L’alcoran n’explique pas, il affirme, répète…
merci de cette synthèse révélatrice, et hélas trop pertinente…
ce texte enferme dans les ténèbres de la conscience le tiers de l’humanité…
On sait, par de multiples recherches sémiotiques, archéologiques, culturelles, linguistiques, génétiques… que le coran est au final, un livre fabriqué, probablement dans un but de conquête de territoires (razzias, butins, …) et d’asservissement de l’humanité par des potentats manipulateurs (« califes bien-guidés et autres »).
Cela est totalement nié bien sur par les « savants-magnétophones » au sens critique dignes de bergers allemands et au sens éthique de troll de khazzam-dum… – nié et détruits volontairement les restes de monuments prouvant les racines ante-moloch, nié les archives des pays étrangers, ayant envoyé des explorateurs et plénipotentiaires, nié la trame historique et culturelle révélée pas l’analyse des alimentations, des gènes, des racines linguistiques…
Le coran est un livre-étendard, à visée de conquête géopolitique, crée par une ethnie voulant rassembler ses diverses tendances centrifuges : on sait qu’il a été rédigé par une vingtaine de locuteurs, constamment remanié, raturé, adapté aux besoins des forces qui l’utilisait (analyse sémiotique informatique de ses mots, emplacements, tournures, …) à partir d’une base araméenne et judéo-nazaréenne.
L’islam est une secte juive messianiste qui a dérivé, qui s’est dégradée vers les strates les plus sombres, et qui entraîne vers le néant de l’inconscience une grande par des âmes humaines.
Répéter, psalmodier une phrase ne la rendra pas véridique pour autant, ni éthiquement juste. Par contre on sait qu’elle imprégnera les « neurones-miroirs » de l’esprit humain, et asservira quasi automatiquement le comportement de ceux-ci. Seuls des âmes courageuses auront la force de s’en extraire, avec souffrances souvent, mais à leur profit intérieur…
L’esclave, le soumis pourra devenir libre.
quant aux autres, l’effarant c’est qu’ils chérissent leurs chaînes…
ps : La répétition est l’essence de cette culture, elle est l’outil d’apprentissage du corps vital, normalement éduqué dans l’enfance, mais qui doit être animé, puis régulé et conduit par les autres véhicules. Faire stagner un humain à ce niveau, le réduire à cette strate d’évolution est négation de toute aspiration d’élévation spirituelle authentique, quelque forme qu’elle prenne.
« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort, qu’ils ont raison »
« Répéter mille fois la même erreur, ne fait pas d’elle une vérité »
Par Alain Franquignon, Agrégé de lettres
« Le Coran est un livre ennuyeux et méchant
C’est un livre de combat, de guerre, et quelle caution, quelle cause serait plus digne d’être défendue que celle de son Dieu.
Je me suis demandé très tôt dans la lecture des « paroles du prophète » pourquoi ce livre n’était pas interdit au même titre que Mein Kampf de Hitler … Il n’en diffère guère que par le préchi-prêcha insipide qui enveloppe ses agressions verbales incessantes.
C’est probablement le plus mauvais livre que j’aie jamais lu, mauvais dans les deux sens du terme : ennuyeux et méchant.« Coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l’intolérance, l’ hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes, l’islam n’est ni une sagesse , ni une civilisation (mode de vie), c’est un fléau. »
Gérard ZwangEnnuyeux à cause des reprises incessantes des mêmes idées, répétées ad nauseam tout au long de toutes les sourates, sans exception, et méchant parce qu’il se dégage de cette lecture l’impression que l’homme qui a écrit ce livre n’était pas « bon », mais « méchant ». C’est du moins MA lecture du Coran.
Cette méchanceté se traduit le plus souvent sous la forme de la MENACE
Le Coran est un livre menaçant, et comme il vous menace, vous, pauvre lecteur, vous devez, pour vous affranchir de cette menace, devenir le sujet et non plus l’objet de la menace, et faire vôtre la parole menaçante, la reprendre à votre compte pour être du côté du menaçant, et non plus du menacé.
Mais c’est une conversion incomplète : en lisant le Coran, on est toujours sous la menace en même temps qu’on y met autrui. C’est pourquoi le Coran est un livre violent dans son essence même. L’auteur exerce une violence verbale continue (voire l’occurrence des mots) tout au long de chacune des sourates. Il nous apparaît comme un être épris de pouvoir, voulant à tout prix régner sur les autres, les dominer, les écraser, les châtier et les éliminer si besoin …
Extrême pauvreté du message
Par ailleurs, ce qui m’a frappé en lisant le Coran, c’est l’extrême pauvreté du message, pauvreté qui s’exprime par la répétition incessante de la même idée de soumission à Dieu, mais aussi par l’absence complète de deux choses fondamentales pour une religion : une morale universelle et une cosmologie.
- Une morale universelle fondée sur la notion de Bien et du Mal qui seraient au-delà de l’islam lui-même et qui vaudrait pour tous les hommes (comme condamner le meurtre, le mensonge, le vol, le viol, parce qu’ils sont le Mal en soi). Or ces mauvaises actions ne sont pas du tout condamnées lorsqu’elles s’exercent sur l’autre, le non-musulman.
- Une cosmologie. Pas de création du monde ni d’explication (mythologique bien sûr) sur la nature des choses, ni sur l’origine de la différence entre l’homme et la femme.
- Pas d’éloge du travail ni de l’enrichissement par la multiplication des troupeaux ou par la culture des champs (comme on en trouve dans la bible, et dans l’antiquité grecque avec « les travaux et le jours » d’Hésiode », ou dans l’antiquité romaine avec les « Géorgiques » de Virgile). Par contre une Sourate sous-titrée « Le Butin ».
- Ainsi le mot « travail » et ses dérivés n’apparaît qu’une demi-douzaine de fois, et toujours associé à l’idée que de pauvres gens (ou des esclaves) y sont contraints pour survivre
Les occurrences de mots sont-elles révélatrices, mais l’absence d’occurrence de mots l’est aussi.
La traduction du Coran disponible sur internet, et approuvée par la grande mosquée de Paris comporte 86721 mots.
Sur ce total, nous avons écartés tous les petits mots « outils » comme les articles, les prépositions, les verbes être et avoir, les pronoms, les conjonctions, etc. Ces mots outils forment un total de 28519 mots. Nous n’avons donc gardés comme mots signifiants que les noms, les verbes, les adjectifs et les adverbes significatifs. Au total 58562 mots « signifiants » qui transmettent le message du Coran.Nous nous sommes donc attachés au domaine particulier qui concerne directement Allah et l’obéissance à ses commandements, domaine que l’on peut diviser en 4 sous-domaines :
- Vérité/mensonge (vraie religion, mensonges des autres religions, croyances, incroyance, etc …) : 2858 mots
- Récompense/punition (Allah doit être craint car il récompense les croyants, et punit les non-croyants) : 2721 mots
- Obéissance (avertissements, interdictions, prosternation, autorités …) : 918 mots
- Dieu (prophète, fidèles, infidèles, saints, menteurs, mécréants …) : 5800 mots
Total de cet ensemble : 12297 mots, sur 58562, …. Soit 21% des mots du Coran.
Et sur les 58562 mots, le mot « amour » n’apparaît que 10 fois, et encore :
- 3 fois pour parler de l’amour d’Allah pour ses fidèles,
- 2 fois s’agissant de l’amour des fidèles pour Allah,
- 4 fois pour parler de l’amour des richesses,
- mais une seule fois pour désigner l’amour d’une femme pour un homme,
- et jamais pour évoquer de l’amour de l’homme envers son prochain.
- Le mot « aimer », conjugué, apparaît 53 fois, presque exclusivement pour dire qu’Allah aime les croyants, les justes, les fidèles, les pieux, ceux qui lui font confiance.
- Sinon il est employé dans le sens de « souhaiter » ou « apprécier » : ex: « …les Juifs qui aiment bien écouter le mensonge » (S 5, V 41), « les mécréants aimeraient vous voir négliger vos armes … » (S 5, V 102) etc.
Voilà le score accablant du Coran : nous asséner, ad nauseam, que nous devons obéir à Dieu, être de vrais croyants, nous tenir loin du mensonge des autres religions, sous peine de « châtiment douloureux ».
Un cinquième des mots d’un livre de 1000 pages répètent sans cesse cette même idée.
Pourquoi une telle répétition ? A-t-on besoin d’être autant averti, menacé ? Ne s’agirait-il pas de la déclinaison d’un slogan ? Pour le Coran, ça serait « si on vous menace régulièrement, vous finirez par y croire ». La répétition tient lieu d’argumentation.Le coran n’explique pas , il affirme
L’essentiel de son message est de faire peser sur vous la domination de Dieu, un Dieu que vous devez craindre et faire craindre. Mais son châtiment est pour les vivants, dans ce monde. L’homme de guerre Mahomet reste un homme de guerre …
Il y a bien sûr mille autres choses à dire sur le Coran, comme par exemple la légende de Joseph et de ses frères, si bien racontée dans la Bible, et qui devient un charabia incompréhensible dans le Coran, mais nous avons voulu mettre l’accent sur quelque chose que je n’avais pas entendu ni lu (même dans le livre d’Ibn Warraq) : sa dimension ennuyeuse et menaçante, qui vont de pair.
P.S. : Avec plusieurs amis, qui n’avaient pas lu le Coran, j’ai parié qu’ils pouvaient ouvrir 3 fois le Coran à n’importe quelle page (version papier), et qu’on y trouve au moins une fois sur la page de gauche ou sur celle de droite une variante de la phrase suivante « Dieu le miséricordieux vous réserve un châtiment douloureux si vous n’obéissez pas à ses commandements » …. J’ai toujours gagné. »
d’ailleurs, une (véritable) analyse sémantique prouve que le Coran est moins violent que la Bible qui inspire l’auteur de ce blog.
http://reverbpress.com/religion/quran-bible-violence-text-analytics/
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l’islam se résout à n’être qu’un sous-ensemble du monde juif, une secte juive ayant évoluée par elle-même à partir du deuxième siècle post JC (cf origines islam – d’où leur haine farouche et instinctive de la culture et population juive…
Nombre de travaux universitaires récents ont complètement renouvelé les connaissances sur les premières années de l’islam et sur la construction de ce corpus (en particulier en agrégeant des données anthropologiques, architecturales, ethnologiques, sémantiques, génétiques….). Les principaux sont ceux de Michael Cook, de l’université de Londres, publié en 1980, d’Alfred-Louis de Prémare, de l’université d’Aix en Provence en France, publié en 2002, de Patricia Crone, de l’université de Princeton aux Etats-Unis, publiés en 2004, d’Edouard Marie Gallez, de l’université de Strasbourg en France, publié en 2005, de Christoph Luxenberg, universitaire en Allemagne, publiés en 2006.
télécharger le livre-résumé ici http://legrandsecretdelislam.com/tag/edouard-marie-gallez/
On y détecte dorénavant facilement les « copié/collé » de sources araméennes et talmudiques, les recensions et lectionnaires des sectes messianiques pour beaucoup érémitiques ou nomadisant dans les déserts d’arabie.
A la différence des juifs modernes qui ont affirmé que la bible était un livre d’histoire, devant être pris pour tel, n’ayant pas de valeur législative actuelle, les musulmans, tout à leur « belle histoire » du quran incréé, affirment que celui-ci aurait existé de toute éternité, aurait valeur légale et serait applicable en tout lieu et en tout temps. Ce concept est la racine de la dictature, de la non-autonomie de conscience des l’âme envoyés dans le monde, en contradiction d’avec le commandement biblique « allez et développez la terre… ». C’est donc signe révélateur de son origine sous-jacente, de son rôle d’outil des forces d’obscurité rétrogrades (et ibliss est le seigneur de ces égarés…).
pour résumer (voir explication complète ici )
Napoléon posa aux juifs un certain nombre de questions qui devaient marquer leur adhésion à la citoyenneté français et à ses principes dont voici les principales
« l’Assemblée ne se réunit le 26, assistée de 3 Commissaires. Elle avait à répondre à 12 questions posées par l’Empereur :
1° Est-il licite aux Juifs d’épouser plusieurs femmes ?
2° Le divorce est-il permis par la religion juive ? Le divorce est-il valable sans qu’il soit prononcé par les tribunaux et en vertu de lois contradictoires à celles du code français ?
3° Une Juive peut-elle se marier avec un Chrétien, et une Chrétienne avec un Juif ? ou la loi veut-elle que les Juifs ne se marient qu’entre eux ?
4° Aux yeux des Juifs, les Français sont-ils leurs frères, ou sont- ils des étrangers ?
5° Dans l’un et l’autre cas, quels sont les rapports que leur loi leur prescrit avec les Français qui ne sont pas de leur religion ?
6° Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ? Ont-ils l’obligation de la défendre ? Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre toutes les dispositions du Code civil ?
7° Qui nomme les rabbins ?
8° Quelle juridiction de police exercent les rabbins parmi les Juifs ? Quelle police judiciaire exercent-ils parmi eux ?
9° Ces formes d’élection, cette juridiction de police et judiciaire sont-elles voulues par leurs lois , ou seulement consacrées par l’usage ?
10° Est-il des professions que la loi des Juifs leur défende ?
11° La loi des Juifs leur défend-elle de faire l’usure à leurs frères ?
12° Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l’usure aux étrangers ?
En répondant favorablement les juifs ont accepté que les lois humaines de la république prévalent sur celles de leur religion : on attend que les musulmans acceptent de même, ce qu’ils refusent…donc prenons en acte!!!
Donc non : la bible est un livre d’histoire (ce n’est pas un livre, mais une addition de livres différents), violent comme l’histoire de l’humanité en regorge, alors que le coran est INTRINSEQUEMENT violent puisqu’il énonce des principes applicables aujourd’hui, est non réformable (puisque se disant incréé) : principes tels que prescription de mort pour l’apostat, amputation, non-liberté de conscience, procédures mécaniques de purification et autres gris-gris fleurant bon les pratiques magiques, …
D’ailleurs l’évolution historique l’a montré : la judaïté a développé l’esprit critique, l’humour, et autres traits de libération intellectuelle ( avec hélas aussi ses tares et extrémismes), tandis que l’islam ne semble conçevoir que des SOUMIS en esprit dont on attend encore les contributions positives pour l’humanité (à quelques exceptions et grands esprits bien rares cependant), et conçues en autonomie et non par razzia, butin et appropriation…
Dieu attend de vous que vous révéliez et développiez les talents qu’il vous a confié, donc que vous fassiez usage de votre spécificité.
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C’est totalement faux. L’islam témoigne au contraire que le Coran est source infinie de connaissance et de Paix !
Mais le lecteur décérébré ne peut passer la barrière qui protège les trésors du Coran.
Voilà un exemple dilué de ce que contient le Coran : https://goo.gl/photos/1RU6Zup7CFZtVwHY9
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