « djeun » génération éprouve, mais il est pour moi stupéfiant que ceux-ci fassent confiance en cela (et ceux là) même qui les ont mené au gouffre.

Il règne en France ( médias, justice, …) la dictature d’une pensée molle et se disant bien pensante où l’on favorise l’avantage égoïste, le je men-foutisme, l’irréalité de l’enfant gâté… la volonté d’appropriation de ressources non encore gagnées et volées au futur
.
Un droit appelle un devoir, une aide appelle un effort, …
la vie est bataille pour se surpasser soi même 
Les vendeurs d’illusion ont gouverné la france depuis 1968 et vous ont vendu leur irréalisme à votre propre détriment.

L’école sert à deux choses :
  • à former des individus citoyens, élevant ainsi le niveau collectif de conscience ; ce tronc commun doit être gratuit, accessible à tous, obligatoire, éventuellement public ou régulé par le public (à minima inspecteurs publics, mais pas forcément instituteurs). Il diffuse la connaissance abstraite, base de la culture que chacun peut être amené à développer/poursuivre en autodidacte, et qui constitue une culture collective, base d’une civilisation
  • à apprendre des tours de mains, méthodes, processus qui serviront dans les métiers : ce tronc devrait être laissé aux acteurs économiques, industries, …qui sont mieux à même de coller aux réalités du monde économique loin des gabegies illusionnistes de nos gourous de l’éducation nationale. Ces apprentissages constituent des connaissances appliquées, champ dans lequel la sélection est le seul gage de succès.
Il est illusoire (seul les se-disant « forces de progrès » illusionnistes pensent l’inverse) de croire que chaque être a les mêmes capacités; il a les mêmes droits, oui, mais pas les mêmes capacités…donc il est illusoire de promettre le baccalauréat à tout une classe d’age, car cela le dévalorise instantanément et reporte la sélection de l’employeur à des niveaux postérieurs.
Mon père a obtenu le baccalauréat vers 1930/35, 1 à 2% de sa classe d’age l’obtenait. 
J’ai obtenu mon baccalauréat en 1970 (non pas en 1968, j’en vois sourire là…) et environ 30/35 % de ma classe d’age l’obtenait. 
Aujourd’hui 80/90 % d’une classe d’age l’obtient (tout du moins c’est l’objectif) et il est tellement dévalorisé qu’il ne vaut pas le certificat d’études d’antan. 
Abolir la sélection entraine inéluctablement la dévalorisation. 

Donc oui il faut rétablir la sélection pour protéger les jeunes eux mêmes qui hurlent à sa disparition, les protéger d’eux mêmes, de leur non expérience du monde. 
Cela nous évitera peut-être de nous voir affublé de milliers d’agrégés en matières improbables, de fonctionnaires aux fausses connaissances, au final d’hommes à qui l’on enlèvera leur dignité en les assujettissant par des « droits acquis » à préserver…et qui finiront chômeurs chroniques alors qu’on importera des travailleurs qui accepteront de faire les métiers disponibles. 

Récemment on a retrouvé quelques milliers de copies de certificat d’études des années 1920-25 : on a donc refait plancher quelques milliers d’élèves d’aujourd’hui, dans les mêmes conditions sur les mêmes sujets de certificat d’études, et le résultat a été catastrophique (environ trois fois moins) 

Or dans l’histoire de l’humanité, la barbarie revient toujours quand le citoyen n’est plus capable de discerner le réel, l’authentique de l’illusion…
Une vrai protection collective est une reconnaissance des plus doués de leurs qualités, assorti du sentiment d’être redevable encore plus à la collectivité : 
qui a plus reçu, est plus responsable et doit redonner plus : or il semble que nous soyons arrivé à l’age de l’égoïsme institutionnalisé, où plus tu as, plus tu veux, quitte à détruire autrui et la planète
Je pleure de voir que ceux la même qui nous promettaient libération n’étaient en fait que des pervers encore plus avides que nos ennemis officiels.
 Les plus à craindre sont ceux qui vous brossent dans le sens du poil : puissiez vous vous en apercevoir en écoutant l’expérience d’autrui…
la France en est là suite aux idées mises en œuvre depuis quarante ans.

15 juillet 2013 Publié par : | Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

L’amnésie des nations

Israël, Jérusalem, les territoires occupés, et l’amnésie des nations
Par Roland Dajoux,

« Les vérités que l’on tait deviennent vénéneuses. »  Nietzsche

Soixante cinq ans après sa renaissance, l’Etat d’Israël n’a toujours pas de frontières reconnues officiellement, Jérusalem, sa capitale historique lui est contestée, et la Judée et la Samarie, deux provinces à consonances hébraïques évidentes sont considérés comme des « territoires occupés » par …Israël ! Aurait-on oublié que le Royaume d’Israël existait bien avant l’apparition de la première église ou de la première mosquée sur cette terre, et que de multiples conquérants, tels que les Assyriens, les Perses, les Romains, les Croisés, les Arabes et les Turcs martyrisèrent et chassèrent les Juifs de leur royaume ?
Depuis quelques dizaines d’années, de très nombreux pays ont déclaré leur indépendance et choisi leur capitale. L’Algérie, la Tunisie, le Maroc et tous les jeunes pays africains ont-ils eu besoin d’une autorisation pour décider du lieu et du nom de leur capitale dans la langue de leur choix ? Ils ont fixé leurs frontières sans soulever de contestations ou de menaces incessantes des Nations.
Alors, pourquoi, Israël reste-t-il l’exception depuis son retour sur sa terre ?
Pourquoi continue-t-il à être exposé à la vindicte du monde ?
Pourquoi la Terre d’Israël devrait-elle être « la terre de deux Peuples » alors que de nombreux pays demeurent souverains malgré l’existence, en leur sein, de minorités ethniques ou religieuses ?
Pourquoi Israël est-il perçu uniquement comme un agresseur, un briseur de paix, alors que les Palestiniens sont présentés uniquement comme des victimes ?

Rome est universellement reconnue comme la ville sacrée des Chrétiens et la Mecque comme celle des Musulmans, pourquoi refuserait-on à Jérusalem, trois fois millénaires, d’être la ville sacrée des Juifs ?
Pourquoi le monde peine-t-il à reconnaitre la vérité, l’Etat d’Israël a ouvert les lieux de cultes de toutes les religions, contrairement aux ségrégations pratiquées par les nombreux conquérants qui se sont succédés sur notre terre ?
Au nom de quoi ou de qui, Israël serait-il interdit d’exprimer sa spécificité et sa souveraineté ?
S’agirait-il d’une forme nouvelle et perfide de spoliation des biens Juifs ?
L’histoire explique l’actualité, aussi, est-il venu le temps pour Israël, de dénoncer avec la plus grande vigueur l’imposture et la duplicité de certaines nations. Il faut leur rappeler la longue liste des civilisations et des peuples qui ont voulu s’approprier notre terre.
Au 19ème siècle, la France, l’Espagne, le Portugal, la Belgique, la Hollande, l’Allemagne et la Grande Bretagne ont colonisé des pays qui leur étaient étrangers, géographiquement, historiquement et culturellement. Israël n’est pas un pays colonisateur, il ne revendique que le territoire qu’il lui appartient.

 Survol historique des multiples conquérants de la Terre d’Israël

  • On invoque très souvent la notion d’antériorité pour justifier la thèse palestinienne. C’est pourtant la plus mauvaise des argumentations car, faut-il le rappeler aux amnésiques de l’Histoire, Jérusalem fut fondé il y 3 000 ans par le roi David et donc bien avant l’apparition des Palestiniens, cette entité toute récente.
  • La Bible hébraïque relate l’achat de Jérusalem par le roi David, une enclave cananéenne qu’il avait pourtant gagné par la guerre. Après avoir avait régné sept ans à Hébron, David voulait que Jérusalem soit la capitale de tout le Peuple d’Israël, aussi demanda-t-il a toutes les Tribus d’Israël de participer financièrement, à hauteur de cinq sicles. Cet achat est un acte fondateur, hautement significatif, car à cet endroit se trouve la Pierre du Fondement du monde et le mont Moriah, le lieu de la ligature d’Isaac et de la lutte victorieuse de Jacob contre l’Ange d’Esaü. Le roi David entendait ainsi renouer avec la Création du monde et l’histoire des Patriarches hébreux. Il est remarquable de constater que la Bible hébraïque habituellement concise, relate avec détails les transactions commerciales pour l’achat de deux autres territoires : Hébron et Schrem, comme pour répondre à l’avance, aux contestations ultérieures sur l’appartenance à Israël de ces trois villes. Même si « la Bible n’est pas un cadastre » comme le disent certains de nos détracteurs, l’antériorité historique d’Israël est flagrante.
  • Le roi Salomon construira le premier Temple sur le mont Moriah et fera de Jérusalem sa capitale. Hélas, après sa mort, un schisme se produit, entrainant la division du royaume en deux, le royaume d’Israël au nord et le royaume de Juda au sud.
  • En 586 avant notre ère, Nabuchodonosor va conquérir Jérusalem, et détruire le Temple de Salomon. Il s’empare de ses richesses et exile les Juifs en Babylonie. L’exil, la spoliation des biens juifs et la colonisation de leur terre seront malheureusement, depuis cette époque, une constante dans l’Histoire.
  • Mais au grand dam des Nations, l’histoire d’Israël ne s’arrêtera pas pour autant. Cyrus le Grand autorisera la reconstruction du Temple, mais une partie seulement des exilés de Babylone retournera de captivité, car certains Juifs qui se considéraient comme l’élite ont préféré rester en exil (Galout en hébreu), s’excluant ainsi de la saga de leur peuple. S’agirait-il d’un signe prémonitoire pour les Juifs qui encore aujourd’hui demeurent en exil et n’ont pas compris l’importance du retour, de la Géoula, de la délivrance ?
  • Plus tard, ce sont les Romains qui déposséderont Israël de son territoire. Ils abolissent le Royaume de Judée en 135 et créent le nom de « Palestine ». Ce nom évoque les Philistins, ces envahisseurs étrangers venus par la mer et ennemis héréditaires des Hébreux. Jérusalem sera détruite par Titus, et l’Empereur Adrien débaptisera Jérusalem pour l’affubler du nom d’Aelia Capitolina, qui deviendra une ville interdite aux Juifs pendant deux siècles.
  • Lorsque l’Empereur romain Constantin se converti au Christianisme, il choisi Constantinople pour capitale, et c’est grâce à la bienveillante influence de sa mère Hélène qu’il redonnera son nom à Jérusalem. Quant à l’impératrice Eudoxie, elle permettra aux Juifs de vivre à nouveau à Jérusalem en 438.
  • En 611, c’est au tour de l’Empire Perse d’envahir la Palestine et de conquérir Jérusalem, qui sera reprise à nouveau par les Byzantins sous Héraclius.
  • Avec la naissance de l’Islam, les Califes successeurs de Muhammad vont conquérir les territoires de deux Empires Perses et Byzantins. De 632 à 666, le Califat de Médine colonisera de façon fulgurante et par la force du jihad, d’immenses territoires allant à l’est, jusqu’à l’Atlantique et à l’ouest jusqu’à l’Asie.
  • Le premier calife, Abu Bakr (632-634), a complété la conquête de la péninsule arabique, mais c’est avec le calife U’mar (634-644) que débutèrent les conquêtes de l’islam en dehors de l’Arabie. En 638, Jérusalem passera une fois de plus sous un contrôle étranger, celui des musulmans cette fois-ci.
  • La première croisade aboutit à la prise de Jérusalem le 15 juillet 1099 et la ville fut déclarée capitale du Royaume latin de Jérusalem. Rappelons que sous la domination des Croisés, les Musulmans et les Juifs seront interdits de vivre à Jérusalem !
  • Un siècle plus tard, Saladin s’emparera de Jérusalem le 2 octobre 1187.

L’Empire Ottoman, apogée et déclin

Le monde a oublié que les Ottomans étaient originaires d’Asie centrale. Après avoir conquis l’ancien Empire Seldjoukide au XIVème siècle, les Ottomans annexent des territoires byzantins. Osman Ier et ses successeurs vont ainsi bâtir l’Empire Ottoman. Avec la conquête de Constantinople, ils scelleront la fin de l’Empire Byzantin et domineront les populations chrétiennes qu’ils appellent, dédaigneusement, les Roumis, afin de rappeler leur victoire sur l’Empire romain d’orient. La Basilique Sainte Sophie deviendra la Mosquée Bleue pour affirmer la domination de l’Islam et « sacraliser » leurs conquêtes ! Jérusalem passera sous domination ottomane en 1516.
Une remarquable étude de l’historienne Renée Néher dément l’idée très répandue que la présence juive en terre d’Israël avait disparu avec la chute du second Temple. La présence juive en Eretz Israël n’a cessé ni avec la destruction du Temple en 70, ni avec la révolte de Bar Kochba en 135. L’intolérance des chrétiens byzantins au Ve siècle, puis celle des Abassides et des Fātimides musulmans aux IXe et Xe siècles, enfin et surtout les carnages des croisés en 1099 et l’interdiction de toute présence juive dans le royaume chrétien latin de Jérusalem, sont les moments de crise où culminent tragiquement les persécutions contre les Juifs qui font que progressivement juive deviendra clairsemée, mais restera toujours présente.
L’Empire Ottoman a assis sa grandeur au moment où l’Europe était en léthargie. Il a connu ses heures de gloire pendant le règne de Mehmed II jusqu’à la fin de celui de Soliman la Magnifique en 1566 mais leur héritage fut entamé après la défaite navale de Lépante en 1571. Il a fini par sombrer dans l’oubli après l’échec lamentable du second siège de Vienne en 1683. L’Empire Ottoman sera détrôné après la bataille de Navarin en 1827, annonçant son déclin. Après la Première Guerre mondiale, l’Empire Ottoman, allié des Allemands, se trouvera dans le camp des vaincus. Le Traité de Sèvres et la Société des Nations placeront ses territoires de Syrie, Palestine, Liban, Irak et Arabie sous mandat britannique et français.

La chute de l’Empire Ottoman et le partage des Nations

  • En 1917, les troupes britanniques, emmenées par le général Edmund Allenby, s’engagent dans une campagne contre les Turcs, alliés des Allemands.
  • Le 31 octobre 1917, les Britanniques remportent une victoire décisive, dans la ville de Beer-Shev’a qui conduira à la capitulation de l’empire ottoman.
  • Le 2 novembre 1917, par la Déclaration de Balfour, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l’établissement en Palestine « d’un foyer national pour le peuple juif ».
  • En décembre 1917, le général Allenby fait une entrée triomphale à Jérusalem et met fin définitivement à la domination ottomane sur la ville.
  • En 1922, le mandat de la Société des Nations, lors d’un vote à l’unanimité, officialise la reconnaissance internationale des liens historiques entre le peuple juif et le pays d’Israël et donne au peuple juif le droit de créer leur « Foyer National en Palestine ».
  • En 1923, la Société des Nations confirme le mandat britannique sur la Palestine, mais les Anglais, contrairement à leurs engagements, attribuent 75% de la Palestine mandataire à l’émir Abdallah, un des fils du roi Hussein pour créer la Transjordanie, qui deviendra la Jordanie actuelle.

Israël et les Nations

Pendant des siècles, sous l’occupation ottomane, la Palestine n’a jamais été revendiquée par un quelconque nationalisme arabe, et Jérusalem n’a jamais été la capitale d’un État musulman. Jérusalem n’est jamais cité dans le Coran, alors que cette ville est rappelée plus de 600 fois dans la Bible hébraïque. Le nom Jérusalem dérive de l’hébreu et non pas de l’arabe. Il aura fallu que les héritiers légitimes d’Israël, expulsés de leur royaume, retournent après deux mille ans d’exil sur la terre de leurs ancêtres, qu’ils la défrichent, la cultivent et fassent reverdir le désert pour qu’on leur conteste tout droit de propriété, malgré l’aval des Nations unies.
On oublie pourtant que le terrorisme arabe, en Palestine, s’était déchaîné bien avant l’indépendance de l’État d’Israël.
Rappelons, notamment, les émeutes anti-juives en 1920-21, le massacre de Hébron en 1929, les appels au meurtre répétés en 1936-1939 par le Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini qui fut l’instigateur d’une alliance islamo-germanique contre les Anglais et les Juifs. Il déclarait, en 1947 : « Ce que l’ONU a écrit à l’encre noire, nous l’écrirons avec du sang rouge ».
Le 29 novembre 1947, les Nations Unies entérinent par un vote historique la création de deux états, un Etat juif et un Etat arabe en Palestine sur les 25% du territoire restant de la Palestine mandataire. La Résolution 181 des Nations Unies a été approuvé par 33 voix « pour », 23 « contre » et 10 abstentions. Le retour d’Israël sur sa terre résulte donc, on l’oublie trop souvent, de deux décisions officielles des Nations Unies et de son ancêtre, la Société des Nations.
Dans l’après-midi du 14 mai 1948, David Ben Gourion proclame l’indépendance de l’État d’Israël. Le jour même, une coalition de cinq pays arabes – l’Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l’Arabie Saoudite et l’Iraq – bafouait la décision des Nations Unies et le droit international et envahissait immédiatement Israël avec le but avoué de « jeter les Israéliens à la mer ».
Le 15 mai 1948, Azzam Pacha, secrétaire général de la ligue arabe, proclamait : « Cette guerre sera une guerre d’extermination et un massacre grandiose dont on parlera comme des massacres commis par les Mongols et les Croisés ».
Le 7 janvier 1949, le Conseil de sécurité des Nations unies impose la fin des combats.
De 1948 à 1967, les lieux saints juifs vont demeurer sous domination jordanienne, le Mur Occidental et le mont des Oliviers de Jérusalem, la tombe de Rachel à Bethléem et la tombe des Patriarches à Hébron restaient fermés aux pèlerins juifs, même de nationalité non israélienne, alors que l’armistice de 1949, sous les auspices de l’ONU, en avait garanti l’accès.
La Jordanie profanait les lieux saints juifs. Le roi Hussein autorisa, à Jérusalem la construction d’une route menant à l’hôtel Intercontinental qui traversait le cimetière juif du mont des Oliviers. Des centaines de tombes juives furent ainsi détruites. Les pierres tombales érigées à la mémoire des rabbins et des sages juifs étaient réemployées par le génie militaire jordanien pour la construction des fondations, des murs, du dallage et des latrines d’un camp militaire. D’autres pierres tombales étaient utilisées pour édifier le mur du jardin de l’hôtel Intercontinental. L’ancien quartier juif de Jérusalem fut dévasté. Trente-quatre synagogues dont certaines, vieilles de plusieurs siècles, furent dynamitées. Le cimetière juif de Hébron fut détruit et transformé en terrain vague.
On oublie étonnement de dire que la bande de Gaza était sous domination égyptienne et non palestinienne depuis 1948 jusqu’à la Guerre des Six Jours, et que la Jordanie, en 1950, avait annexé de façon illégale la Judée et la Samarie, qu’on appellera par la suite, « Cisjordanie ». En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël contrôlera l’ensemble de Jérusalem et les Juifs retrouveront leurs lieux saints, et autoriseront le libre accès aux lieux saints des Chrétiens et des Musulmans.

Les Palestiniens  et les Nations : le mensonge du siècle

Le monde voudrait nous faire croire qu’il existe une symétrie entre Palestiniens et Israéliens. La réalité est toute autre.
Il n’y a jamais eu de peuple palestinien,
Il n’existe pas de langue palestinienne,
pas de culture palestinienne,
pas de capitale palestinienne.
Il y a des arabes, musulmans ou non, qui vivaient sur ce territoire quasi désertique. Avec le retour des pionniers juifs sur leur terre ancestrale, de nombreux arabes sont venus des pays entourant Israël, attirés par l’expansion économique soudaine. Yasser Arafat d’ailleurs, représentait parfaitement ce qu’étaient les palestiniens : il était né au Caire, le 24 août 1929.
N’oublions pas que lors du Mandat britannique sur la Palestine, étaient considérés comme « palestiniens » tous les habitants qui vivaient sous cette autorité, qu’ils soient juifs, chrétiens ou musulmans. Ce n’est qu’en 1948, lors de la création de l’Etat d’Israël que les Juifs prirent la nationalité israélienne. Il n’y avait plus d’identité palestinienne mais des arabes, musulmans ou autres, vivants en Israël ou dans les pays environnants. Le jour de son Indépendance, l’état d’Israël a été attaqué par six pays arabes et non pas par les « palestiniens » qui n’existaient pas encore.
Pourquoi cacher le fait que cette guerre déclenchée par les pays arabes contre Israël a créé non pas un, mais deux problèmes de réfugiés : l’un juif, l’autre arabe ? Ce sont les dirigeants arabes qui ont incité la population palestinienne à fuir, leur faisant croire qu’ils reviendraient en vainqueurs, qu’ils allaient « écraser rapidement les bandits sionistes ». Ils proclamaient que chacun pourrait non seulement revenir dans son foyer au bout de quelques jours, mais également s’emparer des biens juifs !
David Ben Gurion, Premier ministre du gouvernement israélien, avait clairement donné des instructions pour convaincre les Arabes de revenir, et d’ailleurs, 160.000 d’entre eux sont restés en Israël. Tandis que les pays arabes refusèrent d’intégrer les réfugiés palestiniens et de leur apporter une aide humanitaire, les réfugiés juifs ne restèrent pas longtemps des réfugiés malgré une situation économique des plus précaires, en Israël à cette époque.
Au terme de cette liste non exhaustive d’exactions peu dignes commises à l’encontre d’Israël, les Nations qui accusent Israël en permanence devraient se souvenir de leurs actions passées et faire repentance en pensant à cette sentence du Roi Salomon « On croit voir en l’autre, la haine qu’on lui porte »(Michlé).
Malgré toutes les critiques, toutes les accusations mensongères, toutes les menaces, Israël se développe dans tous les domaines, économique, scientifique, culturel, humanitaire, alors que les pays qui l’entourent se révoltent, s’entretuent et entretiennent leurs populations dans des conditions socio-économiques indécentes.
A l’exemple du Roi David, le peuple d’Israël est toujours prêt à faire la paix avec ses ennemis, mais il possède aussi, aujourd’hui, une force de dissuasion puissante et surtout la conviction de défendre la Vérité et la Justice qui, seuls, permettront non pas d’éterniser la poursuite de processus dits de paix mais d’atteindre une véritable paix des hommes et des cœurs.

Israël, baromètre de la moralité et miroir de l’humanité saura conserver son héritage millénaire. »

© Roland Yéhouda Dajoux, auteur de deux livres :

Israël miroir du monde. Histoire d’une terre retrouvée*. Editions Persée 2009
Quand l’Occident s’éveillera…L’Islam raconté à l’Occident*. Editions Persée 2012
1 Renée Néher. La vie juive en Terre Sainte sous les Turcs ottomans*. Calmann Lévy, 2001

11 juillet 2013 Publié par : | Histoire, Politis | Laisser un commentaire

Une prophétie christique pour l’Afrique

Le samedi 10 Septembre 1921, vers 9h00, à Mbanza-Nsanda, petite localité du Bas-Congo, la veille de son arrestation par le pouvoir colonial belge, Simon KIMBANGU, dans l’enclos en rameaux, le visage grave, le regard vif, s’adressa à la foule en ces termes :

« Mes Frères, l’Esprit est venu me révéler que le temps de me livrer aux autorités est arrivé. Tenez bien ceci : avec mon arrestation, commencera une période terrible d’indicibles persécutions pour moi-même et pour un très grand nombre de personnes. Il faudra tenir ferme, car l’Esprit de notre Dieu Tout-Puissant ne nous abandonnera jamais. Il n’a jamais abandonné quiconque se confie en Lui.
« Les autorités gouvernementales (coloniales) vont imposer à ma personne physique un très long silence, mais elles ne parviendront jamais à détruire l’œuvre que j’ai accomplie, car elle vient de notre Dieu, le Père. Certes, ma personne physique sera soumise à l’humiliation et à la souffrance, mais ma personne spirituelle se mettra au combat contre les injustices semées par les peuples du Monde des Ténèbres qui sont venus nous coloniser.
« Car j’ai été envoyé pour libérer les Peuples du Kongo et la Race Noire Mondiale. L’Homme Noir deviendra Blanc et l’Homme Blanc deviendra Noir. Car les fondements spirituels et moraux, tels que nous les connaissons aujourd’hui, seront profondément ébranlés. Les guerres persisteront à travers le monde. Le Kongo sera libre et l’Afrique aussi.
« Mais les décennies qui suivront la libération de l’Afrique seront terribles et atroces. Car tous les premiers gouvernants de l’Afrique libre travailleront au bénéfice des Blancs. Un grand désordre spirituel et matériel s’installera. Les gouvernants de l’Afrique entraîneront, sur le conseil des Blancs, leurs populations respectives dans des guerres meurtrières et s’entretueront. La misère s’installera. Beaucoup de jeunes quitteront l’Afrique dans l’espoir d’aller chercher le bien-être dans les pays des Blancs. Ils parleront toutes les langues des Blancs. Parmi eux, beaucoup seront séduits par la vie matérielle des Blancs. Ainsi, ils deviendront la proie des Blancs. Il y aura beaucoup de mortalité parmi eux et certains ne reverront plus leurs parents.
« Il faudra une longue période pour que l’Homme Noir acquière sa maturité spirituelle. Celle-ci lui permettra d’acquérir son indépendance matérielle. Alors s’accomplira la Troisième étape. Dans celle-ci naîtra un Grand Roi Divin. Il viendra avec ses Trois Pouvoirs : Pouvoir Spirituel, Pouvoir Scientifique et Pouvoir Politique.
« Je serai Moi-même le Représentant de ce Roi. Je liquiderai l’humiliation que, depuis les temps les plus reculés, l’on n’a cessé d’infliger aux Noirs. Car, de toutes les races de la Terre, aucune n’a été autant maltraitée et humiliée que la Race Noire.
« Continuez à lire la Bible. A travers ses écrits, vous arriverez à discerner les actes de ceux qui sont venus vous apporter ce livre et les écrits ou principes moraux contenus dans ce livre.
« Nous aurons notre propre Livre Sacré, dans lequel sont écrites des choses cachées pour la Race Noire et le Peuple du Kongo. Un Instructeur viendra avant mon RETOUR pour écrire ce Livre et préparer l’arrivée du Roi. Il sera combattu par la génération de son temps, mais petit à petit, beaucoup de gens comprendront et suivront son enseignement. Car sans cet Enseignant, qui préparera les Peuples Kongo ? Car l’arrivée du Roi sera très meurtrière et sans pardon.
Alors, il faut que les Peuples du Kongo soient instruits avant cet événement.
« Vous ne savez pas encore ce que c’est qu’une guerre spirituelle. Quand les Peuples Kongo commenceront à se libérer, tout pays qui osera attaquer le Kongo sera englouti sous les eaux. Vous ne connaissez pas encore la puissance de Ceux qui sont envoyés par le Père Tout-Puissant.
« A quoi sert à l’homme de s’attaquer à Dieu si, le jour de sa mort, même s’il avait beaucoup de biens matériels, il n’a même pas le temps d’arranger son doigt ? Vous ne savez pas de quoi est faite votre vie et pourquoi vous vivez. Car, exister physiquement c’est apparaître comme presque rien.
Pourquoi tuer son prochain et espérer rester en vie, et pour combien de temps ?
Dieu n’est pas le temps, ni l’espace. Il est un TOUT dans le TOUT.

La génération du Kongo perdra tout. Elle sera embrouillée par des enseignements et des principes moraux pervers du monde Européen. Elle ne connaîtra plus les principes maritaux de ses Ancêtres. Elle ignorera sa Langue Maternelle. Alors je vous exhorte à ne pas négliger ni mépriser vos langues maternelles. Il faut les enseigner à vos enfants et à vos petits enfants. Car viendra un temps où les langues des Blancs seront oubliées. Dieu le Père a donné à chaque groupe humain une langue qui sert comme d’une « alliance de communication »…

(Extraits de la Prophétie du Grand Prophète Simon KIMBANGU, Samedi 10 septembre 1921 à Mbanza-Nsanda, Kongo-Central).

la chouette_bw

A toutes fins utiles, je vous donne ci-dessous quelques repères biographiques :
Simon KIMBANGU, dont le nom signifie : « Celui qui révèle les choses cachées », est né à NKAMBA, petit village du Kongo-Central, le 12 septembre 1887. Après des études primaires à la Mission protestante de Ngombe-Lutete, KIMBANGU se marie à Marie MUILU qui lui donne trois enfants : KISOLOKELE (né en 1914), DIALUNGANA (né en 1916), DIANGIENDA KUNTIMA (né en 1918).
A partir de 1910, Simon KIMBANGU commence à entendre l’appel de l’Esprit de Dieu qui lui demande de « paître son troupeau. » A plusieurs reprises, KIMBANGU refuse d’obéir à l’appel en expliquant qu’il n’est pas à la hauteur d’une si haute et importante mission. Il se réfugie même à Léopoldville pour échapper à la « Voix », et trouve du travail aux Huileries de Kinshasa. Il y travaille sans être rémunéré, et déçu, il revient à NKAMBA où, le 6 avril 1921, au hameau de Ngombe Kinsuka, l’Esprit de Dieu lui intime l’ordre de ressusciter une petite fille, NKIATONDO, qui venait tout juste de mourir.
Ce premier miracle de KIMBANGU va amorcer ce que les historiens ont appelé le « semestre effervescent » (du 6 avril au 12 septembre 1921), une intense période de prédication et de miracles qui va secouer l’Empire Colonial Belge, l’Angola et même le Kongo Français.
KIMBANGU prêchait et guérissait à peine depuis 36 jours quand le commissaire de district envoie Léon MOREL, administrateur du Territoire des Cataractes, enquêter sur « le cas de l’Illuminé de Nkamba ». Nous sommes le 11 mai 1921.
Dès le mois de juin 1921, suite aux persécutions coloniales, orchestrées essentiellement par les MISSIONNAIRES CATHOLIQUES ET PROTESTANTS, qui voient leurs églises se vider progressivement de leurs fidèles, KIMBANGU entre en clandestinité et séjourne notamment à Mbanza-Nsanda où Il fera la terrible Prophétie( extraits ci-dessus).
Le 12 Septembre 1921, KIMBANGU est arrêté puis transféré à Thysville (Mbanza-Ngungu) où il est sommairement jugé et condamné à mort. Mais peu après, le Roi des Belges, Albert 1er commue cette peine en PRISON A VIE. KIMBANGU est alors acheminé, manu militari, à Elisabethville (Lubumbashi) où Il passera 30 (TRENTE) ans dans une minuscule cellule de 80cm sur 1,20m, sans aération et sans conditions hygiéniques appropriées : son lit était un bloc de ciment, – chaque matin, il était plongé dans un profond puits contenant de l’eau froide et salée afin d’accélérer sa mort !
Deux jours avant sa mort, soit le 10 octobre 1951, le Grand Prophète KIMBANGU annonce à ses co-détenus que sa détention est terminée et qu’il mourrait le vendredi 12 octobre 1951 à 15 heures précises !
Le 12 octobre 1951, après avoir dit ses adieux à ses gardes et à ses co-détenus, KIMBANGU frappe trois coups de poings sur les côtes droite et gauche, puis s’étant allongé sur sa couverture placée à terre, meurt paisiblement non sans avoir au préalable prophétisé des épreuves terribles pour la Belgique et l’Occident dans les temps futurs…

Dans sa prédication, KIMBANGU, annonçait souvent la libération prochaine de l’Afrique et du « Congo » de la domination coloniale d’abord et de la domination occidentale en général par la suite. Cette libération devrait, selon lui, s’effectuer en 3 étapes : la première, connue sous le nom des « Indépendances Africaines » des années 1960; Les deux autres étapes constituent encore un mystère..  sommes-nous peut-être déjà engagés dans le processus qui conduit vers… »la Deuxième Indépendance » ?
Avant sa mort, il créa un puissant Mouvement Spirituel, qu’Il appela « KINTUADI » (= l’Union, l’Unité, la Communauté), voué à la libération totale de l’homme noir. Il se présenta d’ailleurs lui-même comme le sauveur de la race noire et Il réaffirmera ceci très solennellement lors de son procès à Thysville (Mbanza-Ngungu) devant Monsieur de Rossi, président du Conseil de Guerre institué pour la circonstance. Ce que n’acceptent pas les missionnaires catholiques et protestants et autres dignitaires religieux africains.
Les membres du Mouvement KINTUADI furent l’objet de nombreuses persécutions et déportations de leur Kongo-Central natal vers plusieurs localités de l’Equateur, du Haut-Congo et du Katanga comme Ekafela, Ubundu, Lowa, Elisabethville.
Le nombre de fidèles déportés de 1921 à 1959 dépassera les 150.000 ! Beaucoup d’entre eux ne revinrent jamais au Kongo-Central et moururent en déportation, dans les travaux forcés, sous le coup des fouets et les interminables bastonnades !
Après la mort de KIMBANGU à Elisabethville, son fils cadet, Joseph DIANGIENDA KUNTIMA, (ancien Secrétaire du Gouverneur Colonial de la Province du « Congo-Kasaï », Monsieur PEIGNEUX) fonde, le 24 décembre 1959 une Eglise d’inspiration Chrétienne qu’il baptise : EGLISE de JESUS-CHRIST sur la terre par le prophète SIMON KIMBANGU (EJCSK).

Cette Église, connue plus tard sous le nom d’Église KIMBANGUISTE, devient en 1969 membre à part entière du Conseil Œcuménique des Églises, dont le siège est à Genève, semblant ainsi s’éloigner au combat historique et militant du Mouvement KINTUADI et à son programme politico-spirituel visant la réhabilitation totale et inconditionnelle de l’homme dans le monde entier !

Il reste que Simon KIMBANGU, par les valeurs d’universalisme et d’ouverture de conscience qu’il propage, se révèle probablement un grand instructeur à destination des populations d’origine Africaine. Il y est révéré comme tel.

25 avril 2013 Publié par : | Histoire, Pépiements, Politis | | Laisser un commentaire

Les moutons et les aveugles

La déliquescence de l’occident provient de la perte de ses valeurs fondatrices, de l’oubli de ses racines et de son histoire, …
On ne peut avancer, dépasser son propre chemin que par un effort d’éthique collectif, et une pleine réminiscence des évènements et périodes antérieures.

Le propre de la barbarie qui revient, sera de gommer toute référence aux civilisations pré-existantes (ce qu’ils osent appeler, dans une fantastique inversion sémantique, la « Jahiliyyah » ou « age de l’ignorance »!!!!).
Toute la culture européenne sera gommée comme l’ont été les civilisation égyptienne, indonésienne, perse, anatolienne, berbère, … par les forces noires d’oubli et d’inconscience

Honte à nos dirigeants traitres et aveugles, et à ses foules de moutons abêtis par les menteuses lucarnes et ses seuls soucis égoïstes!

 

« L’Europe est morte déjà depuis longtemps, même si nombre d’Européens ne s’en aperçoivent pas. La croissance est nulle. Les pauvres se multiplient. La natalité est en chute libre dans tous les pays du continent, a l’exception de la France, qui compte la plus forte proportion de musulmans. L’Europe n’a plus les moyens ou la volonté de se défendre et elle est en situation de soumission préventive.
Les Etats-Unis sont en train de glisser vers leur propre mort. Et une majorité d’Américains ne s’en aperçoit pas.
La croissance aux Etats-Unis est quasiment nulle. Les déficits sont abyssaux. Les pauvres se multiplient. La natalité se maintient, mais le poids des minorités, particulièrement celui de la minorité hispanique s’accentue. Les Etats-Unis risquent fort de n’avoir bientôt plus les moyens de se défendre, et ils se rapprochent de la soumission préventive.

La démocratie est un système optimal, jusqu’au moment où des gens la transforment en un distributeur automatique de billets et en un moyen d’assouvir leurs lubies idéologiques, en transformant une majorité de la population en idiots utiles. La transformation est accomplie depuis longtemps en Europe. Elle est désormais accomplie aux Etats-Unis.

Nul ne peut dire aujourd’hui ce qui viendra aprés la civilisation occidentale. Lorsque l’empire romain s’est effondré sous la poussée des barbares et sous le poids de son propre affaissement, plusieurs siècles de chaos ont suivi.

Depuis des siècles, la production et la création se heurtent aux forces de la prédation et de la stérilisation. La production et la création l’emportent toujours dans le moyen terme, mais il arrive que dans le court terme, la prédation et la stérilisation triomphent. Je crains fort que nous ne soyons dans un court terme de ce type.

Faut-il renoncer en ces Conditions ? Faut-il se dire qu’il reste à vivre sa vie, sans plus ? Disons qu’il faut ne pas se bercer d’illusions. Disons qu’il importe, au moins, de comprendre et de ne pas vivre dans la cécité. »

extrait éditorial de Guy MILLIERE

12 novembre 2012 Publié par : | Histoire, Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

seul un peuple hébété se laisse mener sans regimber dans les poubelles de l’histoire

Le Français est un veau… nous le savions…
Il semble aussi lâche que dogmatique : peut-être n’aura-t-il finalement que ce qu’il mérite (Munich, génocide vendéen, abandon des vietnamiens et harkis, àplaventrisme communiste,  …)?

Ce discours marque une des dernières chances de tirer notre peuple de sa torpeur avant que ne soit parachevée la substitution dont il est l’objet, le Grand Remplacement -une des dernières chances à nos enfants/contemporains d’éviter le pire, de mettre au rebut tout ce que nos ancêtre ont accompli…

discours d’orange par Renaud CAMUS

vidéo du discours :

 

« Comment est-il possible qu’un phénomène aussi énorme que le changement de peuple, le Grand Remplacement, auprès duquel même la crise économique, la terrible crise, n’est qu’un épiphénomène, un contre coup secondaire — ce n’est évidemment pas un hasard si la crise mondiale frappe principalement les nations, et d’abord celles d’Europe, qui sont en butte au changement de peuple —, comment se fait-il qu’un tel phénomène, qui représente exactement tout ce que nos ancêtres se sont ingéniés de toutes les façons possibles à éviter, et d’abord en donnant leur sang, comment se fait-il qu’un tel phénomène puisse se dérouler en silence, sans susciter de grandes protestations, sans tenir de place notable dans les élections, par exemple ?

Notre peuple s’est fait ravir son regard, sa parole et même sa souffrance par le complexe médiatico-politique, agissant au nom de l’antiracisme dogmatique qui, à cause de cet illogisme qui est à son fondement, ne peut pas tolérer que soit posée la question de la vérité, lui substitue constamment celle de la liberté de dire et de ne pas dire et a donc une tendance naturelle, inévitable, à la tyrannie, parce qu’il est fondé sur le mensonge.

Ce système fait constamment appel à la morale, mais la morale ne peut être de son côté, parce qu’il n’y a pas de morale sans vérité et que la vérité il ne peut, littéralement, pas la supporter. »

9 novembre 2012 Publié par : | Histoire, Politis | , | Laisser un commentaire

d’actualité : poème de Fréderic MISTRAL

Frédéric MISTRAL est censuré par youtube !!!!

Par contre la phraséologie des ténèbres abonde (rap, haine anti-occidentale, …),
l’inconscience s’étale partout et accroit son emprise,
chez nos fausses élites confites de bien-pensance irréaliste,
chez nos media intoxicateurs et travestisseurs de réel,
chez leurs auditeurs moutonniers qui vénèrent les causes de leurs plaintes…

ci dessous traduction de ce poème censuré ( merci à nos amis occitans )

                                                                                                                                                                                                   

À notre Peuple

Pauvre peuple de Provence,
Toujours plus abîmé.
Sans abri ni défense,
Abandonné aux outrages !

A l’école ils arrachent,
La langue de tes parents,
Et pour ton déshonneur ils finissent,
Peuple, en te dénaturant.

Des vieux mots de ton usage
Où tu penses librement
Un fou de passage
T’interdit de les parler.

Ils te pétrissent le cerveau,
Ils t’endoctrinent comme un niais,
Pour qu’à la fin la manivelle
Tourne pour tous de la même manière.

Ils ne connaissent pas ton Histoire,
Ils te la racontent à l’envers ;
Ils te dressent, te redressent,
Comme un peuple de bossus.

Ils te font croire que leur lune
Brille plus que ton soleil,
Et ton âme s’enfonce dans le bourbier,
Aplatie par un rouleau.

Ils font croire à tes pères
Qu’ils n’ont jamais rien fait de bon
Et, très fâcheux, à l’usurpateur,
Jamais personne ne répond !

Tes belles chansons sans malice,
Tu les oublies oh, naïf !
Pour les viles bêtises
Qui te tombent d’en haut.

Tu ne sais plus commencer tes fêtes,
Tu ne sais plus jouer tes jeux :
Et puis quand tu as changé de veste,
Tu restes pauvre comme Job.

Et cependant c’est toi la voie,
Le germe de la nation,
Où Celui là-haut sème
Son éternelle création.

Toi, sauvant les habitudes
Et l’art de faire du Midi,
Tu sauves l’égalité
De notre nation et du savoir vivre.

Notre langue et ses proverbes
Ont son nid à ton foyer
Et tu veille l’orgueil
De tes filles qui font notre joie.

Pour te faire dire « assez »
Tout te pousse : mais, têtu,
Rien qu’avec une feuille d’oignon (ndt : car ici on adore ça)
Tu remontes bon soldat.

Toi seul tu laboures la terre
Et tu retailles l’olivier :
Tu cherches le bonheur où il était
Et la joie où il y en avait,

Quand les gens se contentaient
De manger le pain fait maison
Et que toute la journée ils chantaient
Sur la charrue et le sep.

Mais, beau peuple, tu peux les voir :
Les raclures, les margoulins,
Qui méprisent aujourd’hui leur anciens
Ils n’investissent dans rien.

Et même l’oiseau en cage
Qui a de la graine à volonté,
Il faut qu’il meure de rage
Devant son abreuvoir.

Que ta vue prenne de la largeur,
Peuple, sur ton pays doux,
Car on dit qu’un chien de parc
En bat deux devant sa porte.

Enfouis tes difficultés, enfouis les encore !
Parle fier ton provençal,
Qu’entre mer, Durance et Rhône
Il fait bon vivre, Dieu le sait !

9 septembre 2012 Publié par : | Gaia, Politis | | Laisser un commentaire

La vraie démocratie serait-elle le tirage au sort?

La Grèce antique, dont nous avons hérité certaines de nos pratiques politiques, avait mis en place des procédures de désignation de magistrats par tirage au sort.
L’essence de la démocratie se fondait sur plusieurs points :
Désignation de responsables politiques et magistrats par tirage au sort, ce qui avait l’avantage de s’extraire du système clanique, patricien repris par les Romains et dans lequel nous sommes retombé (notre fausse démocratie n’est en fait qu’une oligarchie mi financière-mi médiatique).
Interdiction d’être réélu

Effectivement l’élection par tirage au sort jouait un rôle très important dans le système de désignation des magistrats des démocraties grecques, et surtout à Athènes (ce serait Solon qui en aurait introduit l’usage). Au Ve siècle av. J.-C., qui est considéré comme le moment d’apogée de la démocratie athénienne, le tirage au sort avait une importance capitale au sein des institutions : les membres du Conseil, par exemple, étaient désignés par l’assemblée du peuple, par le moyen du tirage au sort (là, c’est un peu compliqué : parfois il y avait un double tirage au sort ; parfois le tirage au sort était précédé d’un vote de sélection, ou bien suivi par ce vote, etc.) Mais en bref, le pouvoir exécutif était aux mains de magistrats désignés par le sort.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que paradoxalement, ce mode de désignation constituait aux yeux des Anciens l’essence même de la démocratie, parce qu’il renforçait le pouvoir de l’assemblée. Par opposition au mode de désignation par vote, qui assurait aux représentants des familles puissantes et influentes une élection facile :  par leur autorité, ces personnalités obtenaient beaucoup plus de voix que les autres. Le tirage au sort était, d’ailleurs, associé à l’interdiction d’être réélu, ce qui permettait une considérable rotation des charges publiques : et le pouvoir encore une fois restait aux mains du peuple, et non en la possession de ceux qui occupaient une charge. Ceci étant dit, il y avait une restriction non négligeable, même au milieu du Ve siècle : le recours au vote fut maintenu pour élire les stratèges, et certains trésoriers dont la charge exigeait des compétences techniques…

Ne devrions nous pas nous en inspirer, et procéder à un tel tirage au sort, dans un vivier de « vrais citoyens, honnêtes hommes » présélectionné?
Cela aurait comme avantage d’éliminer les hommes politiques professionnels, dont les qualités distinctives sont volonté de puissance, hypertrophie du moi… au détriment des valeurs de service à autrui et à la collectivité.

23 juin 2012 Publié par : | Politis, Valeurs | Laisser un commentaire

Lettre d’ Ali Sina à l’humanité

Ali Sina est un iranien qui a renié l’islam, fondateur du mouvement des ex-musulmans et du website: www.faithfreedom.org.
C’est un universitaire qui vit actuellement au Canada et qui dans la lettre qui suit, s’adresse à toute l’humanité pour la mettre en garde

« Cher compagnon humain,
Aujourd’hui, l’humanité fait face à un défi. Des atrocités sans nom sont commises tous les jours. Il y a une force du mal qui s’emploie à nous détruire. Des agents du mal ne respectent rien; pas même la vie des enfants. Chaque jour, il y a des bombardements, chaque jour, des innocents sont tués. Nous pensons être impuissants face à ce mal, mais en réalité nous ne le sommes pas.
Sun Zi, un ancien sage chinois disait, ‘ connais ton ennemi et tu seras victorieux’. Connaissons-nous notre ennemi? Si ce n’est pas le cas, nous sommes condamnés.
Le terrorisme n’est pas une idéologie, c’est une arme, mais les terroristes tuent pour une idéologie qu’ils appellent l’islam.
Le monde entier, musulman et non-musulman clame que les terroristes ont détourné une ‘ religion de la paix’ et que l’islam n’appelle pas à la violence.
Qui a raison? Est-ce que les terroristes comprennent mieux l’islam ou est-ce ceux qui prétendent que l’islam est une religion de paix? La réponse à cette question est la clé de notre victoire, et ne pas trouver cette clé fera notre perte. La clé est dans le Coran et dans l’histoire de l’islam.
Ceux d’entre nous qui connaissent l’islam savent que la connaissance de l’islam par les terroristes est correcte. Ils ne font rien que leur prophète n’ait pas fait ou encouragé ses fidèles à faire. Le meurtre, le viol, l’assassinat, la décapitation, le massacre et le sacrilège de la mort pour réjouir le cœur des croyants étaient pratiqués et enseignés par Mahomet et observés par les musulmans à travers l’histoire.
Si la vérité a toujours été importante, elle l’est d’autant plus maintenant! Il est temps pour nous de trouver la racine du problème et de l’éradiquer. La racine du terrorisme islamiste est dans l’islam.. La preuve en est le coran.
Nous sommes un groupe d’ex-musulmans qui avons vu le mal et nous nous sommes levés pour avertir le monde. Quelle que soit la douleur que la vérité nous inflige, seule la vérité peut nous sauver. Pourquoi tant de déni? Pourquoi tant d’obstination? Combien de vies innocentes doivent être perdues avant que Vous n’ouvriez les yeux? Un désastre nucléaire nous attend. Cela arrivera, ce n’est pas une question de ‘ si’ mais de ‘quand’. Inconscient de cela, le monde persiste de plus belle dans sa politique de l’autruche.
Nous demandons aux musulmans de quitter l’islam. Arrêtez avec des excuses, des justifications, et les rationalisations. Arrêtez de diviser l’humanité entre ‘nous’ et ‘eux’ ( musulmans et koufards) Nous sommes un peuple, une humanité! Mahomet n’était pas le messager de Dieu. Il est temps d’arrêter cette folie et de faire face à la vérité. Les terroristes puisent leur soutien moral et la validation de leurs actions en vous. Votre simple adhésion à ce culte de la mort est un signe d’assentiment à leurs crimes contre l’humanité.
Nous demandons aussi aux non musulmans d’arrêter le politiquement correct de peur de heurter la sensibilité des musulmans. Au diable leur sensibilité! Nous devons sauver des vies, les vies de millions d’innocents.
Des millions, si ce n’est des milliards de vies seront perdues si nous faisons rien. Le temps passe! La seule chose nécessaire pour que le mal triomphe est que les gens bien ne fassent rien.
Faites quelque chose! Envoyez ce message à toutes les personnes dans votre carnet d’adresse et demandez-leur de faire de même. Arrêtez l’islam et le terrorisme. C’est votre monde et celui de vos enfants et petits-enfants, sauvez le. »

20 avril 2012 Publié par : | Politis, Religion | , | 2 commentaires

La prétention scientifique de l’islam, symptôme de son essence totalitaire

remarquable synthèse décortiquant les sous-jacents sémantiques et psychiques du système géopolitique totalitaire appelé « islam »  par Jean Pavée

Le raisonnement tenu ici s’articulera autour de la pensée de Karl Popper, qui a mené le rapprochement entre le totalitarisme nazi et le totalitarisme marxiste, en appuyant cette critique de l’idéologie totalitaire sur sa théorie de la connaissance scientifique.
Selon cette dernière, le savoir progresse par essai/erreur : pour trouver la solution à une problématique donnée, on avance plusieurs hypothèses/solutions qu’il s’agit de tester et sont écartées celles conduisant à une erreur. Plutôt que de concevoir un modèle global pour réorganiser une société, il s’agit, au contraire, d’agir par petites touches, afin de saisir l’effet des différentes interventions, et d’en corriger les inévitables conséquences non souhaitables.
Aussi toute connaissance qui aspire à un label scientifique doit être mise à l’épreuve empiriquement ou réfutable ; toute théorie scientifique doit envisager et accepter des tests constituant une tentative pour en démontrer la fausseté ; pouvoir être testé c’est pouvoir être réfuté.

Pour Karl Popper, une théorie qui n’est réfutable par aucun événement qui se puisse concevoir est dépourvue de caractère scientifique. Pour les théories, l’irréfutabilité n’est pas (comme on l’imagine souvent) vertu mais défaut.

Cela conduit Popper à conclure que le marxisme et la psychanalyse, par exemple, ne sont pas des sciences. Il reprochait à ces deux théories d’imposer leur dogmatisme en mettant en avant tout constat à l’appui de leur thèse, tout en faisant disparaître les faits qui pourraient l’infirmer.

La psychanalyse ne satisfait pas à la condition de réfutabilité tout simplement parce que l’inconscient est inaccessible (si ce n’est dans la cure qu’on ne peut considérer comme un lieu valide objectivable d’expérimentation). Plus encore, elle tend à interdire toute réfutation en jugeant les critiques qu’on pourrait lui faire comme des résistances inconscientes de leurs auteurs, qui se défendraient ainsi de recourir eux-mêmes aux éventuels bienfaits d’une cure analytique !
De la même façon le marxisme rejetait par avance toute critique. Pour tout marxiste imprégné de ce système idéologique, l’adversaire du marxisme critique ce dernier, uniquement car étant un adversaire de classe, comme le bourgeois, son intérêt est de défendre son intérêt de classe, contraire aux avantages supposés du marxisme. L’antimarxiste, lors de son rejet du marxisme, n’utilise pas sa raison.

Popper reproche donc au marxisme de se soustraire à la critique rationnelle et au débat par avance en discréditant d’emblée la contradiction. Pour l’antimarxiste Ludwig von Mises « C’est ainsi que le marxisme se protège contre toute critique désagréable. Il ne réfute pas l’adversaire, il se contente de le traiter de bourgeois. ».
Le champ de réflexion de Popper ne s’est pas étendu aux religions, puisque par définition, leurs fondements concernant des préoccupations métaphysiques, elles ne peuvent prétendre au statut de sciences. Mais réfléchissant sur le concept de tolérance, il a déclaré sans ambages : « Dans l’idée d’orthodoxie et d’hérésie [des doctrines religieuses] se cachent les vices les plus mesquins ; ces vices auxquels les intellectuels sont particulièrement sujets : l’arrogance, l’ergotage, la certitude, la vanité intellectuelle. »

Pourtant concernant la religion islamique, on trouve cette prétention d’invoquer des sciences islamiques présentées sur wikipedia comme toutes les sciences qui gravitent autour du Coran, le livre sacré de l’islam. Parmi elles la théologie, le droit islamique, l’étude des exégèses des textes sacrés, et l’histoire des traditions orientales. On y rajoute que dans la culture des pays musulmans, ces sciences d’origine arabe et tournées autour du sacré se distinguent des sciences profanes souvent d’origine grecques. Les sciences islamiques sont enseignées dans de nombreuses universités, notamment l’université Al-Azhar au Caire en Égypte.

Les oulémas qui en sortent sont des docteurs ès sciences islamiques. Ils sont révérés et présentés comme des «savants» musulmans. Là où on se contentera d’évoquer une théologie ou une exégèse chrétienne, bouddhiste …, on se flattera d’oser une science islamique.
Cette volonté d’assimiler la pensée islamique à une pensée scientifique est la suite logique du soin qu’a pris Mahomet de nous asséner le terme « preuve » pas moins de 147 fois dans le coran. Le traducteur  Muhammad Hamidullah nous évoque même 29 fois le terme de preuve(s) évidente(s) ; à d’autres moments les preuves sont claires, et même une fois il nous les traduit comme irréfutables.
Cette évocation de preuves évidentes ou irréfutables dans le coran ne fait pas partie du registre lexical d’autres religions ; ainsi le mot « preuve » n’apparaît à aucun moment dans les 4 évangiles ; ce qui apparaît logique puisqu’une religion relève du domaine de la foi et non de la raison ou des sciences ; on croit ou on ne croit pas en une religion, mais on ne peut la démontrer comme on le ferait d’une théorie mathématique ou la rationnaliser comme on le ferait d’une expérience scientifique.

Le Bouddha, de son côté, loin de vouloir imposer un dogme déclara: « Oui, il est juste que vous soyez dans le doute et dans la perplexité, car le doute s’est élevé en une matière qui est douteuse. Maintenant, écoutez, ne vous laissez pas guider par des rapports, par la tradition ou par ce que vous avez entendu dire. Ne vous laissez pas guider par l’autorité de textes religieux, ni par la simple logique ou l’inférence, ni par les apparences, ni par le plaisir de spéculer sur des opinions, ni par des vraisemblances possibles, ni par la pensée : il est notre Maître. »

Dans l’islam, le doute dans le dogme islamique, énoncé dans le coran par Allah, est impensable. Il est même interdit aux croyants, comme exprimé dans la sourate 9. Où Dieu fait comprendre aux musulmans qu’il n’est pas plus mal que ceux qui sont dans le doute religieux n’aient pas accompagné les guerriers musulmans au combat, car ils les auraient fait douter créant la discorde entre eux. Et au bout du compte l’enfer est garanti aux sceptiques.
Le verset 15 de la sourate 49 est tout aussi explicite : « Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques. »
Par extension, s’est répandu le sentiment dans toute société musulmane que celui qui doute risque de semer la discorde, le doute étant contagieux, car représentant une tentation dangereuse pour le croyant ; en conséquence, il faut éviter de fréquenter le dubitatif qui est assimilé à un mécréant. C’est pourquoi les sceptiques, les agnostiques et les athées restent discrets dans toute société musulmane, ne se risquant à se confier qu’à leurs amis les plus chers et les plus discrets.
C’est ainsi que tout doute et a fortiori toute critique de l’islam s’avère publiquement impossible au sein de tout système islamique fermé. De toute façon, Mahomet refuse toute légitimité à toute critique de l’islam ; il s’est prémuni contre toute tentative de le réfuter puisque toute suggestion de l’esprit amenant à se détourner du message coranique est l’œuvre du diable.
Dans la logique musulmane, l’adversaire de l’islam n’utilise donc pas sa raison, mais il est prisonnier d’arguments diaboliques, de la même manière que nous l’avons vu, l’adversaire de la psychanalyse est lié à des arguments inconscients et celui du marxisme à des arguments cupides de classe et non sincèrement rationnels.

Par cette volonté de se protéger contre toute tentative de les réfuter, pour Popper, le marxisme et la psychanalyse ne sont pas des sciences. Le marxisme et la psychanalyse exprimeraient ainsi un caractère totalisant, s’avérant capables de rendre compte de la totalité des faits de leur domaine d’attribution.

Ce raisonnement peut aussi être étendu à l’islam ; pour autant si la cohérence interne des théories psychanalytique et marxiste reste remarquable, c’est loin d’être le cas de l’islam, puisque le coran, peut de façon paradoxalement stupide, nous expliquer que si des êtres humains décident de ne pas se convertir, c’est qu’ils étaient prédestinés ainsi. « Si ton Seigneur avait voulu, ils [les mécréants] ne l’auraient pas fait; laisse-les donc avec ce qu’ils inventent [leurs blasphèmes]. » (sVI,v112) ; « Alors que c’est Allah qui vous [les êtres humains] a créés, vous et ce que vous fabriquez? » (sXXXVII,v96). Pour autant, cela n’empêche pas Allah de vouer aux flammes infernales les mécréants, dont pourtant les choix religieux seraient donc l’œuvre d’Allah lui-même !!!??? C’est donc Allah qui aurait suggéré au diable de suggérer aux méchants mécréants !?

L’islam, par sa prétention scientifique nous révèle non seulement son caractère totalisant, mais aussi sa volonté totalitaire. La société conçue par Mahomet est une société close dans laquelle le doute à l’égard du système de pensée conçu par Mahomet n’est pas concevable ; la société close, selon Karl Popper est une société immobile au sein de laquelle les individus se construisent une interprétation définitive et indiscutable du monde. La société occidentale, au contraire, est ouverte et accepte les différences et le libre développement des idées et des critiques. Elle doit se confronter aux controverses.

Ce refus de la controverse à propos de son système fait qu’ islam mahométan et société ouverte sont incompatibles.

11 avril 2012 Publié par : | Politis, Religion | , , , , | Laisser un commentaire

le dogme, en tout domaine, source de barbarie et d’inconscience

la France est bien la mère des politiques d’extermination par esprit dogmatico-religieux.

L’histoire a été fertile en massacres et éradications en tous genre ; cependant, et d’aprés Staline lui-même, maître en la matière, il aurait pris exemple sur les colonnes de terreur vendéennes
vendée, ukraine, shoah, chine, cambodge, rwanda, massacres arabes… et bien d’autres… le suite des massacres selon dogme est lourde…
Ce sont des tueries organisées au nom d’une idée… quand les hommes élèvent leurs idées au rang de divinités… et les transforment en veau d’or, plutôt que de se rapprocher du réel
le réel de toutes les authentiques traditions spirituelles (platon, boudhisme, zoroastre, christianisme, taoisme, …) ou philosophiques (sémantique générale, Montaigne, Shopenhauer, …)

puisse l’humanité retourner à la conscience du moment présent, du réel, du « je suis », loin de tout dogme, présupposé; pré-jugé, idée précablée par nos archétypes issu de l’enfance, du milieu, …de l’antérieur
(le « je suis », l’âme/conscience a été transformé sémantiquement en « jesus », le jesus en chacun de nous qui une fois illuminé devient Christ – c’est à dire « oint », sanctifié)

4 avril 2012 Publié par : | Pépiements, Politis | | Laisser un commentaire

Les pays et leurs valeurs sont mortelles

La France, comme tous les états et toutes les nations, est faible, mortelle, éventuellement transitoire, vulnérable.
La France, c’est plus de 1600 ans de péripéties pour unifier des territoires divers et souvent très différents de par leurs cultures, langues, …, en manquant plusieurs fois de tout perdre.
Le péril qu’encourt actuellement notre pays n’est pas qu’économique, il est existentiel.
On ne peut pas fonder une cohésion nationale uniquement sur la base de la protection sociale, des « services publics à la française », d’un Etat social, quelque soit l’opinion que l’on ait de l’intervention publique dans le social.
Etre français ne se résume ni à une carte d’identité, ni à une carte Vitale. C’est avant tout une volonté d’être membre de la nation, même quand on n’y gagne rien matériellement. Etre français se mérite : c’est une adhésion à des valeurs d’ouverture, de tolérance, d’accord entre des extrêmes, de nuances et de politique en esprit.

Mon éloignement de mon obédience politique native fut provoqué en partie par l’appui total, qui y est donné aux discours qui placent la France comme éternelle oppresseur (de ses anciennes colonies, des minorités ethniques et régionales, des immigrés…), et qui irriguent à 80% les média et le système dit intellectuel.
Pourquoi les écologistes soutiennent-ils le Hamas, parti totalitaire inverse de leurs valeurs? Pourquoi ne s’occupent-ils que de « comment » , directives technocratiques, sans parler du « pourquoi », de valeurs, de paradigmes sur lesquels reposent notre actuelle course à l’abîme?
probablement parce qu’ils ont été infiltrés de psychopathes cachés dont le but est d’en modifier les buts et actions… ils ont trahis.

Je ne sais pas si les civilisations se valent ou pas, mais je sais qu’ une personne souhaitant demander l’asile politique, et des allocations pour survivre, quelqu’un qui veut étudier, lire, écouter de la musique et vivre librement, trouve cela dans nos civilisations, en occident.

Nous sommes en passe de tout perdre, suite à l’irruption de populations dont les cultures profondes repose sur le contraire de ces valeurs. La France se respectera en acceptant/accueillant ces populations, à condition que celles-ci veuillent de la France.
La France se gardera en rejetant ceux dont les valeurs sont archaïques et remettent en cause les siennes.
Il faut redemander à chaque Français s’il veut être français, donc s’il accepte les principes inscrits dans la constitution : et faire appliquer sans faiblir la non-citoyenneté en cas de refus. La France n’est pas liée à une langue, un territoire, une culture… elle a vocation universelle à les accepter toutes à condition que les impétrants fassent leurs ces valeurs : en cas contraire, que ceux-ci s’en aillent vers des cieux correspondant à leurs valeurs.

Les valeurs sous tendus par l’islam ne permettent actuellement pas cette intégration : tant que tous ces versets de haine, d’appel au meurtre d’autrui et du mécréant existeront dans le coran, les valeurs induites par celui-ci seront contraires à celles de la France!
La seule alternative sera de refuser de mettre celle-ci au dessus de la loi française, et d’expurger ce livre de ces passages de haine! (puisque la voie des Mutazilites semble avoir été définitivement fermée)
Quels sont les critères à partir desquels il sera possible de juger l’évolution des pays d’islam vers une éventuelle “démocratie musulmane” ?
« Facts, just Facts » : les critères sociétaux serviront d’outils de mesure…
L’égalité entre les hommes et les femmes, la polygamie, le statut des minorités, la liberté de conscience, l’indépendance du législatif et du religieux… seront effectivement des marqueurs du chemin vers une “démocratie musulmane” ou vers un nouvel “islam politique”.
Mais il est un critère que nos élites se refusent à observer, comme s’il était un critère du passé, alors qu’il conditionne tout le reste. C’est la question de la liberté religieuse.
En quoi consiste-t-elle ? c’est la liberté de pratiquer bien sûr, de construire des lieux de culte, de changer de religion, d’en adopter une ou de la rejeter, tout ce qui nous paraît naturel dans nos démocraties occidentales mais qui l’est manifestement moins dans les pays d’islam. Peut-il en effet y avoir une démocratie sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir une véritable neutralité laïque de l’État sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir une véritable liberté individuelle, pour les hommes comme pour les femmes, sans liberté religieuse ? Peut-il y avoir un droit à ne pas avoir de religion sans liberté religieuse ? « Ce droit de l’homme, qui est en réalité le premier des droits, parce que, historiquement, il a été affirmé en premier et que, d’autre part, il a comme objet la dimension constitutive de l’homme, n’est-il pas trop souvent mis en discussion ou violé ? », discours au corps diplomatique.

Pourquoi nos dirigeants occidentaux et notamment français ne sont-ils pas clairs sur ce thème dans leurs propos ?
Pourquoi ne disent-ils pas clairement que la liberté religieuse est un véritable marqueur de l’accès à la démocratie ?
Pourquoi se refusent-ils à parler de réciprocité entre les pays où la liberté religieuse est garantie et ceux où elle ne l’est pas ?
Pourquoi ne disent-ils pas, au regard de la situation turque, qu’il ne suffit pas d’avoir une Constitution laïque pour que la liberté religieuse soit garantie ? Pourquoi ne disent-ils pas que la destruction d’un lieu de culte contre l’avis de ses usagers, comme en Égypte, n’est pas tolérable ?
Pourquoi n’affirment-ils pas qu’interdire les fonctions administratives ou électives sous prétexte de religion différente n’est pas digne d’une démocratie ? Pourquoi n’affirment-ils pas que diffuser la Bible dans le Maghreb ne saurait être ni un crime ni un délit ?
Pourquoi ne critiquent-ils pas l’Algérie qui poursuit en justice ses juifs et chrétiens?
Pourquoi ne disent-ils rien au Maroc qui expulsent des prêtres sur leur appartenance religieuse, et force tout époux à la conversion (ce qui est une atteinte essentielle à la liberté de conscience par mélange entre un contrat juridique civil et une adhésion religieuse privée)?
etc…

Si vous laissez imposer ces valeurs d’un autre age à la France – ce qu’ils veulent, disent, préparent…- vous pavez la voie à sa perte
Si vous participez de ces menées (désinformation par media-menteurs, lacheté/corruption des politiques, inconscience  de compréhension de ce qu’est l’islam et de ses textes racines par le grand public, …), si vous participez de ces mouvements politiques infiltrés,  vous êtes un « idiot utile » contribuant à la défaite future de votre pays, et de ce fait traitre à votre histoire, et à vos propres aspirations de progrés.

Appel du 18 juin du général de Gaulle

Appel du 18 juin du général de Gaulle

Heureux mon père qui n’aura pas vu cela!
Qu’avons nous fait de notre héritage?

29 janvier 2012 Publié par : | Politis, Valeurs | , | Laisser un commentaire

Lettre ouverte à Bilal ?

« Les Lumières, c’est la sortie de l’homme de l’état de minorité dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle est l’incapacité de servir son propre entendement sans la conduite d’un autre. » Emmanuel Kant

Beaucoup à gauche, à  droite, ou sans idées politiques fixes, ressentent la menace islamiste, mais ne la réalisent pas, car elle n’est pas transmise par nos médias. Pour beaucoup, la peur d’une réputation/diabolisation de « facho » vient stopper net leur envie d’en savoir plus; dommage !
Que le monde musulman soit source d’inquiétude est assez logique. Les terroristes sont quasiment tous musulmans. La méfiance naît d’un faisceau d’indices cohérents. Beaucoup de bienpensants, ces nouveaux idiots utiles, pour se dédouaner par avance, et ne pas stigmatiser les musulmans et leurs pratiques, ont comparé les juifs aux musulmans, ou à tout autre système religieux-Même si les médias aiment associer les « extrémismes » religieux, en confondant chrétiens et musulmans et autres « extrémistes »-.
Les religions  ne sont aucunement comparable à qui en connait les détails et caractéristiques, et en a extrait leurs valeurs -racines intrinsèques. Rappelons que ces valeurs racines sont des entités archétypales constitutives de l’inconscient de ces populations dans lequel ces valeurs et la religion afférente s’incarne. Les êtres, quant à eux, évoluent et s’incarnent au fil des temps dans les dites populations selon leur niveau de conscience et passent de niveau en niveau…
Détester l’islam est logique (pour qui sait l’analyser de l’extérieur) et c’est un droit : il s’agit d’une religion qui n’a de cesse de vouloir imposer des traditions, habitudes et  lois, considérées par eux comme valables en tous lieux et en tout temps…
Si des parlementaires européens ont pu dire que « les attentats suicides sont logiques puisqu’il s’agit d’actions désespérées », détester l’islam est tout aussi logique, car nous sommes désespérés.
Le rejet de l’islam est pour une esprit ouvert au sens critique, au doute créateur, aux valeurs des lumières, une saine émotion, un signe de désespoir, un signe de bonne santé spirituelle…
Ce ne doit absolument pas être la haine de l’individu musulman, car, naturellement, il peut faire le choix de changer, et de ne pas appliquer le code coranique. Cependant le rejet de l’idéologie et du système conceptuel islamique doit rester un droit.

Après avoir lu le coran et après avoir lu la Bible (et bien d’autres livres mythologiques, religieux, …), j’ affirme que le coran est une religion sectaire et haineuse, jalouse et exclusive, simpliste et totalisante,… même si certains passages peuvent révéler des traits positifs et élévateurs. En fait ces traits viennent de traditions antérieures -mazdéisme, judo-nazaréen, voire influence des vedas/upanishads… qui y ont été amalgamé dans les périodes hegiriennes, souvent à l’insu des normalisateurs, lors de la fabrication du système géopolitique nécessaire pour amalgamer les populations bédouines et les emmener à la conquête de butin…. Ces traits positifs sont tous considérés comme annulés dorénavant (règle des versets abrogeant/abrogé inconnue des occidentaux, et permettant de les tromper).
Ne me croyez pas, vérifiez par vous-même : lisez, ouvrez votre compréhension intérieure…
Le coran est un livre qui commande une action immédiate, violente, sexiste et sectaire, exclusive, normative, … contrairement à la Bible, qui est un livre relatant les faits historiques (ou allégoriques). Le coran est un livre d’instructions pour esclaves incapable de déterminer leurs choix éthiques par eux-mêmes…
Le coran ( avec la sunnah -vie/exemple de Mahome) vous offre le droit de violer une petite fille de six ans si vous l’épousez devant la loi : ce n’est pas un dieu qui peut permettre cela, c’est un diable…
L’islam et son idéologie de conquête s’est immiscé dans notre société. L’idéologie islamique remplace peu à peu nos traditions et nos valeurs. Cela correspond à la stratégie sous-jacente des forces obscures pour pervertir les lieux mêmes de naissance de leur plus grand ennemi, les lieux où ont éclos l’esprit des lumières.
Oh Europe, France, Allemagne, Grèce, Italie, Serbie, Russie…vous trahissez ce qui fut le fondement même de votre rayonnement antérieur : l’esprit de nécessité critique en toute choses, le doute créatif et humble… et préparez ainsi votre futur abaissement.
Beaucoup de français laïcs crachent sur l’église et les chrétiens, les mêmes s’offusquent quand on critique l’islam. On entend même certains de nos élus déclarer qu’il n’y a pas « d’identité française » !
Comment cela pas d’identité française ? Le brassage des populations, nos traditions militaires, l’expression du courage du soldat, du résistant, nos valeurs mixées du bout de l’euro-Asie  et notre identité gréco-latino-judéo-chrétienne, qu’en font-ils ?  Il y aurait seulement une identité africaine et arabe ? C’est tout de même assez extraordinaire, cette faculté qu’on certains élus ou « intellectuels » à gommer , à réécrire notre histoire. Réécrivez l’histoire suffisamment longtemps et les jeunes génération seront imprégnées/formatées, à l’instar de ces brutes du Hamas, qui n’ont appris qu’à haïr…
Peut-être ne sont-ils pas des « intellectuels », peut-être n’ont-ils pas ouvert leur œil du cœur, peut-être intervertissent-ils les valeurs et s’illusionnent avec des mots vagues ne décrivant pas le réel?
Qu’est-ce-qu’ un « lettré » ou « savant » autoproclamé musulman?
Trèssouvent ce n’est qu’ un magnétophone, incapable de créer et de débattre et de faire ce que réalise un vrai « honnête homme » -au sens 18ème siècle-, c’est à dire sortir de son domaine de définition, permettre l’irruption d’une remise en cause de son système à l’aune du réel, appeler la « nouveauté » dans la recherche…
Cette nouveauté appelée « bida » en islam et formellement interdite par le dogme!!! La nouveauté a été interdite en islam, la généralisation de l’instruction a été empéchée par l’interdiction de l’imprimerie au moment de sa mise en œuvre.
Nouveauté évidemment dangereuse pour le confort égoïste des clercs, et autres « soumis » en esprit, soumis par une inversion des valeurs (comment un dieu de tolérance et de paix pourrait-il dire « tuez tous les mécréants » dans le propre livre racine de la religion?).
Le « musulman » est un esclave, qui, jaloux et inconsciemment témoin de sa servitude, veut que le monde entier soit en esclavage…

Les adeptes « soumis » dénoncent la pédophilie qui sévit, parfois, en Occident :  voilà ce que font les « mécréants », s’écrient les candidats aux soixante douze vierges. Quel détournement. Les musulmans ont le droit coranique à la pédophilie.

Mahomet, ce marchand ambulant, a épousé Aïcha alors qu’elle avait 6 ans, et a consommé le mariage avec sa « jeune épouse », alors qu’elle en avait 9 ! En Europe, on condamne les pédophiles. Dans le monde musulman, il ne peut pas y avoir de pédophiles. En islam, si un adulte veut violer une enfant, il n’a qu’à l’épouser. L’enfant n’est alors plus un enfant, et le pédophile peut « consommer » le mariage (c’est à dire violer l’enfant) sans être accusé de quoi que ce soit.
Mahomet prit comme épouse Safiya, après avoir fait torturer et tuer son mari Kinânah et consomma le mariage sans avoir la patience d’attendre d’être revenu à Médine. (cf)
C’est cela, l’identité arabe ? c’est cela Mahomet, le « beau modèle » que chaque musulman doit imiter?
Je nuance ce point car certains pays n’appliquant pas la loi coranique totalement dans le domaine civil ne peuvent être réduit à cette charge (cf Maroc); cependant les déroulements politiques actuels font craindre une avancée lente vers une dictature totale de la loi barbare. C’est ainsi que cela s’est toujours passé dans l’histoire( Egypte, Liban, Yemen, Pakistan, Malaisie, …)
Il n’y a pas d’exemple dans l’histoire d’une contrée ayant abandonné d’elle même le culte mahométan une fois établi.
C’est cela le riche apport de la « diversité » que les bisounours/dhimmis (verts, EELV, gôche, UMP…) veulent nous imposer?
C’est réellement le combat ultime, annoncé, entre la lumière et la noirceur : « et innombrables seront ceux qui seront trompés?

Ces musulmans qui se disent si facilement « blessés » par la discrimination, qui se plaignent de ne pas avoir de droits et d’être bafoués, pourquoi quittent-ils des pays où leurs droits, leur identité, leur religion, sont respectés, et pourquoi émigrent-ils, si nombreux vers nos pays?
Parceque que les conditions économiques et politiques des leurs pays ne sont que les conséquences de leur arriération morale et conceptuelle. Mais ils veulent recréer ces conditions infernales ici!!!

Ils se posent en victimes, en utilisant des expressions qui résonnent contre notre morale judéo-chrétienne : humiliation, droits bafoués, racisme, islamophobie, intolérance, vexation. Ne sont-ce pas les droits des Français de souche qui reculent? -de souche pouvant signifier « immigés antérieurs ayant accepté et intégré et enrichi les valeurs Francaises » –
Les horaires de piscine, le porc interdit dans les cantines (et dans les prisons, mais il ne faut pas dire pourquoi), le retrait des signes ostentatoires chrétiens, la suppression des sapins de Noël, les croix chrétiennes retirées des chambres de certains hôpitaux, la liberté d’expression limitée par l’interdiction de critiquer l’islam, les prières de rue qui bloquent la rue, les modifications des livres scolaires pour ne pas heurter leurs sensibilités, les restrictions imposées aux médecins hommes qui ne peuvent soigner certaines femmes, les subventions d’états offertes à des associations musulmanes… « 
Que ceux qui veulent ouvrir les yeux, lisent le coran – s’ils ont gardé une part d’empathie et de sens critique –  Ils comprendront pourquoi nos cultures sont totalement incompatibles : ce n’est pas un conflit de civilisation (je suis un grand admirateur de la civilisation irano-persane, avant sa destruction/assimilation/incorporation par les hordes bédouines), c’est le conflit majeur annoncé entre la barbarie et l’effort vers la lumière, vers l’athanor coeur-esprit.
Que l’islam existe est un fait incontournable. L’homme musulman existe, mais il devrait y avoir, en Europe, un devoir d’information envers nos concitoyens laïcs, judéo-chrétiens et musulmans, un devoir d’information et d’alerte concernant la menace islamiste. Il devrait y avoir un prosélytisme laïc, afin de convertir les musulmans à la liberté de penser, d’agir et de choisir.
Il y a de nombreux « whistleBlowers » concernant cette menace, mais ils sont balayé par les intérêts agrégés des financiers et des dogmatiques corrompus.
Ce devrait être aux musulmans de se convertir pour épouser une européenne de souche, et qu’ils se marient à l’église, puisque c’est ainsi que les non-musulmans doivent faire en terre d’islam. Au lieu de cela, ce sont les non-musulmans qui doivent se convertir, pour épouser un – ou une- musulmane, en terre européenne et chrétienne.
 Des musulmans s’offusquent de la stigmatisation, et eux stigmatisent les Français qui n’aiment pas l’islam. Je critique l’islam, alors je suis raciste ? Si des hordes de musulmans déferlent dans les rues et crient Allah Akbar, il ne faut pas les stigmatiser, disent nos élus, nos médias, nos élites et nos intellectuels en cœur ! Des musulmans nous stigmatisent, en nous accusant de racisme et de xénophobie. Des musulmans nous stigmatisent, en imposant la confusion entre race et religion.
 Mais nous devons résister. Et pour résister, nous devons tous clamer haut et fort le distinguo entre race et religion,
Entre haine d’un concept et haine des individus.
Je hais le système appelé islam et je respecte les individus encore embrigadés dans ce système mortifère et les appelle à en sortir… avant qu’il ne soit trop tard!

30 novembre 2011 Publié par : | Politis, Valeurs | | Laisser un commentaire