L’islam est consubstantiel à la tyrannie.
extrait de « Le Messie et son prophète »
« D’aucuns s’étonnent du fait que, dans leur majorité, les responsables musulmans tiennent discrètement (ou pas discrètement) à leurs fidèles des propos appelant à la conquête de l’Europe et à la disparition de la laïcité, et développent des stratégies en ce sens.
Est-ce si anormal ?
Lors de la 26e Rencontre des musulmans de France, les 10 au 13 avril 2009 au Bourget, l’un des orateurs (Tareq al-Suwaidan, ancien ingénieur, devenu le directeur de al-Resalah TV et membre dirigeant des Frères Musulmans) alla jusqu’à rappeler le projet de conquérir Rome comme l’a été Constantinople en 1453 (voir Lina Murr Nehmé, 1453, Chute de Constantinople : Mahomet II impose le Schisme Orthodoxe, Paris, de Guibert-DDB, 2009) – projet dont le pouvoir musulman fit un hadith fictivement mis dans la bouche de Mahomet. L’orateur fut très applaudi.
Du point de vue de la foi islamique, l’islam ne doit-il pas sauver le monde, donc d’abord le dominer ? Bien sûr, le mieux serait de sauver le monde de manière pacifique – telle est l’intention sincère, qui est toujours mise en avant. Mais que faire si le monde ne veut pas se laisser sauver ? Il faudra employer alors d’autres méthodes, car une telle fin universelle et quasiment mystique justifie tous les moyens. Le Mahomet des traditions islamiques donne l’exemple de ces moyens à employer si c’est nécessaire : ruse, assassinats, génocide (des juifs de Médine), tromperies, etc. Tout ceci est d’autant plus significatif que la plupart de ces faits ne sont justement pas historiques – ils ne datent pas de l’époque de Mahomet. Mais ils auraient pu l’être : le texte coranique les préconise au besoin et les justifie à l’avance, allant jusqu’à expliquer que les meurtres commis « sur le chemin de Dieu », c’est-à-dire pour le triomphe de l’islam, Dieu en assume Lui-Même la responsabilité (sour. 8,17 ; 9,14 ; etc.). Et Il est Lui-Même présenté comme plein de ruses (sour.3,54 ; 7,99 ; etc.).
Dans les pays islamiques, il est interdit de soulever ces évidences sous peine de représailles de la part de l’Etat (elles peuvent aller jusqu’à la peine de mort) : ce même terrorisme d’Etat, les responsables musulmans voudraient le voir advenir peu à peu en Europe, le premier pas étant d’introduire le concept fallacieux « d’islamophobie » dans la législation, comme délit à sanctionner.
Disons-le clairement : « l’islamophobie » n’existe que dans la tête des propagandistes de l’islam. L’amitié qu’on a pour les musulmans ne peut que conduire à s’opposer aux entreprises hégémoniques d’un système politico-religieux qui opprime les musulmans eux-mêmes et élimine tout ce qui est « autre », comme on peut le constater en Egypte, au Pakistan, et en fait partout où les informations non tronquées permettent d’avoir une vision juste de ce qui se passe pour les gens – et le sort réservé aux non musulmans est un critère qui ne trompe pas.
Rappelons l’origine du concept « d’islamophobie »: il fut inventé par l’Ayatollah Khomeiny (durant les années où il était royalement hébergé en France). Il fonctionne comme le concept « d’anti-communiste » par lequel, durant 50 ans, les procommunistes ont empêché toute critique du communisme, qui devait être l’avenir de l’humanité et qui était donc déclaré bon en soi – seuls ses « excès » auraient été mauvais. On peut avoir de la sympathie pour les croyants en ce système et constater qu’il a été une horreur pour l’humanité – et pour les communistes eux-mêmes. On peut aimer les musulmans et percevoir que l’islam réalise bien autre chose que le paradis sur terre dans la mesure même où il s’impose rigoureusement quelque part. Ainsi, parler « d’islamophobie » est une perversion du langage tout aussi totale que seraient par exemple le concept de « pédophilophobie » ou celui de « financiophobie », comme si la société civile serait atteinte d’une maladie (une « phobie ») consistant à se protéger des atteintes de détraqués sexuels ou d’un système financier dérégulé qui plonge dans la misère des millions d’hommes par ses malversations – et le pire reste à venir.
La question de fond demeure et devra bien être regardée en face un jour : si l’islam est le salut du monde, il est absolument normal (compréhensible serait un mot plus juste ) qu’il utilise tous les moyens pour s’imposer. C’est une question de foi. Il est plus normal encore que les sociétés civiles et tous les démocrates s’opposent aux applications d’un tel système, y compris dans les pays musulmans comme on le voit au Pakistan actuellement. Mais pourra-t-on éviter de dire qu’un système qui se dit bon et qui a toujours utilisé tous les moyens – y compris les plus mauvais à commencer par le mensonge sur ses propres origines et le terrorisme – ne peut pas être bon en soi, et pas seulement du fait « d’excès » ? Et pourra-t-on toujours éluder la question : d’où vient la « foi » islamique ?
note :
« L’islam c’est le pouvoir tyrannique faite religion. Le pouvoir tyrannique était antérieur à l’islam et ne s’est métamorphosé en religion que pour assurer sa pérennité.
la tyrannie est sacralisée par l’islam et l’islam est consolidé par la tyrannie. L’un ne peut se perpétuer sans l’autre.
L’islam est consubstantiel à la tyrannie. »
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