L’islamisation de la société occidentale
Un livre très intéressant vient de sortir : Un cheval de Troie moderne : la doctrine islamique de l’immigration, pas encore traduit en français, il fait déjà beaucoup parler de lui.
Sam Solomon, ancien professeur de droit musulman converti au christianisme, et Elias Al Maqdisi, un spécialiste de l’islam, expliquent comment fonctionne cette antique stratégie de conquête et comment s’effectue la migration des musulmans dans les territoires non musulmans.
Les auteurs décrivent chaque étape de cette immigration stratégique, dont le but est de répandre l’islam pour préparer de djihad. L’objectif est de transformer peu à peu la culture du pays d’accueil de façon à imposer progressivement la charia.
Le premier acte consistera donc à faire accepter des activités caractéristiques de l’islam : par exemple des lieux de prière, la fondation d’écoles coraniques, de bibliothèque et de centre de recherches, l’enseignement de l’arabe (autant d’activités que nos pays démocratiques et tolérants ne peuvent pas longtemps refuser).
Solomon et Al Maqdisi montrent le caractère stratégique de l’établissement de larges communautés homogènes. La mosquée devient le centre de toutes les activités de la communauté, l’une des priorités consistant à aider les nouveaux arrivants afin de circonscrire l’intégration. Des agents de mosquées, à la recherche de nouveaux convertis potentiels, sont impliqués dans de multiples formes de surveillance des musulmans. Les non-musulmans ne perçoivent évidemment pas le danger de cette première étape, qui consiste à faire de la mosquée le centre de vie communautaire. Pour eux, les mosquées ne sont que des lieux de culte comparables aux églises.
Lorsque la communauté s’est suffisamment soudée, commence alors la lutte pour obtenir un statut spécial et l’application de la charia. Les changements du code vestimentaire deviennent de plus en plus net. On passe du port du hidjab au port du niqab dans les lieux publics, puis à l’abolition de la mixité entre hommes et femmes musulmanes, et finalement à la séparation des musulmanes et des non-musulmanes.
Petit à petit, la population indigène finit par s’habituer à ce qu’elle croit être des applications sans conséquences de la religion. Elle consent aux exigences de séparation entre hommes et femmes dans les lieux publics ou dans les lieux de travail, dans les écoles et les universités, ainsi qu’aux demandes de repas hallal, à l’interdiction du porc ou à l’ajout de fêtes musulmanes au calendrier. Or toutes ces exigences empilées contribuent à donner un statut à la communauté musulmane, la rendant de plus en plus séparée et distincte.
Au début, ces pratiques sont présentées comme des accommodements sans inconvénient avec l’islam (s’y opposer étant qualifié de discriminatoire et donc puni par la loi). Les musulmans commencent à demander l’abolition de la mixité à certaines heures dans les piscines et les salles de gymnastique, à exiger qu’on n’oblige pas les femmes à dévoiler leur visage pour prendre des photos de permis de conduire, à refuser de manipuler ou de transporter des produits contenants de la viande non-hallal, etc…
Comme l’établissent Solomon et Maqdisi, le but est d’habituer la société d’accueil aux particularismes des musulmans, à leurs coutumes, à leurs fêtes, à leur code vestimentaire, leur nourriture. Bientôt, l’identité musulmane se durcit au fur et à mesure que les musulmans gagnent du pouvoir grâce à leur expansion démographique. Les mosquées, les écoles, les clubs, leur média et leurs organisations se multiplient. La doctrine de la « taqiya » (mensonge ou dissimulation stratégique autorisée si cela bénéficie à l’islam) prend de plus en plus d’importance. Les mahométans cachent leurs objectifs en les faisant passer pour des revendications religieuses légitimes.
Petit à petit, ils en arrivent à modifier en profondeur la culture du pays d’accueil.
Lorsque la croissance des communautés musulmanes s’étend sur tout le territoire, leur poids politique aussi : on multiplie les pressions sur les députés pour qu’ils autorisent les tribunaux islamiques : c’est ce qui s’est passé en Angleterre où coexistent maintenant deux systèmes de jurisprudence. Une fois que la charia est autorisée, les musulmans occidentaux doivent se conformer à ses prescriptions plutôt qu’aux lois en vigueur dans les pays d’accueil. Et puis on constate une augmentation des quartiers ou secteurs réservés aux musulmans. De telles zones existent partout en Europe. Comme le montre Solomon et Maqdisi, la doctrine de l’Hégire doit être comprise comme une stratégie politique globale pour miner les cultures et les valeurs des pays non musulmans et les remplacer par celles de la charia. Modern Day Trojan Horse invite à évaluer ce qui peut apparaître comme des pratiques religieuses inoffensives, mais qui, en réalité, s’inscrit dans un projet de transformation radicale face auquel les démocrassouilles dressent des barrières en carton.
D’après un article de Grégoire Duhamel paru dans Rivarol.
Si nous ne nous opposons pas à l’islamisation de nos sociétés, nous allons tout perdre : notre liberté, notre identité, notre démocratie, notre État de droit. Afin de préserver la civilisation occidentale, nous devons faire quatre choses : se porter à la défense de la liberté d’expression, rejeter le relativisme culturel, contrer l’islamisation et chérir nos identités nationales et occidentales, qu’elles soient hollandaises, françaises, britanniques ou américaines.
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